Le Pit sur le départ immédiat de Me Wade : «
SunuNews : Mercredi 30 Sep 2009
Le Pit sur le départ immédiat de Me Wade : « C'est le seul moyen pour mettre fin au calvaire du peuple »
Le départ immédiat du pouvoir de Me Wade, est « le seul moyen de mettre fin au calvaire que vit notre peuple, et le préserver d’une nouvelle humiliation le 12 Décembre 2009, avec l’inauguration du Monument de la honte, a assuré le Pit dans une déclaration rendue publique hier.
Selon Dansokho et ses camarades, Me Wade se révèle, « par sa conception anti républicaine et despotiques de l’Etat, et son attachement à la politique de bradage du patrimoine des peuples et de pillage de leurs ressources publiques ». Toujours pour le Parti de l’indépendance et du travail (Pit), Me Wade s’illustre quotidiennement sous son vrai visage de souteneur de « fils héritiers » et de « militaires putschistes » partout en Afrique, qui n’hésitent pas à verser le sang de leur peuple pour confisquer le pouvoir d’Etat ». « Que ce soit au Sénégal, au Togo, au Gabon, ou en Guinée, Me Wade s’illustre par sa conception anti républicaine et despotiques de l’Etat, et son attachement à la politique de bradage du patrimoine des peuples et de pillage de leurs ressources publiques », indique le communiqué. A en croire les communistes de Khar Yalla, « l’impunité dont jouissent, au Sénégal, les auteurs à col blanc de crimes et de délits, les agresseurs et leurs commanditaires avec leurs milices, qui a permis la récente agression barbare contre le Groupe Walfadjiri, a son répondant, en Afrique, dans la protection que Wade veut garantir à ceux qui commettent des crimes contre leurs peuples pour accéder au pouvoir ou le conserver ».
Pour toutes ces raisons, le Pit est d’avis que le départ immédiat du pouvoir de Me Wade, est « le seul moyen de mettre fin au calvaire que vit notre peuple, et le préserver d’une nouvelle humiliation le 12 Décembre 2009, avec l’inauguration du Monument de la honte élevé sur les Mamelles, qui ne sert que de justificatif pour l’utilisation des 10 milliards prévus dans le Budget 2009, destinés à l’organisation du Fesman, finalement reporté en Décembre 2010 ».
Il faut donc, le plus tôt possible, Pour Dansokho et ses camarades, « arrêter la comédie présidentielle qui continue d’humilier notre peuple en Afrique et dans le monde». Une tâche historique qui incombe à en croire le Pit, « à tous ceux qui veulent mettre fin à cette culture de l’impunité qui risque de déstabiliser notre pays et la sous région ».
Birahim NDIAYE
Auteur: Birahim NDIAYE