ARK NETWORK reference.ch · populus.ch    
 
  
Contre la transmission patriarcale de la destinée  
 
 
Rubriques

ATTENTION !!!
Vu par la Press
PETITIONS
lettre ouverte
MISERE POLITIQUE
Karim se montre
abdoulaye m.diop
lobs n°1068
Wade:1/2 mandat
les O.N.G
Karim,au palais?
4è PR un Wade
REQUIEM
Incohérences
en attendant que
LE DROIT CLOUE
Karim dans la
ces autres
nvlle opposition
tocard
SOUTENEURS
DIAGNOSTIC
L' OEIL DU
POURQUOI
La perversion
GUERRE DE
ARITHMETIQUE
PARITE
Controverse
PANCARTES
DEFENDRE
PENURIES
Sacré SENEGAL
Valeurs Suprêmes
coût de la vie
Abd.BATHILY
Vote Projet Loi
Accroissement
Toute bleue
Quête de
presse:dérives
SENAT
le temporel
LA GUERRE
LES DEPITES
KARIM courtise
J e vote donc
Inquiétude
Prééminence
ENTRE MALAISES
Les incohérences
REFONDATION
landing savané
souverrainnet2
Moins d'Etat
KARIM propulsé
Réél sursaut
Le mal politique
Enjeux
Débat d'idées
militaires par
sueurs froides
UN VOTE
Législatives:
l'OCDE
Elections législ
Le Forum Civil
Dépit amoureux
Iba der Thiam
boycott
Intellectuels
SENATEURS
Réformer la Jus
la Révolution
la Flambée
le bon choix
Marcher sur
babacar justin
Entre Malaise
ENJEUX vrais
contributions
le sénégal
Elections du 3/
indifférence
Fiasco complet
LE PDS
énervement
rupture
Talla Sylla
conséquences
La Presse
absence
le 11 juin2007
Les 12 & 13 juin
le 14 juin 2007
le 15 juin 2007
BATAILLE autour
Karim interdit
5è gouvernemen
SERMON
de mal en pis
chemin balisé
ATTENTION
TRINITE
RIMKA
Sarkozy à Dakar
succession
Le RETOUR
testament
Ticket Karim/Id
le 06 août 2007
ce 10 Août 207
recomposition
le festin des
grave
crimes en série
assises national
quel pays
Le coup d'piston
7urgences afric
pierre goudiaby
sauver le sénéga
leardership
leardership
opposition
La famine
sommes-nous
Hua beitong wei
PAS UN MOT
à quoi sert un
issue aléatoire
au fil du temps
à très grande
Ni Dieu
guerre de
Premier Ministre
A la jeunesse
rien ne sert de
l'aveu
changement
Le mouvement
corruption
le Journal des
2 pays
situation exacte
Wade
restructuration
dommages &
Rentrée
Endormir
pas d'accord
fréquences TV
pas la mentalit
front citoyen
17 octobre 2007
18 octobre 2007
19 octobre 2007
20 OCTOBRE 2007
22 Octobre 2007
23 octobre 2007
24 &25 octobre
25,26 &27 octobr
29 octobre 2007
31 octobre 2007
trahisons
vie chère
Grève générale
grave crise
quelle gouvernan
Sénégal
report
Rimka
institutions
corruption
L'alternance
ce jour
celà ne va pas
La réalité
élect° locales
lavage
monde rural
L' ECHEC
to day
observatoire
incapacités
g° du concret
remettre à
La Gc tisse
assises
surveillance
RIZ: catastrophe
autosuffisance
Développement
pas de destin
les chants
Albert bourgi
boulimie foncièr
Disette
mutins
Zoom
plan reva
l'exception
dysfonctionnemen
today
O.C.I :stand
l'IMPASSE
difficile
l'INFORMEL
situation
chère la vie
abime social
constitution
BILAN de 8 ans
sénégal
insouciance &
incompétence
Retour aux
La constitution&
dure réalité
ciel bleu azur
Rue publique
sacré
une opposition
ce RIZ qui va
au Royaume
autorisation
DETRESSE
interminable
LA FAIM
sunureew
quel pays!
ventres creux
bombe à
le réveil
GOANA,
IMPLOSION
HOPITAL
1er Mai
EDUCATION
Illégalité
DIVERTISSIMO
DESARROI
GREVE GENERALE
le VOLCAN
opportunisme
quel Président
ATTEINTES
wade
Goana
Constitutionnite
F.M.I
l'opposition
20 mai 2008
21 mai 2008
22 mai 2008
23 mai 2008
24 mai 2008
26 mai 2008
27 mai 2008
28 mai 2008
29 mai 2008
30 mai 2008
31 mai 2008
1er Juin 2008
02 juin 2008
03 juin 2008
04 juin 2008
05 juin 2008
06 juin 2008
7 &8 juin 2008
9 juin 2008
11 juin 2008
12 juin 2008
13 juin 2008
14 ,15 juin2008
16 juin 2008
17 juin 2008
18 juin 2008
19 juin 2008
20 juin 2008
21 juin 2008
23 juin 2008
24 juin 2008
26 juin 2008
27 juin 2008
28 juin 2008
30 JUIN 2008
1er Juillet 2008
02 juillet 208
03 juillet 2008
04 juillet 2008
07 juillet 2008
05 juillet 2008
08 juillet 2008
9 juillet 2008
10 juillet 2008
11 juillet 2008
12 juillet 2008
14 juillet 2008
15 juillet 2008
16 juillet 2008
17 juillet 2008
18 juillet 2008
19 juillet 2008
21 juillet 2008
22 juillet 2008
23 juillet 2008
24 juillet 2008
28 juillet 2008
29 juillet 2008
30 juillet 2008
1er Août 2008
02 août 2008
05 août 2008
06 août 2008
07 août 2008
11 août 2008
13 août 2008
14 août 2008
03.09.2008
26.09.2008
02 octobre 2008
03 octobre 2008
05 oct 2008
06 oct 2008
07.10.2008
08.10.2008
09.10.2008
14.10.2008
01 nov 2008
05 nov 2008
06 nov 2008
07 nov 2008
11 nov 2008
12 nov 2008
14 nov 2008
15 nov 2008
17 nov 2008
187 nov 2008
19 nov 2008
20 nov 2008
21 nov 2008
24 nov 2008
25 nov 2008
26 nov 2008
27 nov 2008
28 nov 2008
29 nov 2008
30 nov 2008
1er déc 2008
02 déc 2008
04 déc 2008
05 déc 2008
06 déc 2008
10 Déc 2008
11 Déc 2008
13 déc 2008
16 déc 2008
17 déc 2008
18 déc 2008
19 dec 2008
20Déc 2008
22 déc 2008
23 déc 2008
26 déc 2008
27 déc 2008
29 déc 2008
30 déc 2008
31 Déc 2008
1er Janv 2009
03 JANV 2009
05 janv 2009
02 janv 2009
06 janv 2009
7 & 8 Janv 2009
09 janv 2009
10 & 11 janv 200
12 janv 2009
13 janv 2009
14 janv 2009
15 janv 2009
16 janv 2009
17 & 18 Janv2009
19 janv 2009
20janv 2009
21 janv 2009
22 Janv 2009
23 janv 2009
25 janv 2009
26 janv 2009
27 janv 2009
28 janv 2009
29 janv 2009
30 janv 2009
31 janv & 01 fév
02 fév 2009
03 fév 2009
04 fév 2009
05 fév 2009
06 fév 2009
07 fév 2009
09 fév 2009
10 fév 2009
11 fév 2009
12 fév 2009
13 fév 2009
14 fév 2009
15 fév 2009
17 fév 2009
18 fév 2009
19 fév 2009
20 fév 2009
22 fév 2009
23 fév 2009
24 fév 2009
28 fév 2009
1er Mars 2009
02 mars 2009
03 mars 2009
04 mars 2009
05 mars 2009
06 mars 2009
7 & 8 mars 2009
09 mars 2009
11 mars 2009
12 mars 2009
13 mars 2009
14 mars 2009
15 mars 2009
16 mars 2009
17 mars 2009
18 mars 2009
19 mars 2009
20 mars 2009
21 mars 2009
23 mars 2009
24 mars 2009
25 mars 2009
26 & 27 mars 200
28 & 29 mars 200
30 mars 2009
31 mars 2009
03 avril 2009
02 avril 2009
06 avril 2009
08 avril 2009
09 avril 2009
10 avril 2009
11 avril 2009
03 MAI 2009
12 mai 2009
13 mai 2009
14 mai 2009
15 mai 2009
16 mai 2009
18 mai 2009
19 &20 mai 2009
21 mai 2009
22 mai 2009
23 mai 2009
24 mai 2009
25 mai 2009
26 mai 2009
27 mai 2009
28 mai 2009
29 mai 2009
30&31 mai 2009
02 juin 2009
03 juin 2009
04 juin 2009
05 juin 2009
06 juin 2009
09 juin 2009
10 juin 2009
11 juin 2009
12 juin 2009
13 juin 2009
15 juin 2009
16 juin 2009
17 juin 2009
18 juin 2009
19 juin 2009
20 juin 2009
22 juin 2009
23 juin 2009
24 juin 2009
25 juin 2009
26 juin 2009
27 juin 2009
13 juillet2009
14 juillet 2009
15 juillet 209
19 juillet 2009
20 juillet 2009
21 juillet 2009
22 juillet 2009
23 juillet 2009
24 juillet 2009
26 juillet 2009
27 juillet 2009
28 juillet 2009
31 juillet 2009
1er Août 2009
03 Août 2009
10 Août 2009
17 août 2009
22 Août 2009
24 août 2009
25 août 2009
UN MINUS HABENS
es mathématiques
ANOCI
régime affairist
ma triste Afriqu
Le ROI
sous Wade
Wade family
monument
tout à refaire
les périls
RENTIERS DU REGI
INONDATIONS
dialogue nationa
présidentielle
livre de Latif
d'hier à aujourd
le FONCIER
Qui ?
ces Statues !
Dialogue ! ?
Maths au bac
Pluies & économi
«Intouchables»
ces Prédateurs
mali-sénégal
Karim Wade
arguments’
Formation Emploi
Les inondations
JEUNESSE ET DEVE
Gestion ANOCI
CLARIFICATIONS
Les WADE
quatre réponses
véhicules ANOCI
régler le problè
Attention
Mobilisons nous
OPPOSITION
Paris manifeste
un présidentiabl
maillon faible
Barça ou Barsax
sénégal malade !
Des centaines de
émeutes électriq
triste destin
Etat endetté
Le chaos
sans électricité
LA GABEGIE
naufrage
otage
L' ENFER
reconstruction
grogne
urgence
police des mœurs
La Rurakaroise
Renaissance !
A vau l'eau
CRISES
Chefs Religieux
vrai chantier
grandesquestion
pari perdu
délire continu
asphyxie
Ndoumbélane
question référe
désastre humain
TARDIF....
Défit africain:
opposant
Combattant
Le discours et
Tout est obscur
raison et force
L’alternance ou
Dation paiement
Du néon au néant
les coupables
Mon espérance
Ils reviennent
SCANDALE
Les 270 milliard
?
éthique
DAA BAAX
Mort
inondations
Youssou NDOUR
Au-delà du
la vraie voix
mythologie
vente d'idée
Restitution
tracteurs inadap
pertinence de
L’AEROPORT LSS
ILLEGALITE
déficit
audit ou bilan
sortie de scène
Cris du cœur
l’Etat crée
As du BLUFF
les4 oppositions
DIVERSION
Sopi décevant
Wade assure
une affaire
CANDIDATURE
tromperies
le rejeton
Nous parlerons!
honte et
quelle gouv
Mourir pour des
vers l’abîme
déjà en campagne
Chance ou mérite
promesse
Le petit toubab
Ce feu qui couve
Trous noirs
«On n’ira pas
BLANCHIMENT
REMINISCENCE
La cloche a sonn
le couteau
le FMI n'a pas
la révolte
SOS
SENEGAL
Opposition
Guinée :
Le dégénéré
maître absolu
Perspectives
la peur de
le suspect n°1
Présidentielle
Evocations noire
ARGENT DOUTEUX
Basta !!!
‘J’accuse
les tâlibés
Les nervis
Témoignages
CONFRERIES
Le vieil
nombreuses bourd
la solution
GARE à
QUELLE EDUCATION
menaces
Démystifier
grâce à Dieu
spéculateurs
la plus grande
Le Droit
le Mouridisme
subordination !
Trop c’est trop
l’apologie
Appel
l’Etat de droit
dérives
parrain
une calamité
calvaire du peup
Le gouffre
COUPURES
un nouvel ordre
Vendredi noir
la barbarie
LA BANLIEUE
Résister
sursaut citoyen
danger
Atteinte
L’ignorance
Cet Etat,
CHATEAU DE SABL
Levéritable pion
Pilotage à vue
trous de mémoire
Cris du coeur
STOP!!! KARIM
Ouf !! Karim
L’enseignement s
La grande bévue
DIALOGUE POLITIQ
La gauche
L’ombre de 2000
F.M.I/Sénégal
15 milliards
L’enseignement
Rue Publique
Plaintes et Comp
Dérives
combattre
Un REGIME
Touche pas à leu
candidature
Un Nobel
L’ens. supérieur
cuisine étrange
la continuité ou
Promotion
le temps du peup
« Scandalite »
rocambolesque
institutions de
DISTORSIONS
L’argent
LOI DE FINANCES
Un piège
Les médias:
Garder
l’article 32
Cumul
DIPLOMATIE
Alerte :
un canular :
Destins décroisé
Les leçons
Le Sine
La faim :
CULTURE
12 MILLIARDS
Le scandale
citoyenneté
vieil homme
PASSION
La République
Un management
santé publique
Dialogue politiq
LE CHOMAGE
Incha Allah
« Du boulot ! »
transformer
Liquidation
Accommoder
Dénonce et comba
DIALOGUONS:
bluff
La corruption
journalistes
Un président
désinvolture
CHANGER DE REGAR
La COLA
le F.M.I
Falsification
G R A V E
Ces scandales
N O N
BAKHCHICH
Liberté Presse
tentative de
le culte de la
A F F A I R E
Le deuxième tour
référendum
Le corrupteur
Etat corrupteur:
Chronique :
FMI et L'AFRIQUE
Seguragate
LES FRONTIERES
une désinvoltur
IMAGE ternie
LA BCEAO :
Le monument
le mensonge,
The “Seguragate”
Cet Etat,
Savoir partir
‘Wade délire’
D E R I V E S
LES MALLETTES
dégénérescence
133.000 euros
Les inondations
Peuple oublié
Renoncez
Vous avez dit...
Manifestations
Internet
Wade,
Syndicalisation
grand mépris
profondément mal
sans diplôme pro
Péril
Indignation
HONTE
Aux positions
L’argent
la mallette
le ventre mou
Wade doit partir
85 ans révolus
déni de gestion
la survie
2012 en référend
l’Affaire Segura
MON NEGRE A MOI
On prend les mêm
La tortuosité
pouvoir /opposit
Pourquoi
Sénégal - Fmi
La démocratie
L’Empereur
2012 :
difficultés
ou périr
descendre dans l
la mal gouvernan
D E C L I N
GRAND’ HEURE
Plaidoyer
Le scandale
couvert
Wade-Idy :
L’AVEU
un amateurisme
çà suffit !
le vaudeville
Détails…
doyna - ça suffi
une hérésie
Le S.Gl.National
chances de Thiès
Au théâtre
Une candidature
On m’écarte, je
valeur ajoutée
DERNIÈRE CARTE
Ne jouez pas
Du pouvoir
LATHEATRALISATIO
C’EST POSSIBLE
EMIGRATION ESTUD
Suspicions
l’énergie
RISQUES
Renaissance
le ‘généreu’ Wad
Dépenses fiscale
second souffle
impossibilité
forêt libérale
Détrompez-vous
Averse
projet politique
grands bandits
L’incroyable
malaise
Ali Baba
Segura/Delsey
«Mii Rew»
quadrature du ce
Faut-il
Crise génralisée
POURVU QUE
Délit d’initiés:
l’Université
« Dans notre sys
SENELEC
Et la jeunesse ?
Les frontières
Pour qui voter
Il est temps
partons !
arachide
Transformer
TOUCHE PAS
la règle des «l
la basse-cour
LES ENTRAVES
L’IMPUNITE
Méta-économie
Si l’enfant
est-il toujours
La renaissance a
Il n’y a pas de
DEGAT COLLATERAL
l’infecte gouver
Ce monsieur
Merci Latif
c’est choquant
Observons juste
les hyènes
L’ultime sacrifi
en danger
Trois fois Non !
sauver la planèt
APPEL
Ces honteuses
il faut agir
Quelles solution
les voleurs
La banlieue
la liberté d'exp
L’ERREUR
La République
Tous derrière Ka
murs «inabattabl
kadialy
unique objectif
migration
la «Waddenzee»
indigence
MANŒUVRES
LE FILS
La majorité
Les Wades
TRANSITION
le Cardinal
’’dommage’’
LA RESPONSABILIT
Essai de lecture
réponse politiqu
L’appel
L’incohérence
Eviter de
NTIC
sopi pour demain
leurres et lueur
un coin du voile
Sociologues ?
Tel père,
pour ou contre
Wade III
Est-ce que
WADE – IDY
Un devoir
gagne-pain
MCA
RÉFORME
“arti-faux”
TELE
protection exorb
le grand perdant
CONNAÎTRE
Questions focale
Dérives :
A-t-on oublié
l’espace public
NEGLIGENCES
les vraies opti
Les IMAMS
Un modèle
Un autre
« mœurs légères
AMERS CONSTATS
DU THEATRE
Cheikh Abdoulaye
“woyaan”
raison !
Atouts
le vieil homme
erreur monumenta
guides religieux
pas normal !
conciliation
Que faire ?
ping-pong
sauver Karim ?
tralala… là ?
sondages
Adieu
Non
formation
interpelé !
Déficit
les dérives
Centre Ville
Roue libre
espoir
le civil
contradictions
De la sociologie
Les colosses
République laïq
le paradoxe
s’indigner
Du bon Dieu
étudiants
Hommage
Histoires
Polémique
PARTIR
L'Eglise, la sta
Derniers Mohican
à Dakar
le vice-présiden
La MECQUE
VOEUX 2010
Mondialisation
Faudrait-il
Pèlerinage
l’école
Le pacte
MAMADOU DIA
INSULTES
raison garder
fin d’année 
L' INFECTE
DIS-MOI
Arrêtez
Nouvel eldorado
Quand l’outsider
TOUJOURS
L’ANTECHRIST* !
Sénile Esprit !
Bargny
GUEST EDITO
le fanfaron
LA FIN
grand réveil
année dé-sculpté
Transparency Int
unis contre Wade
Le mythe
de l’hypocrisie
Afrique :
Archives
LA FOLIE
Me Wade
Ensemble
humilité
mauvais procès
TOUT VU
UNE IDOLE
Wade na demm
Une crise
renaissance afri
Wade et l’Eglise
sans mémoire
S’interdire
Réponse
Triste destin
Sénégal :
culot
NON
nouveau pacte
ENSEMBLE
Attaque Wade
ERREUR
Ces statues :
francs-maçons
QUESTIONS
LE DEBAT
responsabilité
Sunugal
logique consensu
l’homme des tas
LE MONUMENT
Elégance
OTAGES
Bonnes feuilles
TELEVISIONS
Les éditeurs
structures fermé
African Leaders
EDUQUONS
Amateurisme
La NATION
MESSAGE
S’il vous plaît
“ Sauve qui peut
FIN DE REGNE
Haïtiens
Les dérapages
GTI
les controverses
péril
finit… mal
griotisme
Sommes nous
PREDATEURS
LE FEU
Une statue
le Coran
35 pour CENT
Monarchie
SENEGAL:
MEDIOCRITE
Quel pays
Rapport 2008
Rapport Fij 2009
DEFICIT
Une vaste arnaqu
La risée
maître du ‘Je’
ALERTE
La Wadocratie
ABDOULAYE WADE :
THIEYE Lii
Changer ou périr
Halalli
M. le Président,
chaotique
Frénésie
perdre le pouvoi
Pays à la dérive
Le père
RESTAURATION
LA DEMOCRATIE
espoir. fatalité
des « recyclés »
ciseau libéral
L’échec
STATUE
Bâtir
La recette japon
R O I
Les provinces
BENNO
GORILLES
malgré tout
Pitié
candidature uniq
SCANDALES
MONUMENT BI
L’Alternance
L’affaire Artp
Lettre ouverte
KARIM
Indépendance
L’Homme
Ibrahima Fall
LA DECEPTION
DIX ANS
ORDRE ancien
ALTERNOCES
WADE DECEVANT
An 10 de l’Alter
Les festivités
Bons Impayés
prix du loyer
Saint d'ESPRIT
NON, Monsieur
Le franc CFA
leader politique
Marchés publics
dialogue politiq
Farba Senghor
LA PAIX
OTAGE
Casamance
INDEPENDANCE
le passager clan
délit de presse
enseignement de
Ô Sénégal,
LE JOUR OU
50 ans de l’Indé
déboulonner
O R D R E
dix ans de l’alt
Cinquante temps
la ferraille
du gâchis»
Quand la publici
De qui se moque
Indépendance
système éducatif
La tragédie
pillage
DEMAIN
la mutation
BASES FRANÇAISES
ARCHIVES
les salaires
Questions & rép
unique adversair
destin bancal
Je proteste !
Eau potable
demi siècle
Youssou Ndour
L’Indépendance
P.D.S
ARACHIDE
LA POLITIQUE
innover !
enfant mendiant
le mirage ou ...
SI JAMAIS il...
dépense publique
enseignement
violation
Le Peuple,
Le débat ne peut
Politiques
POURRITURE
Les fondements
televisions
Les marquises
La précarisation
Ce dialogue
ELECTRICITE
sous le joug
ABIDJAN
J O N C T I O N
front pour la Ré
AGIR
BANLIEUE
Le 1er Mai
tragique
ruse
acharnement
C.T.Gadio
succession ?
« Leneen »
VIOLENCE
Une comédie
LA PARITE
POLITICIENS
PARITE 2
Un peuple
Enseignement
RETENUE
fetichisme
DEMAIN !
Que prépare Wade
CINEMA
Genre-parité
Coup de patte
URGENCE
HARO
Les bus de DDD
DIVERS
ÉTATS-UNIS
le mouvement cit
B O U R D E
DANSOKHO
E N F I N
Et après ?
terrorisme
TRANSMISSION
DERISIONS
POSSIBLE
Doyna sëk
catastrophe
Indépendances
Pouvoir et Oppos
IMPOTS
2è TOUR
Usa-sénégal
L'alternoce
Karim
Par devoir citoy
Corruption :
L'usure (riba)
INONDATIONS
50 ANS INDEPENDA
Fichier électora
auditer fichier
Normalisation
Bourgui Wade
Dakar Dem Dikk
Mamadou Dia
désinfecter
Les 3
La grève
indifférent
mépris inaccepta
PROVOCATION
PRESSE
D E S T I N
délires et de ra
SYNDROME 2007
Fonctionnaires
VOLAILLE CHAUVE
FAUSSE PISTE
Une mallette
ne gouverne pas
L’humilité
l’argent
Ministre
CARRIERES
L’opposition
2012
MEDITEZ
CIRCULEZ
Téléphonie mobil
Le solaire rural
SOWETO
CALIGULA WADE
Sénégal de 2012
un homme passif
le crépuscule
Présidentielle
SYNDICATS
le lumpenproléta
Dernier rempart
Délestages !
Karim Wade,
Le mérite ne se
Quelle solution
Non, Karim,
quelle pertinenc
l’irresponsabili
apocalypse
que force reste
Karim Wade en li
Monsieur le prés
régime libéral
Vente des terres
Les masques tomb
théorie fumeuse!
Mademba Sock ?
TOURISME
Le vent de révol
AU -D E L A
une priorité
P E R I L
La petite erreur
mon pays ?
Electricité
L’ultime coup de
Sondages politiq
qui croire ?
TROISIEME MANDAT
patriotisme ?
Benno Siggil Sen
l'ivresse du pou
Kandide Wade
pour manipuler
récurentes inond
Le dernier homme
L’identité afric
quelle Républiq
Sans Ethique
Global Voice
Très chère
A chacun
la méritocratie
Ces Seigneurs
ELUS
ne contrôle plus
LES RICHES PAUVR
TRAHISON ?
PDS:FONCIER
barbarie ?
Latif Coulibaly
Globale Folie
grande arnaque
véritables enjeu
Mépris ou mépris
Stade suprême
vers une dynasti
Ambassadeurs
advienne que pou
Appel de détress
La ruse
exceptionnel
mendicité
Au secours !
encore 1waderie
apprivoisement
Une « curiosité
CINQ Exploits
courage politiqu
Quel candidat
AU NOM DU
TOURMENTE
totalitarisme
E R R E U R
Collectivités Lc
un prix à payer
Rompre enfin
que la LUMIERE
trop c’est trop
marchandage
Karim Méga Watt
IGNORANCE
Etonnant Wade
E T H I Q U E
Crise de l’Energ
Machiavel
CHAOS
L’Etat a t-il
hors course
NATION ALITEE
La mouche
père & fils
Tsunami
Que reste-t-il
CORRUPTION
pâle copie
UBUESQUE
TOUS
Terminus 2012
DEMONS
la révision list
danse du scalp
WADE MALADE
3éme mandat ?!
le triste sort
la croissance
SYNDROME
HERITAGE
T R O P
des institutions
COTE D'IVOIRE
fesman3
aides allouées
«Y en a marre »
immolations
Le 19 Mars 2011
Y ' EN A MARRE !
Le choix de Madi
moribond
Le temps révèle
Coups d’état
statut victimair
HOMME D’ETAT ?
AU MOT
Le prix de la ra
ndoumbélane
Improbité social
Mouvements citoy
LA SECURITE
un défi à releve
Terminus2012
la République
T I C K E T
Wade GO
L'assommeur
23 JUIN 2011
Quel enseignemen
P A I X
Le paradoxe
JEUNESSE
«Si les > Sénéga
De l’Indignation
LEçONS
REPONSES
SUNUGAL
N O N
Sale temps
« QUART BLOQUANT
sortie de crise
implosion social
«par devoir !»
A l’attention
WADE DEGAGE
Où est l’Etat ?
CONFLAGRATION
TRAGEDIE
la montagne
PEUR BLEUE
MENSONGES
Me WEDDI
SORTIE
A DIEU
que faire ?
ce que la rue
Bennoo a initié,
TEST
TRIBUNAL
Faillite
Autocratie
Citoyens et patr
Subordination
Conseil constitu
de mal en pis !
Impasse
pour le REPOS
S E U L S
exigence populai
une génération g
L’élection prési
PSERIGNE DIOP
la postérité
G A L E R E
en DANGER
Ce que Wade
LE PARADOXE
le péché origine
Quand les mouton
FAUX DEBAT POLIT
Les Mercenaires
Et si le préside
Ces exorcistes
LA METHODE
Abdoulaye Wade :
Le Président Wad
le Sénégal méri
Cour des comptes
PROGRAMME
Macky Sall :
Bennoo : tout ça
Mauvais présage
quelles conséque
Présidentielles
contentieux cons
Candidature de
candidat consen
Macky
incertitudes
le Sénégal tombe
facebook s'invit
DESENGHORISER
nonagénaire grab
Réagir ou Périr
Mes chers compat
Le vieillard et
L' IMPUNITE
DRAMATIQUE
le 23 décembre 2
Violences scolai
dernier combat
candidats déclar
IMPROBABLE
‘Nguur kenn du k
Emploi au Sénéga
libéralisme wadi
la ‘cécité de Be
Nihil Obstat
Département d’Et
vieille démocrat
Quelle paix ?
A S S U M E R
RESPONSABILITES
Le soleil se lev
S T O P
D E F I A N C E
peuple gibier
WAKH WAHET
De l’art de (mal
SE L E V E R
Le bien public
ADRESSE AUX REPU
conscience citoy
FORFAITURE
IMPOSSIBLE
à feu et à sang
T E N S I O N S
Qu'avons-nous fa
12 MORTS
A U T O C R A TE
WADE (KARIM)
un DEVOIR
M A I T R E
La voie/voix du
A T Y P I Q U E
wade DEGAGE
U R G E N T
Cabochard Polit
nouveau Presiden
V O T E Z
PESTE OU CHOLERA
WADYNASTIE
A L E R T E
différemment
YAO NDRE
contentieux élec
UN
le 25 mars 2012
DIGNITE
REPUBLIQUE
Quatre appuis
L' A R G E N T
PARDON
DISCORDE
TAM-TAM
F I N

 

Liens

 Home  | Livre d'Or  | Album-Photo  | Contact

des sénégalais de la Diaspo

Appel de détresse des sénégalais de la Diaspora  
Washington, le 13 août 2010  
 
 
A Monsieur le président de la République du Sénégal  
 
 
 
Objet : Appel de détresse des sénégalais de la Diaspora 
 
 
Monsieur le président,  
La situation difficile que traverse notre pays et la nécessité d’apporter des solutions urgentes aux problèmes qui nous occupent nous imposent l’obligation de vous adresser cette correspondance exceptionnelle. Ce n’est pas une seule personne qui vous écrit, mais plusieurs associations de la Diaspora sénégalaise établies en Amérique, inquiètes de la tournure dramatique que prennent les affaires du pays sous votre commande.  
 
Les populations sénégalaises vivent des difficultés que notre esprit civique et notre devoir moral ne nous permettent plus d’observer sans agir. Les Sénégalais des banlieues font face à une crise sans précédent, aggravée par les inondations, la rareté des ressources et les coupures intempestives d’électricité qui ont mis à genou les Petites et moyennes entreprises ;  
Le monde rural, malgré les programmes annoncés en grandes pompes, doit faire face à une politique de désengagement qui livre les paysans à eux-mêmes.  
Le Sénégal, il est vrai, fait face à des besoins importants de financement de son développement, dans un contexte mondial marqué par une crise économique et financière sans précédent. Mais nous nous opposons avec toute notre énergie à la mesure que vous avez prise de combler le déficit de recettes de l’Etat en augmentant de manière inconsidérée les prix des appels internationaux entrant, alors que vous auriez pu trouver ces ressources additionnelles en réduisant le train de vie de l’Etat.  
 
Monsieur le président,  
Cette mesure est d’autant plus injuste, qu’elle consiste à spolier les Sénégalais de l’extérieur d’une partie l’aide qu’ils apportent à leurs familles restées au pays, pour enrichir une société étrangère dans des conditions qui défient le bon sens. Rappelez-vous qu’il y a quatre ans, vous avez mis en place une redevance aéroportuaire, une surtaxe sur les billets d’avion sensée financer l’aéroport international de Diass. Des années plus tard, un flou total règne sur l’utilisation de ces fonds, alors qu’un emprunt de plusieurs centaines de milliards de francs a été effectué sur le marché international, pour les mêmes besoins.  
Loin d’être un fait isolé, cette mesure fait partie d’une suite ininterrompue de mauvaise gestion et de pratiques douteuses qui ont mis à genou le tissu industriel sénégalais et plongé nos familles dans le désarroi. Maintenant qu’elles se tournent vers nous en implorant notre secours, vous vous en prenez à nos économies d’une manière si injuste.  
 
Alors que les populations expriment partout leur indignation, votre gouvernement a entrepris d’étouffer toutes les voix dissidentes et de réprimer toute tentative de dénonciation. Au Sénégal comme à l’étranger, des journalistes sont poursuivis, des mouvements de révolte réprimés, des manifestants torturés à mort. 
 
Monsieur le président,  
Une telle situation ne saurait perdurer. Un régime politique, quel qu’il soit, compromet les conditions de sa survie quand il tourne le dos à ses propres engagements et aux préoccupations de ses citoyens. C’est pourquoi, nous Collectif des associations sénégalaises de la Diaspora, invitons votre excellence à des mesures urgentes allant dans le sens de l’amélioration des conditions de vie des populations. Les Sénégalais de la Diapora vous appellent à dénoncer immédiatement le contrat qui lie l’Etat du Sénégal à Global Voice et à l’ouverture d’informations judiciaires dans tous les cas de mauvaise gestion rapportées par l’Armp et l’Inspection générale d’Etat. Ce sont là les conditions minimales du pacte social auquel vous avez souscrit en briguant le suffrage des sénégalais. 
 
Dans l’espoir que cet appel du cœur sera entendu par vous et par votre gouvernement, nous, Collectif des associations de la Diaspora basées en Amérique, vous prions d’agréer, Monsieur le président de la République, l’expression de nos sentiments respectueux  
 
Club de la Diaspora, ECA, Diaspora citoyenne Cincinnati  
Adresse : 16803 Imperial Valley Dr, apt3, Houston, TX 77060  
Ampliation : Ambassadeur du Sénégal aux Etats-Unis d’Amérique 
 
 
Auteur: Club de la Diaspora 
 
« NGOR » : Un mot symbole de l’éthique et de l’équité 
 
Dans la langue Wolof, l’expression « ngor » se traduit par un engagement à défendre des valeurs positives. Elle renvoie, également, à un effort personnel sur soi pour rester conforme aux valeurs sociales héritées, quelle que soit la situation. 
Le terme « ngor » est la colonne vertébrale de l’éducation en milieu wolof, estime Massamba Guèye, docteur ès Lettres, spécialiste de la littérature orale. « C’est un terme lié à l’environnement », déclare-t-il, avant d’ajouter que cette expression relève de l’éthique, de l’équité et de l’éducation. « L’équivalent en français de « ngor » aurait pu être la dignité », dit-il. Et de poursuivre : « Mais, le « ngor », dans le sens où le wolof l’utilise, se traduit par un engagement à défendre des valeurs positives. C’est un engagement à défendre une lignée familiale, mais surtout un effort personnel sur soi pour rester conforme aux valeurs sociales héritées, quelle que soit la situation », confie-t-il. 
Utilisé dans certaines expressions, le sens du mot « ngor » diffère. Par exemple, cite M. Guèye : « quand quelqu’un dit « sama ngor doumou taha déf yénneyi », cela veut dire qu’il a une référence éthique qui fait qu’il ne puisse pas se compromettre. Il s’agit de faire des actes que l’on puisse raconter à sa généalogie et à sa descendance pour construire un pan de la généalogie, parce que dans notre philosophie, chacun de nous est un pan de la généalogie et il ne faut, en aucun cas, rompre le champ de la famille, « wayu askan bi boulko yakh », « wayu dom bul ko yakh », fait savoir le spécialiste de la littérature orale. C’est pour cela qu’on dit, aussi, en wolof « wett goré wétéliku goré » (quand on est seul, on doit rester intègre et digne, on doit l’être, également, quand on est avec les gens). « Il ne s’agit pas alors d’une attitude physique vis-à-vis du monde, mais plutôt d’une attitude morale vis-à-vis de soi-même et qui définit le sens de son existence », explique-t-il. 
Pour étayer son propos, Massamba Guèye donne l’exemple de quelqu’un qui se trouve dans une situation difficile et qui laisse tomber les principes de vie de sa famille pour gagner de l’argent : on dit qu’il a perdu son « ngor » (sa dignité). Et c’est pour cela que les wolofs utilisent le terme « ngor dèy goor si dara », c’est-à-dire la dignité doit reposer sur quelque chose d’essentiel à savoir l’indépendance du revenu économique. Il faut que la personne se débrouille pour être indépendante économiquement. 
Des Sénégalais interrogés traduisent le terme « ngor » par le respect de soi-même ou la fidélité dans l’action ou l’amitié. Pour certains, la personne doit rester égale à elle-même. Aucune situation ne doit jouer sur son comportement habituel. Par exemple, « ngor dou niak ba nianki » (un homme digne ne désespère jamais », « ngor bou thiapé dou bayi » (l’homme digne reste toujours égal à lui-même), etc. Pour d’autres, par contre, le terme « ngor » ne reflète rien d’autre que la personnalité. Ils ont donné, comme exemple, le fait que l’individu ne doit jamais se rabaisser, quelle que soit la situation dans laquelle il se trouve. Aussi, par respect à soi-même, il doit gagner sa vie à la sueur de son front et de façon élégante. 
Selon toujours le spécialiste de la littérature orale, le terme le plus proche de « ngor », c’est le verbe « goor » qui signifie s’accroupir sur ». Par exemple, quand on a un chameau et qu’il se met en position accroupie, on dit en wolof que « Guilème bii dafa goor ». Et là, l’expression « gor dèy goor si dara » revient encore. Dans ce contexte, elle signifie que la personne doit aussi s’accroupir sur des valeurs essentielles qui sont des valeurs de principes. L’homme ne doit pas changer en fonction des situations. Il doit rester conforme à un idéal de vie qui est un idéal communautaire et chronique. 
Anecdotes 
Selon toujours le spécialiste en littérature orale, Massamba Guèye, les anecdotes les plus célèbres qui s’accompagnent avec le terme « ngor », ont rapport avec les champs de bataille. « Quand je prends l’exemple de notre figure historique Lat Dior Ngoné Latyr Diop, l’histoire nous raconte en langue wolof que « malaw guissoul raye bi » (le cheval de Lat Dior qui se nommait malaw a refusé de voir le chemin de fer), « Lat Dior Diop déllousioul Dekheulé », (il n’était pas question pour Lat Dior de revenir à Dekheulé) », cite-t-il. « Ces exemples illustrent parfaitement le « ngor ». Le refus de Lat Dior de revenir vivant et vaincu de Dekheulé s’explique par le fait qu’il voulait défendre son « ngor » (dignité) en restant dans le champs de bataille », explique Massamba Guèye. 
L’autre anecdote citée par Massamba Guèye est en rapport avec les combats de lutte. « Aujourd’hui, le terme qui devait être le plus utilisé dans l’arène est le « ngor ». Malheureusement, on ne l’entend jamais. Ce qui veut juste dire qu’on développe plus une relation matérielle qu’une relation d’éthique. La preuve, nous constatons, de nos jours, un lutteur terrassé qui se relève pour proclamer haut et fort qu’il n’est pas vaincu. Alors qu’avant, les mères de famille avaient l’habitude de nous dire en wolof « samal sa ngor », (veille à rester toujours intègre et digne). Chose rare dans la vie d’aujourd’hui », constate le spécialiste de la tradition orale, Massamba Guèye. 
Maguette GUEYE DIEDHIOU( le Soleil) 
 
Nous sommes responsables de la dégradation de notre environnement 
L’environnement du Sahel a connu beaucoup de changements et de mutations causés essentiellement par les activités anthropiques et des troupeaux. Il est remarqué que la culture récurrente sur brûlis est le facteur principal de la dégradation du couvert végétal et du sol dans cette zone. 
Il faut rappeler ce système agricole date de l’époque coloniale car l’administration coloniale française avait adopté une politique d’appropriation des terres fertiles pour y mener une culture de rente afin de ravitailler les grandes métropoles occidentales en produits agricoles. Ceci au détriment de la culture vivrière des indigènes. 
Cette politique a des conséquences néfastes sur, au moins, deux niveaux : 
1- elle nécessitait l’extension des terres cultivables par le défrichement des jachères et des forêts sèches qui constituaient les sources de gibiers, de fruits de cueillette et de combustible. C’est pour cette raison, que l’administration a favorisé, entre 1943 et 1944, le défrichement de la forêt du Ferlo occidental et méridional et la forêt de la haute vallée du Saloum. 
2- elle contraignait les paysans autochtones à exploiter les terres moins fertiles, ce qui amenuisait leur production qui va de pair avec leur pauvreté. Ces paysans deviendront par la suite des subalternes employés par les grands agriculteurs européens. Ils s’adonnèrent uniquement à l’agriculture de subsistance sur des portions derrière les concessions. 
Cette pratique agricole coloniale a entraîné l’existence de main-d’œuvre, des travailleurs saisonniers (Navétanes) venus de différentes régions de la colonie française en Afrique de l’Ouest. Le Sénégal accueillait sur son sol ces travailleurs venus des pays limitrophes principalement du Mali et du Burkina Faso (Haute Volta). Ceci a aussi créé un nouveau phénomène d’intégration, car certains sont devenus des sénégalais, d’où l’origine de plusieurs villages dans le basin arachidier qui gardent toujours l’empreinte de l’ethnie Bambara, Sarankhoulé ou Mossi soit par la fondation, soit par la réoccupation. Le village de Malicounda en est parfait exemple. 
Ce système a également modifié le mode d’appropriation des terres, de la propriété collective à la propriété individuelle. Les terres étaient considérées jadis un bien commun et collectif, son exploitation ressortait de la volonté collective familiale, souvent incarnée par la personne la plus âgée (le sage). 
Ce changement de propriété foncière imposé aux agriculteurs sénégalais et africains, non formés à la gestion de biens individuels, a eu des conséquences sur les ressources environnementales, car après l’éclatement des grandes familles, se sont créé de petits foyers qui, à leur tour, auront besoin de portion de terre à cultiver. Donc dans ce cas, chaque individu est obligé de défricher la forêt (propriété commune) pour créer sa propre propriété foncière. 
Ce système et la faible utilisation des intrants en vue de compenser l’appauvrissement de la terre ont favorisé l’agriculture extensive et/ou itinérante qui consiste à défricher annuellement de nouvelles terres mises en jachère ou de forêts sèches. Ceci étant le seul moyen pour augmenter le rendement agricole, a contribué à l’accoutrement des périodes de jachère qui va de pair avec l’appauvrissement ou la stérilisation du sol. Ceci due à la faiblesse de la capacité de fertilisation par des engrais organiques. 
Il convient de noter que les tiges de mil et les pailles sont utilisées respectivement comme fourrage, combustible et élément de clôture, pour la confection des toitures des cases, s’ils elles échappent aux feux de brousse. 
Ces engrais organiques et les fumiers constituent la base de fertilisation du sol en Afrique qui utilise très peu d’engrais chimiques par rapport aux autres continents. Par exemple, en 1983, l’Afrique a utilisé moins de 10 kilos d’engrais chimique à l’hectare, contre 37 kilos en Amérique latine, 41 kilos en Asie et 46 kilos au Proche-Orient (Harrison, 1991). Cette tendance n’a pas connu une grande amélioration en Afrique subsaharienne. Cependant il faut signaler que ce peu d’engrais chimique disponible est généralement utilisé pour la culture de rente (Milton, 1997). 
L’introduction des machines agricoles modernes en remplacement des charrues rudimentaires tirées par des bœufs, a laissé de traumatisme au sol, au couvert végétal et à la faune. Pour bien labourer une portion de la terre, il fallait d’abord la déboiser et ensuite extirper les racines des arbres et arbustes pour que le terrain devienne nu, facile à travailler. Dans les années 60 -70, ce phénomène a été presque pratiqué dans le domaine soudanien, au centre du Sénégal, par des grands exploiteurs agricoles disposant de moyens financiers et de machines. Des dizaines de personnes extirpaient quotidiennement les souches de la forêt-parc qui existaient entre les villages de Guédiane et Diossong, sur la route qui relie Passy à Sokone (région de Fatick), moyennant 25 FCFA par unité. 
Dans plusieurs pays africains, le secteur agricole contribue à plus de 50 pour cent au PIB, ce qui fait que si ce secteur connaît des difficultés, tout le système économique du pays subit les conséquences et le pays est paralysé. La négligence de la culture vivrière et l’adoption de la culture de rente, non appropriée au besoin national, après les indépendances des pays africains, sont l’une des causes qui a accentué la pauvreté des populations (Tapsoba, 1988). 
L’absence d’intrants, la diminution de la pluviométrie en volume et en durée, la croissance démographique, l’épuisement de la terre cultivée, la disparition du système de jachère ont poussé les populations à exploiter de nouvelles terres infertiles, jadis abandonnées. Ce phénomène a des conséquences notoires sur la capacité et la rapidité de régénération de la végétation et sur la disparition de beaucoup d’espèces vulnérables tant végétales que fauniques. 
La dégradation de la zone nord du Sénégal constituée de plusieurs vallées fossiles étendues sur 5 à 10 km, formées de matériaux colluvio-alluviaux d’une épaisseur de plus de 10 m, est due à la disparition de la forêt sèche et l’herbe vivace par l’agriculture. Dans cette partie nord, les quelques résidus des arbres utiles protégés dans les champs rappellent la forêt ancienne, telle que Parkia biglobosa, Cordyla pinnata, Tamarindus indica avec la présence majestueuse des espèces de substitution comme Combretum glutinosum, Guiera senegalensis, Piliostigma reticulatum, Ziziphus mauritiana. 
Le pastoralisme vient au second plan parmi les facteurs qui détruisent le couvert végétal. L’Afrique possède la plus grande surface de pâturage dans le monde avec 778 millions d’hectares en 1998 (Harrison, 1991) cela traduit le nombre considérable de pasteurs en Afrique estimé à environ 26 millions de personnes qui vivent exclusivement de l’élevage. 
L’élevage nomadisme pratiqué dans la zone du Sahel a des conséquences tant au niveau des points d’eau modernes, forages, puits et bassin de rétention, qu’aux marigots et rivières. 
Il ressort des études menées dans différentes régions du Sahel notamment au Sénégal sur le forage de Révane Ndiayène Fouta ( de Wispelaere,1980), au nord du Burkina Faso (Sicot, 1989) et au Ferlo, dans le nord du Sénégal et au site de Souilène (Akpo et Grouzis, 1996) l’aspect dévastateur des troupeaux. La fréquentation quotidienne du cheptel (bovins, ovins, caprins) au tour des forages et des points d’eau laisse des séquelles importantes tant au niveau du sol qu’au niveau du tapis herbacé et du couvert végétal arbustif (de Wispelaere, 1980). Ce phénomène de nomadisme et de transhumance pour pallier la carence des ressources fourragères, inhérent au système pastoral sahélien rend le sol meuble et exportable par le vent et l’eau de ruissellement. Ceci entraîne une perte annuelle considérable de terre d’environ 40 %, sur les parcours naturels du cheptel (Sicot, 1989). 
Le passage quotidien du cheptel autour des abreuvoirs, la nudité du sol et la maigreur du tapis herbacé brouté par ces animaux, provoquent l’érosion éolienne et hydrique. Ce phénomène engendre l’ablation des horizons superficiels et empêche l’eau de ruissellement de pénétrer à cause de l’induration des horizons du sol. C’est ainsi que les arbres finiront par périr, sur un rayon de 2 à 3 km, au tour des points d’eau. 
L’émondage est aussi l’un des facteurs destructeurs du couvert végétal du Sahel. Trochain (1940) a constaté l’ampleur de cette pratique et a averti les autorités en déclarant :’’qu’il faut lutter contre l’abus du pâturage, de l’émondage des arbustes fourragers et de la saignée ou lapping des Acacia Sénégal’’. 
Ce phénomène pratiqué par les éleveurs-nomades consiste à couper les branches de quelques rares arbres protégés dans les champs culturaux, qui gardent leurs feuilles en saison sèche. Ces feuilles vertes constituent le seul fourrage pour les troupeaux après le passage du feu aux broussailles et aux tapis herbacés secs. 
Le plus grand fléau endémique en Afrique qui menace le couvert végétal sahélien est le passage saisonnier des feux de brousse. Le feu et la hache sont deux moyens inhérents à la pratique culturale et pastorale africaine depuis l’antiquité à nos jours. 
Le naturaliste français Adanson (1757 ) avait mentionné l’usage du feu par des indigènes au défrichement de leurs champs dans la région du fleuve Sénégal. Il dit :’’les nègres n’avaient mis le feu aux herbes et aux broussailles, que pour mettre le sol en état d’être ensemencé l’année suivante’’. 
On coupe, on brûle et on émonde chaque jour de centaines d’arbres, résidus de l’ancienne forêt, vieille de plus de cinquante ans, sous prétexte de reboisement. Mais la question qu’on se pose avec acuité est de savoir comment et dans combien de temps les arbres plantés se substitueront aux arbres coupés ? 
Le feu incendie l’écorce et laisse une ‘’plaie’’ sur le tronc où les paysans, désireux d’éliminer l’arbre, met le feu. Cette méthode est fréquemment employée aujourd’hui pour se débarrasser des arbres utiles jadis protégés dans les champs. 
Ces deux phénomènes récurrents tuent les arbres rapidement surtout quand la partie extrême des branches est morte et devient la proie des feux. 
Ce double attaque, par la hache et le feu, expose l’arbre au danger en le privant des moyens pour se défendre contre les insectes nocifs ce qui le rend vulnérable. Il empêche aussi la bonne circulation et diffusion du bas en haut des matières nutritives puisées du sol à travers les vaisseaux. 
Devant la raréfaction de bois mort dans la zone du Sahel, beaucoup de femmes écorcent certaines espèces pour s’en servir comme bois de chauffe tel Cordyla pinnata ‘’Dimb’’ qui a une épaisse écorce écaillée. Cette pratique laisse aussi une plaie sur l’arbre qui, après plusieurs passages de feux, meurt par la suite. Ces ‘’plaies’’ rongées par le feu créent un trou sur le tronc qui devient le lieu de refuge pour certains reptiles comme le serpent et les petits ruminants. 
Le gouvernement du Sénégal, conscient de la gravité des feux de brousse, avait prévu à l’époque du ministre de l’Environnement et de la Protection de la nature, Monsieur Thierno Lô, de dépenser 24 milliards de francs CFA, pour la période 2005-2006, pour la réhabilitation et l’équipement des unités de lutte contre les feux de brousse. Cependant, la zone sylvo-pastorale a enregistré durant l’année 2005 environs 27 feux de brousse qui ont ravagé 41.000 hectares sur une superficie globale de 1,5 millions d’ha. C’est pour cela que le Ministre a décidé de recruter 150 forestiers qui auront la mission de sensibilisation des populations sur l’importance de la biomasse hérbacée. 
La déforestation des forêts qui constituent le poumon de notre planète constitue un danger pour l’humanité. Selon la FAO, le bassin du Congo, deuxième poumon du monde, perd chaque année 4000 hectares, le Gabon où la forêt couvre 18 millions hectares des 26,8 millions d’hectares du territoire national, perdra la moitié de cette forêt à cause de la commercialisation du bois qui y représente 68% des recettes d’exportation hors pétrole. 
Par exemple à Yatenga, au Burkina Faso, qui a connu un fort déboisement entre 1952 et 1973, le besoin en bois est estimé à 62 000 tonnes alors que la capacité d’approvisionnement en bois n’atteint que 26 000 tonnes, ce qui donne un rejet très faible vu l’intensité de l’exploitation agro-pastorale. Le besoin annuel ascendant en bois dans ce pays fait que la couverture boisée demeure surexploitée de l’ordre de 1,35 millions m3, soit un stock d’environ 80 000 ha de terres boisées (Griffon et Marty, 1993). 
Au Ghana, 85% de la forêt a disparu au bout de 50 ans et fut remplacé par la culture de rente (marché industriel), de même qu’en Cote d’Ivoire, en espace de 10 ans, entre 1975 et 1985, 290 000 ha de la forêt vierge ont été défrichés et mis en culture. Selon le rapport de l’ONU le lac Tchad a perdu 90% de sa superficie forestière au bout de 45 dernières années à cause de l’exploitation irrationnelle du couvert végétal pour l’agriculture et l’élevage. 
Le nord du Sénégal était caractérisé par sa forêt dense avec une riche diversité notable en faune et en flore. Adanson (1757) déclare que cette ‘’ terre déserte n’a jamais été défrichée, toute couverte des bois anciens’’ dans laquelle ‘’les animaux, les plantes et les oiseaux que je rencontrais à chaque pas m’y invitaient’’. 
Trochain (1940) dit en décrivant la densité des forêts au nord du Sénégal pour que le Gouverneur Faidherbe puisse circuler :’’ il devait faire éclairer la forêt au sabre d’abattis pour progresser vers Bakel’’. 
Actuellement la majorité de ces forêts ont été défrichée soit pour l’agriculture, soit par les charbonniers, ce qui a causé leur disparition quasi- totale. La forêt, décrite par Adanson, s’est déplacée du nord vers le sud, est se localise aujourd’hui à environ 500 kilomètres, c’est à dire en Casamance. 
Au Sénégal les forêts classées ont perdu la majorité de leur composante en flore et en faune à cause de la forte exploitation. Plusieurs de ces formations sont aujourd’hui une coquille vide, entourées de grands arbres et vidées au milieu par la hache des charbonniers. Elles ont un aspect de forêt sèche aux alentours mais en réalité elles sont des savanes arbustives au milieu. Par exemple la forêt de l’île de Kouyang classée en 1933 et la forêt de Koutal classée en 1936, situées respectivement au sud-est et au sud de Kaolack, ont perdu, surtout la forêt de Koutal, la quasi-totalité de leurs composantes ligneuses exhibées par l’inventaire de 1993. Les espèces disparues sont celles constamment utilisées, soit comme bois de chauffage, bois d’œuvre ou bois de charbon (Sambou et al.,1994). 
Buttoud (1989) estime que le taux de déforestation au Sénégal s’élève à 50.000 hectares par an. La forêt sèche couvrait 28% du territoire national en 1946 mais en 1963 elle ne couvre que 3%, la savane arborée a connu aussi le même recul de 31% à 5% pour les mêmes périodes . 
Ces forêts connaîtront le même sort ; c’est le cas de la forêt de Pata en haute Casamance classée dans les années 50 mais actuellement plus de 35000 ha ont été défrichés pour accroître la production de l’arachide qui passe de 74.000 tonnes en 1997/98 à 80.000 tonnes en 98/99. Ceci a nécessité, selon Sylvie Fanchello, géographe à l’IRD le défrichement à blanc plus de la moitié de cette forêt, environ de 73.000 ha, provoquant l’assèchement de plusieurs marées et points d’eau. Cela va de pair avec la disparition de la faune et de la flore qui caractérisaient la partie sud du Sénégal. 
le domaine da la mangrove en Casamance qui couvre 100.000 hectares, connaît une forte dégradation due aussi bien à la sécheresse, à la salinisation du sol et des eaux et à l’exploitation abusive soit pour le bois de chauffe (50% de la consommation en bois de la ville de Ziguinchor viennent de cette formation) , bois d’œuvre et charbon de bois, soit pour la construction des cases ; 90% des cases sont faites par les palétuviers dans cette partie sud du Sénégal (A.N. Diop, le Soleil ; 03/04/2001). 
Il ressort de ce bref exposé la complexité d’harmoniser entre les activités que mène l’homme sur son environnement et la capacité de ce dernier de résister. 
• Dr El Hadji Ibrahima THIAM 
• Anthracologue 
• Email. Thiamsane@yahoo.fr 
Références bibliographiques 
• Adanson M., 1757- Histoire naturelle du Sénégal. Coquillage. C.J.B. Bauche, Paris, voyage au Sénégal, 190 p. histoire des coquillage, 275 p. 
• Akpo. L.E. et Grouzis, M., 1996 – Influence du couvert sur la régénération de quelques espèces ligneuses sahéliennes (Nord Sénégal, Afrique occidentale), Webbia, 50 (2) : 247-263. 
• Buttoud, G., 1989 – Les produits forestiers dans l’économie africaine. PUF, Paris, 321 p. 
• De Wispelaere, G. de , 1980 – Les photos aériennes témoins de la dégradation du couvert ligneux dans un écosystème sahéliens sénégalais : Influence de la proximité d’un forage, in l’Arbre en Afrique tropicale, la fonction et le signe, cahiers ORTOM, sér. Science humaine, vol. XVII – n° 3-4, pp.155-166. 
• Diop.A., 1996 – A propos de la durée de la saison des pluies au Sénégal, Sécheresse ; 7 : 7.15. 
• Elie Akpo, L. et Grouzis M., 1996 – Influence du couvert sur la régénération de quelques espèces ligneuses sahéliennes (nord Sénéga, Afrique occidentale), Webbia 50 (2) : 247-263 
• Giffard, P.L.1964. ’Les possibilités de reboisement en Acacia albida au Senegal’, Nogent sur Marne, Bois et Forêts des Tropiques, 95, p. 29-33. 
• Griffon, M et Marty, I., - 1993 - prospective des déséquilibres environnementaux liés à l’agriculture dans les pays tropicaux, édit. CIRAD-CERDAT, Paris, 288p. 
• Harrison, P., 1991 – Une Afrique verte. Carthala, Paris, 448 p. 
• Milton, K., 1997 - Ecologie : anthropologie culture et environnement, in ‘’Rvue internationale des sciences sociales’’ – anthropologie – problématique et perspectives : II. Explorer de nouveaux horizons, UNESCO/érès, n° : 154, pp.519-538. 
• Sambou B., Goudiaby A., Madsen J.E. et Bâ M.T., 1994 – Etude comparative des modifications de la flore et de la végétation ligneuse dans les forêts classées de Koutal et de l’île Kouyang (centre-ouest du Sénégal), J.A.T.B.A, 36(1) : 87-100. 
• SICOT. M. – 1989 – Contraintes et risques hydriques encourus par l’activité agro-pastorale au Sahel : Exemple de la Mare d’Oursi au Burkina Faso, in ‘’Le risque en agriculture, Editions ORSTOM, pp.131-141. 
• Tapsoba, E., 1988 – Les politiques de sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest : leçon du passé et perspectives futures une revue critique, étude Fao développement économique et social, n° 93 ; 101 p. 
• Trochain, J., 1940 –Contribution à l’étude de la végétation du Sénégal. Thèse d’Etat, univ. Paris, 443 p. 
 

 

(c) coalition contre la transmission patriarcale de la destinée nationale sénégalaise - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 16.08.2010
- Déjà 1743 visites sur ce site!