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mépris à l 'endroit du peuple

KARIM WADE « EN ROUTE VERS LE SOMMET » Maintenant, l’agenda caché 
 
Article Par Mamoudou Ibra KANE, Directeur de la radio RFM,  
Paru le Mardi 18 Mar 2008 
 
Que les sceptiques soient moins naïfs. La « route du Sommet » ne s’arrêtera pas au 11ème sommet de l’OCI qui vient de baisser ses rideaux à Dakar. La route de Karim se poursuivra…  
« Maintenant, nous allons dérouler l’agenda caché ». Ces mots sortis de la bouche d’un confident du Président du Conseil de surveillance de l’Anoci ne sont pas à prendre à la légère. Ce n’est pas un simple jeu de mots. Sûrement pas. Et cet « agenda caché » n’est rien d’autre que la marche du leader de la Génération du Concret vers un autre sommet… le Sommet du pouvoir. Y arrivera-t-il ?  
La réponse à cette question fondamentale, à notre avis, n’est pas dans les moyens colossaux qui seront utilisés par Karim Wade et ses partisans - la fin, détrompez-vous, justifiera tous les moyens possibles, imaginables et non imaginables - la réponse est plutôt dans la capacité des forces d’en face à résister à l’autre Wade. A la stratégie des «Concrétistes» de prendre le pouvoir par tous les moyens, nous espérons de ces moyens qu’ils soient légaux et démocratiques ; il faudra une contre stratégie à cette offensive si tant est l’ambition des adversaires potentiels du fils du chef de l’Etat reste de succéder à l’élu du 19 mars 2000 (demain, le huitième anniversaire de l’avènement du Président Abdoulaye Wade au pouvoir). Cette contre-stratégie, malheureusement, n’ayons pas peur de le dire, tarde à se dessiner. En tout cas, on n’en a pas l’esquisse.  
Au lieu de cela, la presse, encore elle ! a été accusée de se livrer à une entreprise de «fabrique d’un candidat». Erreur. La presse a plutôt joué son rôle de ni pour ni contre Karim Wade. Elle a juste travaillé, plus à raison qu’à tort, sur une hypothèse, celle consistant à ne pas écarter le chef de file de la Génération du Concret de la course à la succession de son père. Et qui peut nier aujourd’hui que la presse avait vu juste ?  
Avait-on vraiment besoin que le Président du Conseil de surveillance de l’Anoci allât dans la banlieue dakaroise pour y exprimer sa vision, malheureusement et malencontreusement, manichéenne du Sénégal - le parti de l’action et le parti de la parole - pour se laisser convaincre (enfin) sur ses véritables motivations ?  
En déclarant il y a plusieurs mois déjà que «Karim est un Sénégalais comme un autre, qui peut se présenter aux élections », le père n’avait-il pas fini depuis longtemps de décliner lui-même l’ambition présidentielle du fils ? La réponse devait pourtant aller de soi sauf si on n’est pas adepte de la politique de l’autruche en se cachant la tête dans le sable pour ne rien voir et ne rien entendre du « péril présidentiel karimien (de Karim) ». Même en disant : « Oui, le chef de l’Etat avait quand même précisé que « ce ne sera pas en tant que mon dauphin » que Karim se présentera demain, cet argument ne saurait être une excuse, encore moins recevable.  
En revanche, le questionnement qui nous parait pertinent est le suivant : Que cache vraiment « l’agenda caché » de Karim ? Quels sont les moyens que lui et ses soutiens comptent utiliser pour parvenir à leurs fins, de pouvoir ? Tous, surtout au sein du pouvoir, vont-ils se terrer, avaler leur langue et ravaler leurs ambitions pour ne pas être accusés du « délit - eh oui ! sait-on jamais ?- de s’être mis en travers de la route vers le Sommet ?» L’opposition dont l’ambition naturelle est de réaliser l’alternance dans toute démocratie digne de ce nom a-t-elle véritablement les moyens (ici nous pensons surtout au profil des candidats qui ne doit pas être négligé) pour faire échec à l’ambition voulue ou subie de Karim ? Enfin, le peuple sénégalais, seul souverain dans une République démocratique, sera-t-il prêt ou non à signer en toute souveraineté, au risque de nous répéter, un nouveau bail présidentiel avec le fils après avoir fini de contracter avec le père ?  
La problématique Karim, si elle en est une, - elle en a en tout cas toutes les apparences- aurait pu et dû être réglée dans cette dernière question relative à la République, qui veut que, en son sein, on ne puisse pas organiser une succession « de père à fils ». Mais dans le Sénégal d’aujourd’hui, peut-on seulement se permettre d’ignorer les faits qui nous crèvent les yeux en se contentant de dire : « Nous nous en tenons aux principes » ? Ce serait une autre erreur. Fatale.  
La République interdit certes l’organisation d’une succession « de père à fils », mais cette même République n’a jamais interdit que le « fils », après tout, citoyen comme les autres, puisse se présenter pour la succession du « père ». Tout est dans la nuance et surtout dans la décision du peuple souverain d’accepter ou de refuser telle succession. C’est pourquoi nous estimons qu’à chacune des questions posées plus haut, il faut la réponse appropriée. Vaste programme.  
En attendant, au moment où il s’apprêtera à prendre la redoutable et grave décision de demander le suffrage des Sénégalais, Karim Wade devra méditer cette leçon d’un autre fils de Président. Interrogé en octobre 2007 sur ses ambitions politiques, Michel Gbagbo, fils du chef de l’Etat ivoirien Laurent Gbagbo, déclara ceci : « (…) Je n’aime pas le terme dynastie parce qu’il ne faut pas que la République soit un instrument au service d’une famille (…) Je suis intéressé par la politique, mais je connais mes limites et je dis, un Président par famille et par siècle, je pense que c’est suffisant. La Côte d’Ivoire regorge d’intelligences pour pouvoir se donner d’autres présidents. Mais plaise à Dieu que je puisse mettre mon expérience et ma modeste contribution au service de ceux qui sont là. Je ne veux pas être Président (…) » Et le même Gbagbo fils d’ajouter : « Mes ambitions sont au nombre de 4, je voulais d’abord être docteur en psychologie, écrire des livres, ensuite être sénateur de la Jeune Chambre Internationale et enfin être député. »  
Simple constat : point de « Président » dans les ambitions politiques de Michel Gbagbo. Loin de nous l’idée de dire que le « cousin sénégalais » Karim doit nécessairement suivre l’exemple du « cousin ivoirien » Michel. Mais, c’est le cas de le dire hic et nunc : le fils du Président Gbagbo ne manque pas de lucidité politique.  
Et si malgré tout, et il en a le droit, Karim Wade devrait choisir de poursuivre sa route vers… l’autre Sommet, il devra jouer la carte de la transparence dans la gestion des fonds engagés dans les chantiers de l’Anoci. Il s’agit là d’un autre agenda non moins important aux yeux des Sénégalais. La crédibilité d’une éventuelle candidature à l’élection présidentielle est à ce prix. A côté de « l’agenda caché », il faudra dérouler aussi… l’agenda transparent !  
 
Nettali : Mercredi 26 Mar 2008 
TALLA SYLLA MONTE AU FRONT : « Face à Wade et son fils, il n’y a que le langage du combat et de la bataille » 
NETTALI - Comme à son habitude, Talla Sylla n’est pas allé par le dos de la cuillère pour fustiger la politique de Me Abdoulaye Wade, expliquant sur les ondes de la radio Océan FM les raisons qui ont amené son parti à rejoindre le Front Siggil Sénégal. Selon le leader du Jëf Jël, Abdoulaye Wade a posé plusieurs actes tendant à déconstruire la démocratie sénégalaise. 
Et Talla Sylla en veut pour preuve les reports incessants des élections locales. Selon le leader de l’Alliance Jëf-Jël, « il n’y a pas de démocratie sans élections. Et depuis 2000, il n’y a aucune élection qui s’est tenue à date échue ». Pour faire face à Wade, « il faut un rassemblement le plus large possible, un dispositif de combat, ce que je retrouve aujourd’hui auprès du Front Siggil Sénégal qui a affiché sa volonté d’élever la lutte de plusieurs crans. Et tant que tout le monde sera dans les dispositions de se battre pour sauver le Sénégal, nous serons du même côté. Parce qu’avec Wade et son fils, il n’y a que le langage du combat et de la bataille ». 
Au sujet du fils de Wade d’ailleurs, Talla Sylla n’a pas manqué de décocher ses flèches pour dénoncer « la volonté de Wade de vouloir instrumentaliser les institutions pour propulser son fils au pouvoir ». Et Talla Sylla de se demander « où étaient ceux qui se disent aujourd’hui du parti de l’action, au moment des grandes luttes pour la démocratie au Sénégal. Je pense qu’ils ne peuvent même pas être membre du parti de la parole, parce qu’ils n’ont aucune parole. Et s’ils sont dans l’action, c’est certainement dans la périphérie de l’action je dirais même la Corniche de l’action ». Pour Talla Sylla, il n’y a donc qu’une solution pour faire face à Wade, faire preuve de loyauté, d’engagement et de détermination. « Le Sénégal a besoin d’une opposition réelle, forte, réfléchie et responsable ». 
Cette sortie de Tall Sylla intervient moins de 24 heures après qu’il eut rejoint le Front Siggil Senegaal, coalition dans laquelle siègent les partis les plus représentatifs de l’opposition sénégalaise. Talla Sylla développe depuis des années un discours radical contre le régime de Me Wade. 
Depuis quelques semaines, l’opposition durcit le discours. Des membres de la direction du Parti socialiste (Ps) ont déclaré que l’opposition allait changer de stratégie de lutte et qu’il va investir la rue. Le Parti de l’indépendance et du travail (Pit) a lancé le mot d’ordre de "Fippu" en invitant les populations à prendre leurs responsabilités. 
L'Office : Mercredi 26 Mar 2008 
Me Wade, premier acteur de la Génération du Concret : Compte à rebours pour la liquidation du Pds  
Ce n'est presque plus un mystère pour les Sénégalais et les politiques. Surtout pour ceux qui battent pavillon libéral. Et pour cause. D'ici peu de temps, pour ne pas dire quelques jours, les Sénégalais, toutes composantes confondues, seront édifiés sur les véritables ambitions du mouvement de Karim Wade. Ceci, d'après les propos de Cheikh Diallo, conseiller en communication de Karim Wade, qui, nous a appelé depuis les Etats-Unis d'Amérique a déclaré que le premier acteur de la Génération du Concret n'est autre que Me Wade. Le compte à rebours pour la liquidation du Pds ousa refonte autour de la Génération du Concret est déjà enclenché et déclenché.  
Ce qui se murmure ou se susurre, est pratiquement sur le point d'atteindre le sommet. Ceci, après plusieurs spéculations et supputations qui ont jusque-là accompagné la marche par revers politique du fils du Président Karim Wade. Et contre toute attente, et comme révélée dans notre édition d'hier, le Pds est sur le point de se fondre ou mieux de se faire phagocyter par le mouvement des « concrétistes ». En effet, cela se dessine mieux encore, si l'on se base sur les propos d'un homme de confiance du chef de file de la Génération du Concret, et non moins conseiller en communication de Karim Wade. Cheikh Diallo, pour ne pas le nommer, dira sans détours que « les Sénégalais, dans quelques jours seront tous autant qu'ils sont édifiés ». Par rapport à quoi ? Lancinante question à laquelle les réponses risquent de frôler une certaine vérité dont les principaux, ou le principal acteur avance à visage découvert, affichant des ambitions claires qui sous-tendent l'accès à un sommet. Un point culminant qui aiguise bien des appétits ou les armes du « combat » politiques demandent, et réclament des crocs bien aiguisés. Car, si Cheikh Diallo qui ne peut parler sans éveiller un regard derrière son ombre, déclare encore que, « Me Wade est le premier acteur de la Génération du Concret », il apparaît mieux que la substitution du Pds par le mouvement du fils du Président n'est ou ne sera plus à débattre. À petit feu, à petits pas, les « concrétistes » occupent le devant de la scène politique derrière des réalisations portant le dénominatif du « concret » à la grande perte du Pds, encore une fois dans toute son authenticité. Aussi, comme le déclarent l'ensemble des libéraux, « la seule constante au Pds est Me Wade », seront-ils donc surpris d'assister à la liquidation de leur formation politique par le seul « propriétaire » ? Pour certains des responsables libéraux, cela est une logique politique, parce que soutenant et voyant Karim Wade comme « l'homme providentiel », qui peut, et qui a les moyens de prendre les rênes et les destinées du pays, à travers le concret qui prend de jour en jour et de semaines en semaines, les allures d'un nouveau parti après une restructuration du Pds pour le transformer et le substituer au « concret ». Et les Sénégalais d'attendre d'être mieux édifiés par une déclaration, une sortie sur le terrain….Pour le moment, les libéraux risquent une transhumance du jardin du père vers celui du fils. 
WalFadjri : Mercredi 26 Mar 2008 
Contre le report des locales : Niasse, Tanor, Dansokho et cie 'marchent' le 27 avril. 
Le 27 avril et le 18 mai sont les dates retenues par les partis membres du front Siggil Sénégal pour apporter la riposte à Wade et son régime. Ainsi du dépôt de déclarations de protestation contre le report des élections, Siggil Sénégal passera à des manifestations sur toute l’étendue du territoire.  
 
Après le dépôt de déclarations au niveau des sous-préfectures, préfectures et gouvernances pour manifester son refus contre le report des élections locales, le front Siggil Sénégal engage le combat de rue, le 27 avril, date initiale du début de la campagne électorale, et le 18 mai celle prévue pour la tenue des élections locales. L’annonce a été faite hier par Ousmane Tanor Dieng, au sortir de la rencontre des leaders du front. Selon le Premier secrétaire du Ps, porte-parole du jour des alliés, les 27 avril et le 18 mai sont ainsi des dates ‘symboliques’. C’est pourquoi, poursuit-il, ‘nous envisageons de faire un certain nombre d’actions dans le prolongement de la continuité de notre opposition contre le report des élections’. Il s’agira, entre autres actions, des manifestations sur l’ensemble du territoire national. A ce propos, informe Tanor Dieng, des structures ont été mises en place au niveau de la base pour assurer le travail de mobilisation et de sensibilisation contre le report des élections locales.  
Au cours de cette rencontre, a été aussi évoquée la question de l’augmentation généralisée des denrées de première nécessité. La bande à Tanor Dieng qualifie cette hausse ‘d’agression contre le pouvoir d’achat’. Le secrétaire général du Ps déplore, sur cette question, l’attitude du gouvernement qui ‘continue sa honteuse propagande, ignorant les difficultés des Sénégalais’. Il s’y ajoute la famine qui menace le monde rural, ajoutent les alliés du front Siggil Sénégal. Non sans rappeler qu’Abdoulaye Wade et son régime ‘avaient dit que les vivres étaient pré-positionnés, il y a un mois’. Mais, précise M. Dieng, ‘jusqu’à présent, il n’y a rien. C’est une stratégie de pourrissement qu’ils sont en train d’entretenir’. D’ailleurs, les opposants au régime de Wade appellent les Sénégalais à soutenir l’Ascosen qui envisage une manifestation contre la flambée des denrées de première nécessité. De même que les forces paysannes pour un soutien au monde rural.  
Par ailleurs, les leaders du front sont revenus sur le bilan du 11e sommet de l’Organisation de la conférence islamique (Oci). Et Amath Dansokho et Cie d’insister sur l’obligation de rendre compte sur la source et l’utilisation des financements reçus par l’Etat dans le cadre de l’Oci. Selon le patron des socialistes, les partis regroupés dans le front, ‘continueront à réclamer le bilan au gouvernement, de la source et de l’utilisation de ces financements, jusqu’à ce qu’il le fasse’.  
Reste jusque-là en dehors des coalitions politiques : Talla Sylla intègre le front Siggil Sénégal  
Talla Sylla a déposé ses baluchons au front Siggil Sénégal. Ousmane Tanor Dieng, le porte-parole du jour des alliés l’a indiqué à la presse, au sortir de leur rencontre d’hier. Une adhésion qui semble être considérée comme un renfort de taille au sein du front Siggil Sénégal, vu l’engagement et la détermination du patron du Jëf Jël. ‘C’est un événement important en fonction de ce que représente Talla Sylla dans le combat politique’, s’est satisfait le secrétaire général du Ps.  
YEUMBEUL ET SA DÉCADENCE 
D´un village traditionnel heureux à un lieu de relégation 
Par | | mercredi 26 mars 2008 
Correspondance particulière) – A ceux qui s´intéressent de prés à “l´état de santé“ de la société sénégalaise, je propose de regarder du côté de Yeumbeul. Cette localité de plus de 200.000 habitants située dans la banlieue dakaroise est aujourd’hui un laboratoire idéal qui se prête à une analyse “comprimée” des effets pervers des transformations et mutations sociales dans les espaces périurbains et urbains du Sénégal. 
Yeumbeul : un village heureux 
Jadis, la marque principale du village fut l´homogénéité sociale et culturelle de ses populations. Des origines communes réelles ou imaginées, une conformité des convictions, des interprétations de la réalité, des conduites et pratiques communes avaient étés les conditions favorables déterminantes à la formation d´une forte communauté morale et sociale. Les habitants de Yeumbeul, partagés entre plusieurs activités (agriculture, maraîchage, commerce, transport, employés de bureau…etc.) vivaient une vie simple, loin des tumultes aliénants de la ville - capitale Dakar. Gagner sa vie honnêtement, bâtir un foyer heureux et stable, éduquer ses enfants, pratiquer sa religion, ses loisirs sains, participer aux activités collectives et civiques étaient à la portée de tout un chacun. 
Aussi les mécanismes de production et de diffusion de comportements et de modes d´action référentiels et intégrateurs fonctionnaient bien ; si bien qu´ils devinrent avec le temps une partie prenante de l´habitus social des populations. Chacun dans le village se faisait dans l´action quotidienne et le discours symbole vivant et gardien des valeurs communautaires. On pouvait parler d´une éthique yeumbeuloise du comportement de soi et du comportement de soi à l´endroit d´autrui. Reconnus et respectés ici et ailleurs à cause de leur haute probité morale et de leurs performances exemplaires dans leurs domaines d´activités respectifs, nos pères et nos mamans constituaient la fierté de la localité. Ils étaient ceux qui tiraient le village moralement et socialement vers le haut. A Yeumbeul, chacun se vanter à raison d´être un authentique “Domu nitt ku bakh”. Parmi les jeunes du village, beaucoup s´étaient engagés dans des projets académiques et/ou professionnels rigoureux, soutenant et légitimant leurs ambitions et espoirs de réussite sociale. Des situations qui leurs offraient toutes les raisons d´éviter ce qui pourrait en compromettre la réalisation. La déviance sociale était encore un phénomène marginal et de ce fait “invisible”. 
Etait forclos dans les relations sociales et les interactions quotidiennes le recours à toute forme d´incivilité. Je pense ici à la diffamation, à la dénigration et à la violence physique gratuite tenue comme étant la forme la plus primitive de la négation de l´autre. Si d´aventure un malentendu ou un conflit naissait entre voisins, le délégué de quartier ou l´imam d´une des principales mosquées de la localité faisait office de “Kadi/Xali”. La décision qui résultait des délibérations (auxquelles participait un groupe de notables) était reconnue et respectée. Les parties entrées en conflits ou entretenant le malentendu n´avaient jamais le sentiment de se soumettre à une force ou autorité contraignante qui leurs était extérieure. Si bien que le recours à l´autorité publique était une sorte d´ultima ratio. 
Désenchantement et basculement des valeurs 
Aujourd’hui la localité n´est plus ce qu´elle fut. On a l´impression que ce qui jadis constituait l´éthique yeumbelois s´est effrité peu à peu jusqu´à ne plus représenter que de vagues réminiscences dans nos esprits. La localité additionne les handicaps sociaux qui s´accroissent de jour en jour. Son environnement se dégrade. L´influence des valeurs communautaires et des normes sociales sur les individus s´érodent. Les habitants découvrent le dénuement social et moral. Que s´est - il donc passé ? Comment rendre compte de tous ces basculements négatifs qui s´opèrent sous nos yeux ? Comment expliquer la fulgurance de leurs dynamiques ? 
Au coeur de ce qu´il convient de nommer le drame yeumbeulois se trouve un double mouvement de ruptures des équilibres : saturation du cadre géographique, cumul des difficultés sociales et crise des institutions sociales de modelage des comportements et des modes d´action d´une part et leurs conséquences sur les structures psychiques des populations d´autre part. 
Démographie galopante et manque notoire d´infrastructures 
Situé non loin de Dakar, Yeumbeul est victime de sa proximité avec la capitale. Aussi est–il devenu dans l´espace périurbain dakarois, un important carrefour des routes de l´exode rurale et de celles des mouvements de populations à l´intérieur de la région. Ces déplacements massifs de populations venues d´ailleurs combinés à une forte natalité locale ont entre autres engendré dans une courte durée un surpeuplement de la localité. Une explosion démographique à laquelle le village ne s´était pas préparé demeure aujourd’hui un facteur inquiétant quant à l´avenir du village. Yeumbeul est aujourd’hui sur occupé. Des populations aux moyens et possibilités chroniquement insuffisants s´entassent dans un espace réduit ; espace où il manque presque du tout. 
L´accroissement de la densité démographique n´a pas été accompagné d´une élévation (ne serait ce que minimale) quantitative et qualitative des infrastructures existantes. Qu´il s´agissent de routes, de structures de santé ou scolaires, de réseaux d´assainissements publics, le dénuement est presque total : ordures et autres déchets sont très souvent déposés dans les rues ; lesquelles sont devenues le jour comme la nuit des lieux d´aisance à ciel ouvert. Un phénomène qui sans doute est à la base de la détérioration extrême des eaux souterraines locales. Il n´est pas nécessaire d´être un spécialiste des questions relatives à la santé humaine pour être conscient des dangers que cette eau constitue pour les populations yeumbeuloises. Sur la principale artère du village, des véhicules (“cars Ndiaga Ndiaye”, “supers”, “taxis clandos”) dont la plupart devait être retirés de la circulation (ceci pour le bien-être des usagers des transports en commun) se fraient difficilement le passage. Cette rue qui traverse le village devient le matin le théâtre de scènes surréalistes. Hommes, femmes et enfants cherchant à joindre lieux de travail et/ou écoles situés hors de la localité n´esquivent aucun risque, aucun danger pour trouver place dans les cars partant pour Dakar. 
Influences de la désorganisation sociale sur l´économie psychique des populations Réduit est devenu le nombre d´individus et de groupes d´individus capables de s´offrir ou d´être perçus à juste raison comme modèles. Les références ont disparu : morts, pris en otage par la vieillesse et la maladie ou émigrés vers d´autres horizons. Des héritiers sans testaments et des “Doxandem” (terme péjoratif et stigmatisant désignant les yeumbeulois “récents”) tous mus par la recherche de profits matériels se disputent pouvoirs et prestiges dans le village. Dépassée par les événements, les habitants laissent faire. L´inertie de l´organisation phare du village l´Union des Frères de Yeumbeul est un des indices marquant de cette apathie des populations. Révolus semblent être les temps où cette association cinquantenaire mobilisait les grandes foules. En panne d´idées et de visions nouvelles, incapable d´attirer de nouveaux membres jeunes et dynamiques, l´association a laissé le terrain à des personnes dont les actions nuisent plus au village, qu´il ne le sert. 
Les rues de la localités jadis lieux sociaux de la convivialité, de la cordialité, de la célébration et de mise en scène permanente des liens de parenté, de voisinage, des affinités et amitiés, sont devenues aujourd’hui des aires dominées par les relations marchandes. Prises en possession par un secteur informel aux contours chaotiques et des populations cherchant à fuir l´inactivité, les rues de la localité sont des espaces où, selon les mots de Adam Smith “chacun est commerçant”. La permissivité y est très grande ; ceci aussi bien au niveau des actes que celui de la rhétorique. Devenus des espaces de la violence, ces lieux sont pour une grande partie de la population locale, une source constante d´inquiétude et de peur : la peur de se faire humilier, de se faire violenter, de se faire détrousser de ses biens. A certaines heures de la nuit, certains de ces espaces se transforment en « no goes areas » ; c´est à dire des lieux où l´on ne peut pas être présent sans risquer sa vie. Un bon nombre des acteurs et groupes d´acteurs qui y sont présents développent des comportements et des modes d´action marqués par le plaisir de l´attaque et la provocation, le défi, l´excès et la transgression volontaire. Une libération des instincts et effets qui semblent disposer chez beaucoup de personnes d´une haute valeur d´affirmation identitaire : je transgresse, je suis. La peur de cette violence et l´angoisse qu´elle entretient ont amené un bon nombre des habitants de la localité à se doter de moyens défensifs et offensifs de la violence. 
Certains cherchent à se procurer par le sport et d´autres activités d´une force physique servant d´outil de la violence et de rempart contre la violence. Ceux qui ne s´engagent pas dans cette mise en jeu du corps au service de la violence se constituent un ensemble d´artefacts pouvant remplir les mêmes fonctions. L´architecture défensive des maisons et commerces, avec leurs barreaux, grilles et rideaux de fer est révélatrice de cet état de méfiance et de peur générale qui règne dans la localité. Malgré le poste de police qui a été installé dans la localité et l´existence d´une brigade de la gendarmerie nationale non loin, à Thiaroye Gare, l´autorité publique peine à règlementer l´usage de la violence dans les espaces publiques. Ce qui participe à l´érosion de sa légitimité aux yeux des populations qui se sentent laissées à elles-mêmes. 
Le lien stratégique entre l´abandon chez chaque citoyen d´une partie de ses libertés et l´accomplissement par l´Etat d´une fonction de protection s´en trouve rompu. Cet engagement des citoyens n´est valable qu´aussi longtemps que l´Etat est en mesure de les protéger, de les préserver de l´angoisse et de la peur de violence de tous contre tous ; car, comme le faisait remarquer Thomas Hobbes dans son « Leviathan » protéger sa vie, celle de sa famille et ses biens est un droit naturel qu´aucun droit, qu´aucune législation ne peut suspendre. 
La détérioration extrême des conditions de vie dans la localité tarde à susciter un véritable processus de mobilisation collectifs. Les populations sont encore incapables de transformer leurs difficultés quotidiennes en ressources de l´action. Ceux qui devraient rendre une telle prise de conscience, une telle mobilisation possible refusent de prendre leurs responsabilités. Je pense ici aux élites locales. Ces fils et filles de la localités sont dans les dispositions intellectuelles, morales et sociales de penser et d´organiser les actions nécessaire à la formation d´un être ensemble et d´un vivre ensemble nouveaux, plus conformes à la vie communautaire et à l´élargissement des chances d´émergence du village. 
Malheureusement certains de ces individus préfèrent quitter les lieux pour s´installer sous d´autres cieux plus conformes à leurs aspirations et statuts. Parmi ceux qui restent ou sont restés beaucoup cultivent la distanciation volontaire ou l´insensibilité et l´indifférentisme. Ce qui me fait penser à Norbert Elias. Dans son texte “La solitude des mourants” le sociologue allemand (parlant des sociétés occidentales) note : “ce qui caractérise le rapport entre les vivants et les mourants, c´est l´incapacité des premiers à établir une relation d´empathie avec les seconds (…) 
Les êtres humains qui ont à faire aux mourants ne sont plus en mesure de leur apporter un soutien, un réconfort en leur procurant leur attachement et leur tendresse”. A mon avis l´unité entre l´état actuel du village et la situation décrite par Elias est plus q´une vue de l´esprit ; elle est manifeste. Si bien que mon souhait est de voir les habitants de Yeumbeul prendre leurs responsabilités. 
C´est à dire réinsérer dans leurs préoccupations quotidiennes le passé, le présent et l´avenir de la localité. Mon souhait est de voir les yeumbeulois prêter une attention préventive accrue aux problèmes et préoccupations des populations et parmi ces dernières celles qui dans la localité, ne sont plus maîtres de leurs destins. 
• Serigne Babacar Diop .Allemagne 
Changement de cap  
mercredi 26 mars 2008  
Bien visible la montée de la moutarde dans les narines de l’opposition sénégalaise. Depuis quelques semaines, le même slogan de bataille est prononcé. La rue, encore et toujours la rue. Veut-on faire peur à Gorgui pour qu’il fasse machine arrière en renonçant à la carte Karim ? S’agit-il d’un vrai cri de guerre ? L’avenir nous le dira. En tout cas, c’est une loi aussi vieille que le monde qu’à force de traiter un mâle bien viril de vieille dame en mini-jupe, on finit par le pousser à la révolte. Or les actes posés depuis quelques jours, vont dans ce sens. Y compris l’enrôlement dans les rangs de Siggil Senegaal de Talla Sylla qui revient de bien loin. Surveillez bien le ciel ! 
L’Afp accuse Wade de mettre le pays dans un état de "délabrement généralisé"  
mardi 25 mars 2008  
NETTALI - L’Alliance des forces de progrès Afp) qualifie d’« échec » le 11ème sommet de l’Organisation de la conférence islamique (Oci) abrité à Dakar du 13 au 14 mars 2008. 
Moustapha Niasse et ses partisans parlent d’"échec" subi par le du président Abdoulaye Wade, avançant que cela à pour « fondement la définition populiste d’objectifs, avec l’amalgame, la confusion des genres, le recours au registre religieux aux fins de manipulations, sans oublier le projet central monarchique », dans un communiqué daté de ce mardi issu du bureau politique de la l’Afp. 
Les « progressistes » dénoncent en outre « de bout en bout un manque total de transparence » dans la réalisation des infrastructures routières qui, à leurs yeux, n’ont « rien à voir avec les chantiers destinés aux structures qui ont accueilli les participants au sommet de l’Oci ». 
« Quant au niveau de participation, il est le corollaire naturel de l’état des vrais rapports de Me Wade avec ses pairs et qui n’échappent pas à la régression ambiante », enfonce l’Afp, qui trouve par conséquent « difficile de justifier la prolongation de la mission de l’ANOCI (Agence nationale pour l’Oci présidée par Karim Wade, le fils du chef de l’Etat sénégalais), après le sommet de Dakar ». Pour Niasse et compagnie, cette prolongation du mandat de l’Anoci « ne répond à aucune logique, parce que, s’il s’agit de travaux routiers, il existe bien un ministère qui en a la responsabilité ». 
D’ailleurs, pense l’Afp, c’est cette même logique qui a conduit aux « multiples actes de mal gouvernance, aux innombrables scandales demeurés impunis, aux crimes économiques qui ont abouti à cet état de délabrement généralisé, avec des finances publiques exsangues, la reconstitution de la dette intérieure, les menaces qui pèsent sur les PME et PMI et sur de nombreux emplois ». 
La formation politique cite, entre autres, « la gestion inique » des quotas de jeunes qui sont envoyés en Espagne, pour des travaux saisonniers, dans le cadre du partenariat signé avec les autorités de Madrid, « la frustration profonde qui envahit toutes les composantes de la société sénégalaise, et qui se manifeste à travers les luttes sociales permanentes dont les acteurs, au-delà des syndicats, concernent des citoyens inorganisés qui protestent contre l’arbitraire », les risques encourus par l’école sénégalaise. 
A en croire l’Afp, toutes ces tensions, bien que liées aux pénuries et à une flambée sans précédent des prix des denrées de première nécessité, des hydrocarbures et de l’électricité, sont aggravée par « les choix du régime en place, à travers les taxes indirectes, pour financer la gabegie et un train de vie de l’Etat sans commune mesure avec les ressources de notre pays ». 
Moustapha Niasse et ses camarades ajoute que dans ce contexte, avoir « l’audace d’acheter un avion à 50 milliards, après l’épisode opaque de la réfection de la Pointe de Sangomar et les 17 milliards officiellement reconnus comme le coût de cette opération, relève de l’insouciance et du mépris à l’endroit des Sénégalais ». 
Un tel bilan relève l’Afp rend « nécessaire la tenue des Assises nationales, cadre optimal d’un dialogue thérapeutique, avec la participation de toutes les forces vives de la nation ». 
 
 
 

 

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Modifié en dernier lieu le 26.03.2008
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