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L’élection prési
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Le vieillard et
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DRAMATIQUE
le 23 décembre 2
Violences scolai
dernier combat
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le senegal est dans le rouge tout est en bern

 
WebNews: Mardi 17 Fév 2009 
Sénégal : la croissance ralentit à 2,5% en 2008, contre 4,7% en 2007. 
La croissance du produit intérieur brut (PIB) du Sénégal a enregistré en 2008 une "forte chute", passant de 4,7% en 2007 à seulement 2,5%, a indiqué à Dakar le représentant du FMI Alex Segura. 
"Entre 1995 et 2005, le Sénégal a eu des taux de croissance autour de 5%. En 2007, il a été de 4,7%", a déclaré le responsable du Fonds monétaire international (FMI) à l'AFP et Radio France Internationale (RFI). 
Mais "l'effet de la dette intérieure sur l'activité économique a été très très négatif et a conduit à un ralentissement de l'activité en 2008 avec un taux de croissance estimé autour de 2,5%, donc une forte chute", a-t-il précisé. En 2006, le PIB sénégalais avait déjà connu une mauvaise année avec +2,4%. 
En 2008, "le secteur secondaire a été fortement affecté, les fournisseurs de l'Etat n'ont pas été payés à temps. Beaucoup d'entreprises ont été contraintes de réduire leurs activités", a-t-il ajouté. Selon lui, la croissance du PIB non agricole a été de seulement +1,5% en 2008. 
Pour 2009, l'estimation de croissance du FMI est de +4%. 
Concernant la lourde dette intérieure, "un tiers avait été payé il y a une semaine. Sur le stock de 225 milliards de FCFA (342 millions d'euros) répertoriés avec les autorités, il restait encore autour de 150 milliards de FCFA (228 millions d'euros)", a-t-il ajouté.  
"Le ministre des Finances (Abdoulaye Diop) travaille pour trouver des ressources pour payer le reste. Au cours des prochaines semaines, sinon la totalité, une grande partie sera payée", a assuré le représentant du FMI. 
Auteur: AFP  
Génération du Concret ou Génération Alternance ?  
mardi 17 février 2009 
Génération du Concret ou Génération Alternance ? 
Contrairement à cette autre Génération perdue je veux parler de cette génération sacrifiée, riche en personnalités brillantes, en hommes et femmes justes, déterminés : entre autres, les jeunesses libérales, qui ont porté le SOPI jusqu’au soir du 19 mars 2000, la Génération du Concret hérite de l’alternance sur un plateau d’or. La génération légitime, celle là même qui s’est donnée corps et âme, elle, est présentée à un tribunal populaire pour être jugée : d’avoir pensé ou d’avoir des ambitions. Ce sont ces milliers de jeunes, pas des héritiers de la politique, eux, fils d’ouvriers et de goorgoorlou, ces damnés de la terre auxquels les barrons socialistes, tout à leurs préjugés de classe, reprochèrent leur engagement et leur fidélité au Pds. Ces milliers de jeunes restés fidèles aux idées du Pape du Sopi depuis plus de vingt ans, traçant un sillon très libéral, mais aussi libertaire, furent guidés par ce seul principe : la démocratie défendue par Maître Abdoulaye Wade leader du Sopi, valait la peine qu’on croit en elle, et qu’on s’éloigne des principes de réalpolitik pratiquée par le régime socialiste. Certains d’entre ces jeunes ont mené en 1983, 1985 et 2000, contre leurs propres parents notables du parti socialiste (mon père m’avait chassé de sa maison lors des élections présidentielles de 1978), des campagnes audacieuses presque solitaires qui ont permit d’arracher l’alternance un soir du 19 mars 2000. Au-delà de cette génération « libérale » ; c’est toute cette génération politique née au lendemain de l’indépendance (1960) qui est passée en pertes et profits en faveur de la génération du Concret, elle, née au lendemain de l’alternance (2000). Génération du Concret ou plutôt Génération Alternance, le journal le Monde dans son spécial « Bilan du Monde 2009, la situation économique internationale », nous édifie quant à la véracité de ce concept de Concret et quant aux compétences de ces jeunes qui le portent au Sénégal. Jugez en vous-mêmes « Pour un pays qui vit dans l’espoir de rejoindre les rangs des économies « émergentes » de la planète, il y a de quoi être déçu … Les Sénégalais sont de plus en plus nombreux à ne manger qu’une fois par jour…La paix sociale est menacée … Le Fonds monétaire international (Fmi) lui, s’inquiète des dérapages budgétaires de l’Etat. La dette intérieure est exorbitante (…) 457 millions d’euros selon des sources indépendantes (299 milliards Cfa). Alors que Karim Wade est présenté comme le responsable des programmes des grands travaux et de leur retard… Les grands chantiers de l’autoroute, de l’aéroport et d’une « zone économique spéciale » gérée par des investisseurs venus des Emirats arabes gonflent les chiffres de la croissance (pour les Btp, elle a atteint 13% en 2008), mais sans parvenir à relever le niveau de vie des Sénégalais . » Quoi de plus clair ? Et pourtant cette nouvelle bourgeoisie sénégalaise, la main sur le cœur jure que les Sénégalais sont les plus heureux du monde. Pour cette Génération Alternance, l’œuvre du Président Wade seule constante du PDS et de l’Etat, est une « réussite » pour le peuple sénégalais, et à ce titre, il peut faire fit à la constitution, celle la même qu’il a soumit à l’approbation des citoyens sénégalais le 21 janvier 2001, et proclamer l’instauration d’une monarchie. Jeunesse sénégalaise rassissez-vous en lisant ce discours d’un éminent membre de cette Génération Alternance, que dis-je, Génération Bourgeoise, le ministre Mamadou Lamine Keïta « S’il s’agit de sacrifice, qui en a fait plus que Karim, lui qui, au moment où nous avions nos parents à côté de nous, avait le tient derrière les barreaux. »D’autres jeunes avaient aussi leur parent derrière les barreaux pour seul crime, d’être restés fidèles au père de Karim, monsieur le ministre. Il poursuit « A cause de l’engagement politique de son père, il était privé de l’affection de ce dernier. »Monsieur le ministre que dire alors de ces milliers de jeunes qui ont perdu l’affection de leur parent parce que tout simplement ils avaient pris fait et cause pour le pape du Sopi ? Savez-vous combien de jeunes ont sacrifié leurs études, alors que Karim même loin de son père suivez un enseignement normal dans des établissements sans années blanches et sans grenades lacrymogènes ? Savez-vous combien de jeunes se sentent aujourd’hui coupables, pour avoir hypothéquer leur brillante carrière et ainsi anéantir l’espoir de leurs parents pour ne pas dire toute une famille, du seul fait de leur engagement politique au Pds ? Alors en quoi Karim est le plus méritant et de quel sacrifice vous parlez ? Ces milliers de jeunes qui sont parti mourir au fond des océans alors qu’on vous a donné, vous département ministériel de la jeunesse tous les moyens nécessaires afin d’éviter de tels drames, n’est-ce pas là une jeunesse sacrifiée ? Sans avoir procédé à l’Audite de la défunte ANOCI, voilà que vous (GC) héritez d’une nouvelle agence avec un pactole de 18 milliards qui ne souffrent nullement d’accusations de blanchissement. Mais n’oubliez jamais que toute histoire a une fin, pourvu qu’elle soit belle pour la GC. 
Alioune Ndao Fall 
Chargé de la Diaspora APR 
 
Seneweb.com : Mardi 17 Fév 2009 
Locales : l'Afp dénonce la "délinquance électorale" et appelle ses militants à faire face  
L’Etat du Sénégal a cédé le stade Assane Diouf dans des conditions « nébuleuses », a dénoncé ce mardi l’Alliance des forces de progrès (Afp), à l’issue de la réunion de son Bureau politique. De l’avis des progressistes, l’Etat a cherché à endormir les jeunes de Rebeuss, alors que « depuis longtemps, des engagements avaient déjà été pris, dans des conditions nébuleuses, avec des partenaires ». Ils dénoncent le « savoir-faire diabolique » du régime d’Abdoulaye Wade, qui a profité de grands événements nationaux pendant lesquels l’attention de l’opinion est détournée pour passer à l’action. 
Pour ce qui concerne la dette intérieure, l’Afp note pour le déplorer que « le feuilleton de la dette intérieure montre à souhait jusqu’à quel point le régime de Maître Abdoulaye Wade et l’esprit de dissimulation, la ruse et l’informel se sont installés au cœur de l’Etat, en hypothéquant dangereusement l’équilibre des finances publiques et l’avenir des entreprises, c’est-à-dire, de notre économie ». Le parti de Moustapha Niasse ajoute : « En déclarant vouloir éponger les arriérés de paiement, le régime en place, qui n’en finit pas dans sa quête fébrile de financements, s’emmêle dans des explications peu convaincantes, où les chiffres avancés sont contredits et par les chefs d’entreprise et par les bailleurs multilatéraux comme le FMI ». En direction des prochaines locales, les progressistes appellent les populations appellent les populations à la mobilisation, après ce qu’ils considèrent comme de la « délinquance électorale ». Le Bureau politique de ce parti « engage tous les responsables et militants, dans toutes les localités du pays, à participer, avec détermination et dans un esprit d’équipe, au sein des Coalitions patriotiques de l’Opposition, à la résistance aux côtés des populations, pour faire face à la tentative annoncée de confiscation de la volonté souveraine du peuple ».  
 
WebNews : Mardi 17 Fév 2009 
Pour le Sénégal, l'année 2008 a été mauvaise, 2009 s'annonce " difficile "  
DAKAR (AFP) - Baisse attendue des transferts des émigrés, dette intérieure étouffante, ralentissement économique: l'année 2008 a été mauvaise pour le Sénégal, avec une chute de la croissance à 2,5%, mais 2009 s'annonce tout autant difficile pour la 2e économie d'Afrique de l'Ouest francophone.  
"L'année 2009 va être une année difficile pour le Sénégal, qui commencera à voir les effets de la crise financière internationale", a indiqué le représentant à Dakar du Fonds monétaire international (FMI) Alex Segura, lors d'un entretien avec l'AFP et Radio France Internationale (RFI).  
"Nous commençons à voir les premiers signaux de la crise avec la baisse des transferts de travailleurs à l'étranger. La diaspora sénégalaise est très importante et les transferts jouent un rôle crucial pour la réduction de la pauvreté et pour soutenir la consommation des ménages", a-t-il ajouté.  
Ces transferts officiels avaient connu une hausse importante ces dernières années, passant de 341 milliards de francs CFA (519 millions d'euros) en 2005 à 566 mds FCFA (862 M EUR) en 2007, avant de se stabiliser, légèrement à la baisse, en 2008 avec 555 mds FCFA (846 M EUR).  
Mais pour 2009, ces transferts sont estimés à "seulement" 400 mds FCFA (609 M EUR) par le FMI, en raison de la récession frappant de nombreux pays occidentaux.  
Cette brutale contraction des transferts devrait directement affecter le secteur des BTP, qui était ces dernières années un des plus dynamiques de l'économie sénégalaise, la plus importante de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (Uémoa, 8 pays) après la Côte d'Ivoire.  
Historiquement très présente en France, ancienne puissance coloniale, la diaspora du Sénégal, pays pauvre de 12 millions d'habitants, s'est récemment implantée dans d'autres pays européens, notamment l'Italie et l'Espagne, ainsi qu'aux Etats-Unis.  
Le Sénégal pourrait également subir une "possible baisse de l'aide publique au développement (APD)", selon M. Segura. Le Sénégal et le Mali sont les principaux bénéficiaires de l'APD de la France en Afrique subsaharienne.  
Les dons au Sénégal sont déjà passés de 138 mds FCFA (210 M EUR) en 2007 à 91 mds FCFA (138 M EUR) en 2008.  
Dakar devrait également voir ses exportations partir à la baisse: "Lorsque la croissance des pays développés va se ralentir, la demande des exportations des pays en voie de développement peut aussi baisser", selon M. Segura. Les produits de la mer et l'acide phosphorique du Sénégal pourraient être touchés.  
Une mauvaise nouvelle pour un pays qui importe deux fois plus qu'il n'exporte, avec un déficit de la balance commerciale dépassant les 1.000 mds FCFA (1,5 md EUR).  
Enfin, les investissements étrangers directs devraient également subir les effets de la crise mondiale. Emanant notamment des pays arabes, ils avaient littéralement explosé, passant de 28 mds FCFA (42 M EUR) en 2005 à un record de 152 mds FCFA (231 M EUR) en 2008.  
D'importants projets, très gourmands en financements, sont en cours, notamment la modernisation du port de Dakar, une autoroute pour sortir de la capitale et un nouvel aéroport international.  
Quant à la lourde dette intérieure (150 mds FCFA, soit 228 M EUR) début février, qui avait plombé la croissance en 2008, elle devrait progressivement être résorbée grâce à l'aide des bailleurs de fonds et une meilleure maîtrise des dépenses publiques.  
Auteur: Altavista Maroc avec AFP  
 
Seneweb.com : Mardi 17 Fév 2009 
Construction de la Cité Kawsara : la famille Tall accuse Wade de " semer la zizanie "  
La famille omarienne du Sénégal a réagi vigoureusement ce mardi, suite à la décision de l’Etat de construire la cité Kawsara sur le site de l’ancien stade Assane Diouf, près de la grande mosquée de la famille Tall. Habib Moutaga Daha Tall, représentant la communauté, s’en est ouvertement pris au président de la République, l’accusant de « semer la zizanie dans les familles religieuses du Sénégal ». M. Tall accuse notamment le président Wade de faire du « deux poids deux mesures » concernant le traitement des familles religieuses du Sénégal. « Ce qui se passe dans le pays est injuste et les chefs religieux devraient être les premiers à le dénoncer », a déclaré celui qui dit n’avoir aucune crainte de dire ce qu’il pense au chef de l’Etat.  
La cité des Affaires Kawsara, un site cédé par l’Etat du Sénégal à des privés chinois, doit être érigée à quelques mètres de la mosquée de la famille omarienne du Sénégal, qui est aussi le mausolée de Thierno Mountaga Tall. Les riverains ont eux aussi dénoncé la destruction du seul stade du quartier entendent s’opposer au projet de construction, qui a été confirmé lors de la récente visite du président chinois Hu Jin Tao à Dakar. Le stade Assane Diouf, le seul lieu de loisirs du quartier, a été détruit l’année dernière par les chinois, alors qu’aucune autorisation officielle n’avait été donnée aux présentée, semant le doute sur l’identité de l’initiateur de ce projet.  
 
APS : Mardi 17 Fév 2009 
Diourbel : marche de protestation des élèves contre le débrayage des professeurs  
Diourbel, 17 fév (APS) – Les élèves des différents établissements publics de Diourbel ont organisé mardi matin une marche, à travers les principales artères de la ville, pour protester contre le débrayage de leurs professeurs. 
 
Dans leur mouvement, les élèves ont affronté les forces de sécurité sur la route nationale 3 (Touba –Dakar) qu’ils ont bloquée durant un quart d’heure en brûlant des pneus.  
‘’Depuis le début de l’année, il n’y a pas d’enseignements et nous voulons avoir les mêmes chances que tous ceux qui ont à subir des examens’’, ont expliqué les dirigeants du mouvement. 
Les élèves demandent à l’Etat d’ouvrir des négociations avec les enseignants pour trouver les solutions aux problèmes. 
Ils ont, par la même occasion, posé des doléances relatives à l’amélioration de leurs conditions d’étude, notamment la mise en circulation d’un bus pour les élèves du lycée de Ndayanne. Ils ont en outre déploré le manque de listes de présence dans les classes. 
 
Auteur: ID/AD  
Mais, où sont passés les précieux enseignements légués par nos illustres guides spirituels ?  
En nous rappelant, les enseignements légués par ces illustres figures spirituelles, aujourd’hui disparues, on peut bien affirmer sans risque d’être démenti, que les temps ont beaucoup changé au Sénégal et certaines catégories de personnes, ont aussi dévié de leur mission spirituelle et historique. 
La perte des valeurs si décriée en ce moment dans notre pays, n’a pas épargné la classe maraboutique et malheureusement au plus haut niveau de celle-ci. Ce qui nous fait regretter, la disparition des illustres marabouts orthodoxes et sans conteste hommes de Dieu. Pour eux, après Dieu, leurs principales préoccupations étaient la paix des âmes dans le pays et la fraternité entre les Sénégalais. Ils ne faisaient pas de parti pris manifeste entre ceux qui concouraient pour le pouvoir temporel. Ils ne toléraient pas le mensonge et l’absence de vertu de qui que ce soit et d’où qu’ils provenaient. Ils disaient la vérité sans ambages à tous le moment venu, y compris leurs propres talibés et proches. Pour eux, le pays et la paix des âmes comptaient plus que tout. En outre, ils étaient attachés à la terre et tout naturellement, à ceux qui la travaillent c’est-à-dire, le monde paysan pour qui, ils constituaient un bouclier protecteur face au pouvoir en place. Ils étaient aussi, un allié sûr pour eux. 
Bien que conscients de la force de leur pouvoir spirituel, ils n’en user jamais pour s’attaquer à qui que ce soit, ils s’en servaient plutôt pour se défendre contre l’envahisseur ou contre toute agression à leur personne ou leur communauté. L’argent, le plaisir et le luxe de ce bas monde leur étaient insensibles et avec juste raison, ils s’en méfier comme la peste car, ce sont là, les courroies de transmission par lesquelles, Satan se fraie souvent le chemin, pour pénétrer tous ceux qui sont avides de ces délices ou ont un faible pour eux. 
Les enseignements précieux que nous avons hérités de Serigne Touba Khadimou Rassoul, Elhadji Malick Sy, Elhadji Ibrahima Niasse, Mouhamadou Moustapha Mbacké, Khalifa Ababacar Sy, Mame Limamou Laye, Cheikh Mbacké Gaïndé Fatma, Abdoul Aziz Sy Dabakh, Serigne Fallou Mbacké, Abdou Lahat Mbacké pour ne citer que ceux-là, reposaient essentiellement sur les principes cardinaux de l’islam – une religion de paix- rappelés plus haut. Ils avaient suffisamment à faire dans le cadre de leur champ d’activité qui était le pouvoir spirituel. Un pouvoir, don de Dieu, fait de force immatérielle, considéré comme un sacerdoce et une charge sacrée liée à leur existence, pour ne plus vouloir régenter le pouvoir temporel, qui lui, est un mandat lié à un temps éphémère fixé par les hommes avec des règles précises. 
La question fondamentale, ne veut point dire que le marabout citoyen, doit ou ne doit pas s’intéresser à la politique, non ce n’est pas cela ! Mais, il devrait tenir compte que les deux statuts, le spirituel et le temporel sont antinomiques, même s’ils peuvent bien cheminer parallèlement vers un objectif commun. En effet, chacun d’eux doit contribuer dans son domaine réservé à la satisfaction des besoins spécifiques du peuple sénégalais. Il est bien établi et suffisamment démontré, qu’à chaque fois que les deux pouvoirs ont été confondus, forcément l’un d’eux, sabordera l’autre. C’est ce que, nos illustres figures citées plus haut, ont toujours compris et évité, leur existence durant. 
L’Etat libéral, qui nous gouverne par l’informel, s’occupe de tout sauf, des affaires publiques dont il devrait impérativement prendre en charge et s’en acquitter au plus haut point. Par sa gouvernance hideuse, il a offert un environnement propice à tous les abus et aux atteintes des libertés des citoyens, que la Constitution leurs confère. Par voie de conséquence, au lieu d’un Etat de droit stable, il nous installe dans un Etat où règnent l’anarchie, l’injustice, la tricherie, la déprédation, la cupidité, une dictature monarchique, en somme, une porte ouverte à des vices de toutes sortes, vices qui ont fini au demeurant tentent de vider notre peuple de ses vertus d’antan. Alors, se fondant toujours sur son principe directeur de, diviser pour mieux régner, qui est plus que jamais actif, Me Wade PGCD (plus grand commun diviseur) de notre nation est favorable à un pays divisé en clans de toutes sortes, afin de mieux naviguer, comme il le fait si bien dans son propre parti. 
Dans ce pays souhaité uni et indivisible qui est la République du Sénégal, nous constatons depuis quelque temps, des faits insolites de nature très grave pour l’unité et la cohésion nationale d’une part et, pour la liberté, la citoyenneté et la démocratie d’autre part. Nous apprenons par moments, à travers les médias, qu’Untel marabout ou patelin, non content de l’Etat pour des raisons qui leurs sont propres, s’érige en une autorité rebelle pour interdire ou empêcher momentanément dans sa localité toute activité politique. Ce qui en soi, est une violation flagrante de la Constitution et de toutes les lois de la République notamment, le libre choix du citoyen, de s’installer où il veut, d’aller et de venir sur l’étendue du territoire national, d’y mener les activités politiques ou autres qu’il estime, selon les lois en vigueur dans la république sans aucune entrave de qui que ce soit. 
Cette attitude qui est discriminatoire, en ce sens qu’elle ne vise pas le Parti au pouvoir et son chef, est un parti pris manifeste, qui n’honore pas ses auteurs. Cet état de fait, n’est différent en rien du tout, d’un Etat dans un Etat, ce qui est inadmissible au regard de la république, si nous appelons les faits par leur nom. Devant de tels faits et dans de pareils cas, l’Etat se trouve dans l’obligation républicaine d’intervenir pour rétablir l’ordre et dire à qui de droit, où commence et s’arrête la liberté de chaque citoyen, fut-il un marabout ou un groupe de citoyens, ils ne devraient en aucune façon enfreindre la loi sans coup férir, parce qu’ils ne sont pas aux yeux de la loi, plus que des citoyens. A moins que nous ayons alors dans notre république, deux types de citoyen celui de première classe et seconde zone. C’est là, les effets néfastes de la connivence entre le pouvoir spirituel et temporel qui s’exerce en un système de vases communicants. Ou comme disait l’autre : si l’Etat te donne un franc aujourd’hui, il te privera de ta religion et de ta liberté autant demain. 
Dans notre pays, il a toujours existé, même du temps de la colonisation, la cohabitation entre le pouvoir spirituel ou traditionnel et celui temporel avec une délimitation précise des champs d’action de chacun d’eux. Jusqu’à l’alternance, toutes proportions gardées, ces champs d’activité ont été plus ou moins respectés, pour permettre à chacun de vaquer à ses occupations sans accroc. 
Mais à l’heure actuelle, tout ce passé semble révolu avec l’arrivée de Me Wade au pouvoir. Nous avons l’impression d’assister à un marché aux enchères des marabouts. Ils sont devenus des objets à la merci du plus offrant, ceci, quelle que soit la moralité de l’individu ou du passé maçonnique de l’organisateur de ce marché, pas du tout innocent. Qui aurait imaginé cela à l’époque de nos illustres disparus ? Me Wade, étant adepte de l’achat des consciences, est à l’aise pour se payer tous les marabouts qui désertent les lieux de culte pour se mettre à son service et qui ont tendance à considérer l’argent sonnant et le luxe, plus importants que les souffrances que Me Wade fait subir au peuple sénégalais. Dieu omnipotent et omniscient nous observe et saura rétribuer à chacun selon ses mérites le moment venu. 
On peut noter certes, qu’à l’époque, les devanciers de nos marabouts actuels faisaient toujours montre de tolérance et preuve d’équité à l’égard de leurs talibés qui pouvaient se retrouver dans des partis politiques soit au pouvoir ou à l’opposition, mais ils ne se départissaient jamais de leur intransigeance et de leur fermeté sur les principes orthodoxes de la religion. Même si parmi eux, certains ont eu une préférence pour tel ou tel acteur de la scène politique, jamais ils n’ont empêché le libre jeu dans leurs localités concernées. Et, ils ont toujours recommandé à tous, la mesure dans les actes à mener et le non recours à la violence physique ou même verbale ; ils insistaient particulièrement sur le respect des religions et de ceux qui les incarnaient, la sauvegarde des lieux de culte et des symboles religieux. 
Leurs interventions pour régler les conflits et autres différends entre communautés ou individus, étaient faites dans la discrétion et à l’insu du public. Leur maître mot était, la paix par la non violence. Ils se voulaient justes et, la justice commence d’abord par l’impartialité et l’équité envers tous les antagonistes, ce qui équivaut à se départir de tout parti pris, surtout manifeste. Ils intimaient la droiture à tous et mettaient également en garde, ceux qui usurpaient ou jouissaient des biens illicites ou des biens d’autrui. Le bien du peuple appartenant à tous, il n’est donné à personne n’en user comme lui semble. 
Pour tout dire, Me Wade et son régime, sont un mal profond qui gangrène notre pays tout entier. Soyez-en surs, son but ultime, est de transformer, à défaut, de considérer les Sénégalais, sa famille exceptée, comme des moins que rien et tous à la portée de sa bourse – plutôt l’argent du peuple - . Toutes ses tentatives les plus machiavéliques ayant toujours abouti à leur terme, il tente maintenant de donner le coup de grâce à notre peuple, en voulant installer son fils comme successeur par des combinaisons et subterfuges, sans passer par le peuple souverain, de peur d’un échec cuisant. Ne riez surtout pas, car l’homme ne reculera devant rien pour parvenir ses fins. Le fait d’arroser les marabouts et autres dignitaires qui ont perdu toute vertu, avec de l’argent du contribuable combiné avec des biens mobiliers et immobiliers, doublé sa la latitude de modifier la constitution à sa guise, constitue une des armes de son plan de succession par son fils. 
Faut-il le rappeler, notre peuple tient pour complices, tous ceux qui auront aidé Me Wade dans cette entreprise, consciemment ou inconsciemment, qu’ils répondront demain devant l’histoire surtout, si ces derniers l’ont fait en contre partie de privilèges juteux. 
A cet effet, nous devons garder à l’esprit, dans toutes nos actions, cette recommandation de notre créateur : Soyez juste en tout temps et en tout lieu entre vous. Et si toutefois, vous êtes appelé à trancher un différend, faites le en âme et conscience, en vous fondant strictement sur la droiture pour ne léser personne. Il rappelle aussi que, ceux qui jugent sur terre les hommes, ou conduisent les peuples seront eux aussi jugés demain au tribunal exceptionnel, présidé par notre créateur. 
Mandiaye Gaye 
Gaye_mandiaye@hotmail.com 
 
SUD QUOTIDIEN : 
POUR EVITER LES VOTE-SANCTIONS AU PDS Wade dépêche une mission dans les régions  
par Bacary Domingo MANE | SUD QUOTIDIEN , mercredi 18 février 2009 
Des membres de la Direction du Parti démocratique sénégalais (Pds) au nombre desquels Abdoulaye Faye, Ousmane Masseck Ndiaye, Omar Sarr et Modou Fada Diagne vont se rendre au niveau de leurs bases, à compter de demain jeudi pour apporter un message de leur Secrétaire général national, le Président Me Abdoulaye Wade. Il s’agit, selon nos sources, d’un message d’apaisement adressé aux militants “frustrés” par les investitures. 
Le numéro un du Pds les invite à rentrer dans les rangs, en refusant de céder à toute tentative de vote-sanction contre leur parti. Abdoulaye Faye et ses camarades du Comité Directeur qui étaient en réunion depuis lundi, vont insister sur la mobilisation des militants aux fins de donner toutes les chances au Pds de remporter les prochaines dans les différentes localités. 
La tournée va durer une semaine. La délégation commence par Sédhiou, le jeudi et le lendemain, elle sera à Ziguinchor. Les responsables locaux devraient les accueillir au niveau de leur base. 
La crise financière mondiale : quelles conséquences pour l’Afrique ?  
par , mercredi 18 février 2009 
Il ne fait aucun doute que la crise financière mondiale touche l’Afrique subsaharienne de plein fouet. Pour cette année, le FMI table sur un taux de croissance de 3,3 % seulement, soit environ la moitié de la moyenne de la dernière décennie. 
La croissance mondiale est pratiquement au point mort, entraînant une baisse de la demande pour les produits africains. Lorsque, par exemple, les consommateurs européens et américains limitent leurs dépenses, l’Afrique exporte moins. Qui plus est, le cours des matières premières telles que le pétrole ou le cuivre s’est effondré. 
De par le monde, les investisseurs revoient leurs plans à la baisse. Les marchés obligataires et boursiers africains ont déjà chuté. Vu la détérioration des perspectives de croissance et le resserrement sur les marchés du crédit, les investissements directs seront vraisemblablement en repli cette année, alors que jusqu’à présent leur vitalité était un heureux dividende du travail de réforme accompli. À cela s’ajoute l’assombrissement des perspectives d’emploi des ressortissants africains vivant à l’étranger, d’où le risque d’une réduction des transferts qu’ils envoient à leur famille. 
Tout cela pèse lourdement sur les revenus des ménages mais aussi sur les budgets des États. Qui dit chute des exportations, dit baisse du chiffre d’affaire des entreprises et, partant, des recettes fiscales. 
Conjointement avec les autorités tanzaniennes, nous organisons une conférence à Dar es Salam les 10 et 11 mars prochains. Elle sera l’occasion pour les pays africains de partager les enseignements de leurs réussites, d’échanger leurs points de vue sur les meilleurs moyens de surmonter les conséquences de la crise financière mondiale et de nous éclairer sur la forme que devrait prendre l’action du FMI en Afrique pour les aider à atteindre les objectifs qu’ils se sont fixés pour leur population. 
La bonne nouvelle est que l’économie de nombreux pays africains est beaucoup plus saine aujourd’hui qu’il y a dix ans. De nombreux pays disposent de réserves de change suffisantes pour faciliter leur ajustement au nouvel environnement économique. Dans certains pays, la faiblesse de l’endettement public et l’existence d’une épargne importante permettent d’envisager de maintenir, voire d’augmenter, le niveau des dépenses et d’élargir les déficits publics, sans pour autant menacer la stabilité économique. Dans d’autres, en revanche, les contraintes de financement limitent ces possibilités. 
Le FMI accompagne ses États membres en Afrique pour les aider à faire en sorte que la crise mondiale n’efface pas les gains durement acquis ces dernières années. Pour ce faire, nous avons accru notre concours financiers aux pays gravement affectés par la flambée des prix énergétiques et alimentaires de l’année dernière, et avons récemment mis en place un mécanisme de financement plus flexible pour les pays qui subissent des chocs exogènes. 
Le FMI est également actif sur le front de l’assistance technique, en dépêchant des experts auprès de nos États membres africains afin de les aider à renforcer leurs capacités en matière de gestion économique. Nous avons déjà établi trois centres régionaux d’assistance technique en Afrique et comptons en ouvrir deux autres. Enfin, forts de l’expérience acquise dans d’autres régions, nous offrons nos conseils de politique économique pour aider les pays africains à relever les défis liés au ralentissement de l’économie mondiale. Nous encourageons nos États membres à ne pas perdre de vue leurs objectifs de moyen terme, afin d’éviter qu’en répondant aux besoins du moment les gouvernements n’hypothèquent leur avenir. 
De manière plus générale, la communauté internationale a un rôle déterminant à jouer. En ces temps difficiles pour le continent, elle doit impérativement honorer ses engagements en matière d’aide au développement. De plus, il est vital pour la poursuite de son développement économique que l’Afrique puisse bénéficier d’un système commercial ouvert. 
L’Afrique ne sera pas épargnée par les problèmes qui affaiblissent l’économie mondiale, mais en agissant ensemble nous pouvons l’aider à préserver la dynamique de ses récents acquis pour lui permettre de bénéficier, le moment venu, de la reprise mondiale. 
• Antoinette M. Sayeh,  
• Directrice, Département Afrique  
• Fonds monétaire international 
 
SYSTEME SOPHISTIQUE D’ECOUTES TELEPHONIQUES 25 milliards pour « violer » l’intimité des Sénégalais  
par Bacary Domingo MANE | SUD QUOTIDIEN , mercredi 18 février 2009 
Le gouvernement du Sénégal va mettre en place un système très sophistiqué d’écoutes téléphoniques. Ce projet de 25 milliards de Fcfa serait au service d’intérêts privés d’un groupuscule qui serait au cœur et à la périphérie de l’Etat. L’Alliance des forces de progrès (Afp) qui fait la révélation dans un communiqué en date du 17 février, estime que ce sont les libertés et l’intimité des Sénégalais qui seront ainsi violées. Un projet qu’elle assimile à un recul démocratique. 
L’Alliance des forces de progrès (Afp) affirme, dans un communiqué en date du 17 février, que l’Etat du Sénégal a ficelé un projet d’un montant de 25 milliards destiné aux écoutes téléphoniques. Ce système très sophistiqué qui, de l’avis des « Progressistes », va violer les libertés et l’intimité des Sénégalais, n’est pas au service de la République, mais « d’intérêts privés d’un groupuscule décidé à poursuivre l’exécution de son projet monarchique insensé ». 
Il s’agit là d’une régression démocratique matérialisée, selon les camarades de Moustapha Niasse, par le parti pris du ministère de l’intérieur dans l’organisation des élections locales prévues le 22 mars prochain. C’est pourquoi l’Afp estime que la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) est le seul rempart crédible contre les « fraudeurs zélés du ministère de l’intérieur ». Elle soutient, dans un communiqué en date du 17 février, que la Ceni est le seul organe capable d’organiser des élections libres et transparentes. Au moment où « notre démocratie est mal en point, presque à l’agonie avec l’absence totale de la séparation des pouvoirs qui est illustrée, encore une fois, dès la phase de dépôt des listes de candidats, occasion saisie par certains éléments de l’Administration territoriale manipulés par le Parti-Etat, pour se livrer à une délinquance électorale caractérisée et constatée par voie d’huissier, constat dont la réalité n’a pas été reconnue par la Cour d’Appel ». A cela s’ajoute le fait que le fichier électoral est piégé et la rétention des cartes d’électeurs depuis la pseudo-refonte totale, est une réalité. Suffisant pour que le Bureau politique de l’AFP engage tous les responsables et militants, dans toutes les localités du pays, « à participer, avec détermination et dans un esprit d’équipe, au sein des Coalitions patriotiques de l’Opposition, à la résistance aux côtés des populations, pour faire face à la tentative annoncée de confiscation de la volonté souveraine du peuple ». 
Le Bureau politique de l’AFP a invité les responsables et les investis à l’occasion des prochaines élections locales à regagner leurs bases respectives, aux fins de développer une vaste campagne d’explications et de sensibilisation, au service du Sénégal debout. 
Ruse et esprit de dissimulation… 
Par ailleurs, les camarades de Moustapha Niasse soutiennent que le « feuilleton de la dette intérieure montre à souhait jusqu’à quel point le régime de Maître Abdoulaye Wade et l’esprit de dissimulation, la ruse et l’informel se sont installés au cœur de l’Etat, en hypothéquant dangereusement l’équilibre des finances publiques et l’avenir des entreprises, c’est-à-dire, de notre économie ». En déclarant vouloir éponger les arriérés de paiement, avance notre source, le régime en place, qui n’en finit pas dans sa quête fébrile de financements, s’emmêle dans des explications peu convaincantes, où les chiffres avancés sont contredits et par les chefs d’entreprise et par les bailleurs multilatéraux comme le FMI. En plus, une discrimination scandaleuse continue de frapper tous les patriotes qui refusent de courber l’échine, renseigne le communiqué. Et d’ajouter : « C’est plutôt dans l’affairisme que les tenants du pouvoir font tous les jours étalage de leur savoir-faire diabolique, en pataugeant dans les eaux troubles qui les ont amenés à démolir par étapes le stade Assane Diouf, tantôt à la faveur des ténèbres, tantôt subrepticement, à l’occasion de grands événements nationaux qui détournent ailleurs l’attention des citoyens, des riverains en particulier ». Les « Progressistes » déclarent qu’entre « les dates où les bulldozers ont agi, c’est le discours lénifiant et dissimulateur des plus hautes autorités de l’Etat qui a été servi aux jeunes du quartier de Reubeuss, pour les endormir, alors que, depuis longtemps, des engagements avaient déjà été pris, dans des conditions nébuleuses, avec des partenaires ». Et de renchérir : « Dans ce dossier comme dans bien d’autres, l’intérêt général est mis sous le boisseau, au profit d’obscures préoccupations d’une camarilla qui continue de piller systématiquement notre pays ». 
Le monde rural dans la dèche 
D’un autre côté, les populations dont la majorité est démunie paye, selon l’Afp, un lourd tribut à cette politique de ruine nationale. « Cette année, le monde rural a découvert, avec le gouvernement de Me Wade, ce qu’est une campagne virtuelle de commercialisation agricole sans financements. Les paysans en subissent les conséquences directes avec l’aggravation d’un processus de paupérisation qu’entretient un gouvernement irresponsable, qui pense à tort que les effets d’annonce et les contrevérités régulièrement assénées constituent un palliatif acceptable. 
Les Sénégalais attendent encore la baisse des prix des denrées de première nécessité annoncée par Maître Wade pour la fin du mois de janvier dernier », renseigne le communiqué. Pour l’Afp « cet échec illustre la perte de crédibilité d’un Etat dont le train de vie dispendieux est financé par les sacrifices imposés aux Sénégalais. Naturellement, ces politiques meurtrières transparaissent dans le système éducatif et dans le secteur de la santé qui connaissent des grèves multiples éparses et perlées, dont la complainte des acteurs nous parvient aujourd’hui, comme une litanie ayant toujours trait à des arriérés de paiement et à des engagements non respectés ». 
 
WALF FADJRI : 
Le Sénégal d'aujourd'hui : Etat des lieux 
 
 
Le Sénégal est un endroit de ce monde où on arrive à provoquer des débats corneculesques sur des questions qui, elles, sont loin de l'être. Un espace de la planète où on adore lancer de petits conflits tournant à la guerre mémorielle des paroles par refus d'aborder les problèmes à temps et en urgence. Le lieu où on préfère l'étripage au dialogue, l'enlisement à la réforme, les paroles aux gestes, l'hypocrisie à la franchise des convictions, l'abandon et l'insouciance à la recherche des solutions à nos soucis quotidiens. Pourtant, le Sénégal est un pays riche en couleurs (vert, jaune, rouge), mais seule la couleur de l'argent reste et demeure la plus visible.  
L'ancienne opposition ne ratait jamais l'occasion, entre poire et fromage, d'attirer l'attention du monde sur la manière des socialistes de dépenser l'argent du contribuable. Ces millions à l'époque représentaient une sérieuse hypothèque prise sur le mode de vie et l'avenir des Sénégalais, était-il dit en substance. Des années plus tard, avec l'avènement de l'alternance, la boule de neige a largement doublé. On ne parle plus que de milliards qui sont certes sympathiques et non négligeables, mais il devient urgent de tirer le signal d'alarme, de développer l'effet de pédagogie nécessaire afin de faire comprendre à nos compatriotes que chaque franc Cfa dépensé est utile au peuple, que le Sénégal n'est pas en mesure de vivre au-dessus de ses moyens, que les facilités et le laxisme d'aujourd'hui constituent les impôts de demain. Et pourtant les Sénégalais doivent doubler d'effort pour analyser, afin de mieux comprendre ce qui se passe actuellement dans notre pays. Oui, le Sénégal, c'est le Sénégal, un pays avec une âme propre qui devrait faire de lui un porte-étendard du panafricanisme, des droits de l'homme, de la solidarité et surtout de la dignité politicienne.  
L'actualité est riche et sachons l' interpréter : la vie est chère, l'enseignement va mal, la santé à la traîne, la croissance languissante, le coût du logement au seuil de la tolérance et un grave épisode d'inondations venues encore s'ajouter à l'atmosphère de déprime dans laquelle se languit le pays. Rien n'indique a priori que 2009 sera meilleure que les 365 jours l'ayant précédé. Car les conditions pour repartir d'un meilleur pied ne seront réunies que si les politiciens cessent de nous leurrer. Les Sénégalais peinent à joindre les deux bouts s'ils ne sont pas anxieux face à la situation de l'emploi, de l'habitat social, de la sécurité et des transports. Dans leur détresse, les populations sinistrées ont eu au moins le réconfort de constater l'immense vague de solidarité. Une compassion qui tient sans doute plus pour les Sénégalais à un réflexe de ‘proximité’ envers des compatriotes brutalement piégés par un hivernage que par un souci de l'Etat d'être coupable d'avoir laissé si longtemps des hommes, des femmes et des enfants vivre sur des terres d'eaux. Il faut se rendre à l'évidence que la fatalité n'explique pas tout et ne peut servir d'alibi face à l'absence de volonté politique, d'anticipation, d'organisation.  
Encore faut-il accepter de braver, non pas l'opinion publique qui est acquise au principe d'une saine gestion, mais d'innombrables résistances émanant d'hommes nuisibles à notre société et que cessent les interminables promesses pour rendre la machine de l'Etat plus performante. Car la persistance de certaines méthodes a deux inconvénients au moins : elle hypothèque notre avenir, puisqu'il faudra bien régler la note, et elle empêche l'Etat d'être au service du peuple. Dans ce jeu dangereux auquel se livrent certains politiques, j'ai bien peur que ce soit là le vrai visage du Sénégal du XXIe siècle : un pays, qui a peur, en manque d'ambition, incapable d'assumer son histoire, et qui se renferme sur lui-même. Cette manie bien de chez nos politiciens de tout faire passer par une loi que chacun s'empresse de nous imposer, traduit le niveau d'abaissement de l'institution parlementaire. Une reprise en main de notre destin serait de nature à panser bien des plaies et à revigorer quelques plans de carrières.  
Une économie qui tourne est le gage d'une situation politique apaisée. Et pour que la conjoncture prenne du muscle, il suffit que naisse cette confiance entre l'Etat et le peuple. Que les Sénégalais retrouvent leur fierté nationale, leur union autour de l'essentiel. Qu'ils sortent de la mélancolie et de l'auto-flagellation dans lesquelles se languit le pays. Dans un pays où députés et sénateurs sont dotés de véhicules de luxe alors que le Sénégal ne compte pas 250 ambulances médicalisées, ni de 250 camions-poubelles, encore moins de 250 véhicules de patrouilles pour nos forces de l'ordre. Que ces élus se réjouissent certes, mais qu'ils sachent aussi que, dans ce Sénégal d'aujourd'hui, des femmes vont accoucher en taxi, en charrette, à pied et que d'autres accouchent sans assistance médicale, que des nourrissons manquent de couveuses, de vaccins et de premiers soins. La mer nous prend notre jeunesse désespérée, l'insécurité routière avec plus de 800 morts par an est un bilan de guerre. Tous les jours, des morts, des blessés.  
Combien d'enfants ne grandiront pas ? Combien d'enfants ne connaîtront pas l'amour paternel ou maternel ? Pour un chef de famille décédé ou inapte à la vie active suite à un accident, combien de familles sont cassées ? Combien d'enfants sortiront du circuit éducatif pour être reversés dans la ‘rue’ ? Est-ce que tous ces hommes et femmes qui se tiraillent à la veille de ces élections locales pensent, une fois élus, à recenser dans leurs communes le nombre de femmes enceintes dont les états sont à surveiller, de nourrissons à vacciner en luttant contre la mort et la maladie infantile, d'enfants à mettre sur les rails de l'éducation. Vont-ils initier une union des cœurs Etat, parents, enseignants autour de l'essentiel ? Un trio de choc pour lutter contre l’insouciance et l'abandon qui n'ont fait que miner notre société depuis la nuit des temps. Toutes ces questions sans réponses au risque d’exploser, qu'Allah nous en préserve, sur la tête de nos descendants.  
Houleuse et mouvementée, l'histoire de notre pays démontre que c'est à chaud que des réformes et bouleversements d'ampleur sont nécessaires pour revoir l'architecture des pouvoirs, leurs fonctionnements et leurs manières de s'équilibrer les uns des autres. A froid, c'est compliqué comme le prouvent les états d'âme des parlementaires de la majorité, juste soucieux de leurs existences qui ne cessent de nous démontrer une mauvaise foi éhontée. Le contexte doit évoluer, le Sénégal est comme frappé de sclérose institutionnelle. Des propositions doivent être retenues et mises en œuvre pour contribuer enfin à la séparation des pouvoirs dans un pays où nous devrions tous cesser de croire que notre modèle séduit le monde. Le Parlement retrouverait ainsi sa dignité et l'exécutif serait moins soumis à la tentation du hold-up des institutions dans lequel le président Wade s'est voluptueusement coulé après l'avoir si longtemps attaqué.  
Il faut se rendre à l'évidence ; la politique nous a toujours habitués à des comédies qui devraient être jugées avec autant de sévérité que de dédain et c'est bien le sentiment de bazar que nous donne le régime libéral, ce qui loin de nous réjouir commence à nous inquiéter. Tout ceci est un véritable révélateur des contradictions qui minent la société sénégalaise, et de la crise d'identité qui la ronge. Cette situation ouvre un boulevard à ceux qui se croient capables d'entrer dans le cercle restreint des présidentiables. Mais ils devront compenser une fulgurante ascension par un art surhumain de l'équilibre, en ne fautant pas aux yeux de l'opinion et en évitant de froisser un Wade qui n'a nullement envie d'être relégué au magasin des accessoires.  
Pourtant, il devrait savoir que la fonction présidentielle a ceci de cruel : qu'à la surexposition liée à l'occupation du Palais succède un début médiatique frôlant la mort politique pure et simple. Avec son style si particulier, il risque de connaître le sort du président Diouf qui est arrivé jeune aux affaires et désavoué en 2000 par les électeurs et vit l'existence fantomatique d'ancien chef d'Etat. Surtout qu'il tarde à réagir notamment sur l'épineuse question du pouvoir d'achat qui pourrait être pour lui ce que la facture sociale fût en son temps pour Diouf. Un boulet !  
Mais l'essentiel n'est pas là. Alors que le président Abdoulaye Wade essaye de maintenir un espace politique jusqu'à l'expiration de son mandat, l'opposition tente de s'ouvrir un espace d'attente vers un éventuel assaut menant au pouvoir. Sans oublier Macky Sall qui doit concilier audace dans ses intentions et prudence dans l'action. Et surmonter la contradiction entre son passé libéral et une rivalité programmée avec Wade pour incarner l'innovation en donnant le rythme à sa nouvelle vie de meneur d'hommes. Suffisant pour se coller à l'opposition en jouant les amphétamines dans l'explosif cocktail de la pré-campagne électorale permanente que vit le Sénégal d'aujourd'hui. Alors des idées, des convictions, des intentions et une bonne dose de provocation : rien de tel pour cueillir l'adversaire là où il ne vous attend pas et le forcer à se positionner en conséquence.  
Mamadou Oumar WANE Consultant Cabinet Audits qualité client mesures réseaux Télécoms- France editocontribution@yahoo.fr  
 
Messieurs les journalistes, votre métier n’est pas de diffamer et de calomnier ! 
 
 
Je saisis l’opportunité que m’offre cette rubrique ‘Contributions’ (heureusement qu’elle existe, j’en félicite Walf Quotidien qui permet ainsi au citoyen lambda de s’exprimer) pour lancer un cri de cœur. Mon propos qui s’adresse aux journalistes, loin d’être un procès d’intention, se veut une invite au respect des règles déontologiques et éthiques de leur noble métier. Je ne m’exprime guère en donneur de leçon, loin s’en faut, mais je crois que le citoyen que je suis, a le droit de s’exprimer sur telle ou telle chose susceptible de ternir l’image de son pays. Si j’ai décidé, ainsi, de prendre ma plume pour me prêter à un tel exercice, c’est que, autant que nombre de mes compatriotes, je trouve anormal que d’honnêtes citoyens soient, chaque jour, victimes de pratiques de journalistes véreux qui n’hésitent pas à tronquer leur manteau professionnel contre celui de maîtres chanteurs à la solde d’adversaires politiques ou d’ennemis mal intentionnés contre des espèces sonnantes et trébuchantes. C’est honteux quand un professionnel de l’information décide, de son propre chef, d’utiliser son métier pour anéantir ou nuire à une personne.  
Aujourd’hui, beaucoup de Sénégalais se sont résolus à se détourner de la presse locale parce que la jugeant au raz des pâquerettes, ne donnant pas l’information juste, diffamant sans fondement des citoyens honnêtes… Je me démarque de ces compatriotes parce que je suis d’avis qu’à côté de l’ivraie, il y a de bonnes graines. Même si les tares évoquées ci-dessus et qui gangrènent notre presse, prennent des proportions inquiétantes, il serait, de mon point de vue, injuste de loger tous à la même enseigne. En effet, il y a toujours, dans notre pays, des journalistes qui s’acquittent merveilleusement de leur métier, qui ont une haute idée de leur profession et qui, pour rien au monde et malgré les multiples tentations, ne se renieront jamais. Il convient, cependant, de reconnaître que ces personnes sont, aujourd’hui, noyées par ceux que j’appelle les ‘petits’ journalistes qui peuplent les rédactions et qui ne sont mus que par le gain. Cette catégorie de journalistes est nuisible à la société. Comment en arrive-t-on à accepter de recevoir des sommes d’argent (parfois dérisoires), pour nuire à une personne au risque même de lui gâcher toute la vie, elle et sa famille ?  
Messieurs les journalistes, devant votre machine et votre clavier, vous ne mesurez guère le tort que vous causez à d’honnêtes gens en décidant, pour des intérêts mesquins, d’y graver des mots diffamatoires. Dieu merci, personnellement, mes adversaires ne sont pas arrivés à réaliser leur dessein qui est de me liquider politiquement par le biais d’une certaine presse. Le journaliste payé pour porter atteinte à mon honneur et me détruire se reconnaîtra. Mais qu’il déchante ! Ils ne pourront rien contre moi et contre la volonté du Seigneur. Mon seul tort est de gêner des adversaires politiques en mal de popularité et de promotion. Mais il ne sert à rien de nier les faits, car tout le monde sait l’amour viscéral que j’ai pour ma localité et les efforts que je ne cesse d’y mener depuis très longtemps en vue de contribuer au bien-être des populations. Tout ce qui m’importe, c’est le fait que mes actions soient positivement jugées par ces dernières et non les dénigrements de ‘journaleux’.  
Cependant, ce qui est grave, c’est que des patrons de presse acceptent, au sein de leur rédaction, des journalistes qui se sucrent sur leur dos en accomplissant, à leur insu, de sales besognes. Comment un rédacteur en chef ou un directeur de publication peut-il accepter de laisser passer un papier dans lequel il n’y a aucun recoupement ou une vérification des faits ? Cela est d’autant inadmissible que des articles orientés foisonnent dans la presse, la ‘nouvelle’ presse, dois-je dire. Il faut reconnaître qu’il y a dix ans, la presse sénégalaise n’était pas aussi ‘pourrie’. Messieurs les patrons de presse, il est temps de réagir en chassant de vos rédactions ces ‘vautours’ qui sont tout sauf des journalistes ! Il y va de la crédibilité de votre métier et de l’image de notre pays qui a toujours été cité en exemple dans ce domaine.  
El Hadj Malick GUEYE Député 
 
La parole aux gestes 
 
 
A dessein, j’ai retourné la formule et concédé le pluriel aux fins de mieux illustrer mon propos. L’expression courante : joindre le geste à la parole signifie, qu’on accompagne ce qu’on dit de gestes pour rendre la chose plus explicite. Au figuré, c’est faire suivre une déclaration d'une action immédiate.  
Enfant, j’ai été affecté par un bégaiement terrible dont je fus guéri, vers l’adolescence par mon prof de français, Madame Weiss, à l’Ecole normale, qui trouvait malheureux que mon élocution - à grand renfort de gestes - ne soit pas à l’avenant de mes compositions écrites. C’est ainsi que, chaque jour, après la classe, elle m’apprenait à respirer en parlant. La thérapie consistait également à alterner parole et chant. Ce qui me permit de comprendre, bien plus tard, pourquoi le bègue peut chanter couramment et sans trace de son handicap.  
Cette introduction me sert tout juste de prétexte pour parler de l’importance ou non des gestes dans la parole. Il existe des personnes aussi avares de gestes que de paroles. Considérons quelques cas extrêmes. De l’épopée sénégalaise, les chanteurs Youssou Ndour, à la suite de Ndèye Mbaye, ont évoqué Birima, ce prince du XIXe siecle, célèbre non seulement pour sa prodigalité, mais parce qu’il ne s’adressait à ses sujets qu’une fois l’an. Vrai ou faux, peu importe. Ceux qui se souviennent de leurs humanités gréco-latines savent également que le sort des gladiateurs était lié à un seul geste du pouce levé ou pointé vers le bas de l’Empereur.  
Selon le célèbre anthropologue américain Edward T. Hall, ‘lors d’une discussion entre deux personnes, moins de 35 % de la communication se transmet par les mots…’ Ce qui veut dire que 65 % concernent le canal non verbal. Bien évidemment, il n’y a pas que le geste qui soit non verbal. Expressions faciales, corporelles, sons non articulés - onomatopées, par exemple - établissent également un lien sémantique entre le geste et le langage. Pendant longtemps, subsistèrent des séquelles du bégaiement ancien, surtout en des états d’énervement, avant que j’en vinsse totalement à bout. Quant aux gestes manuels, ce fut une autre paire de manches. On perçoit plus facilement les défauts orthophoniques que la prolixité gestuelle. Encore faut-il en avoir conscience et être motivé - raisons professionnelles - pour s’en défaire. Chez certains orateurs de métiers, avocats notamment, la théâtralité du geste ajoute au panache verbal, tandis que des politiciens s’exercent devant le miroir à contrôler leur gestuelle qu’ils se font fort de réduire à sa plus simple expression. Par contre, rares sont les grands financiers qui parlent avec les mains. Leurs gestes semblent tout aussi bien calculés. D’une façon générale, la maîtrise d’un sujet servie par un riche vocabulaire se passe de gestes qui ne serviraient qu’à combler un déficit lexical.  
Chez nous, en milieu traditionnel, les maîtres de la parole, comme Hadj Mansour, ne parlent qu’avec des mots. La raison sans doute est qu’en milieu wolof, par exemple, le trait de caractère fort prisé est décrit par le mot ‘yiw’ qui allie distinction et sobriété en tout Etre ‘yiw’ contraire de ‘yiwadi’, c’est avoir le sens de la mesure en tout : port, parole et geste. Nous n’avons pas attendu Sénèque ou Talleyrand… pour savoir que tout excès est méprisable.  
Chez un tel individu, rien du vêtement, de la parole, du geste n’est spectaculairement remarquable. Ne trouvez-vous pas étrange que le personnage le plus célèbre de notre pays soit également le plus démuni de gestes et paroles ? Chez nous, en milieu traditionnel, les maîtres de la parole, comme Hadj Mansour, ne parlent qu’avec des mots. Prolixité, agressivité gestuelle faisant reculer plus d’un interlocuteur craignant une gifle ou un poing rageur toujours attendu de ma passion discursive.  
Amadou Gueye NGOM Critique social  
 
Ousmane Tanor Dieng (Parti socialiste) : Pourquoi l’opposition tient à participer aux élections  
Malgré les nombreux griefs qu’ils formulent contre le processus électoral, les partis de l’opposition tiennent, contre vents et marées, à participer aux prochaines élections locales. Qu’est-ce qui explique cette attitude ? Les injonctions de la base et le caractère local de l’école sont avancés par Ousmane Tanor Dieng comme étant les éléments explicatifs de cette position. 
 
Malgré le fait qu’elle ait remis en cause la fiabilité du fichier, rejeté ses recours en annulation des listes de la Coalition Sopi à Ndindy et Ndoulo, fait des sorties fracassantes contre la Cena etc., l’opposition prendra part aux élections locales. Les raisons, le secrétaire général du Ps l’explique diversement. Selon Ousmane Tanor Dieng, après l’élection présidentielle et les élections législatives que le front Siggil Sénégal a boycottées pour cause de manquements notés sur le processus, les états généraux des partis politiques ont, concernant les élections locales, recueilli l’avis de la base. Et c’est pour pouvoir décider s’il faut aller ou non à ces élections, malgré les manquements notés çà et là. La réponse a été affirmative. Alors, explique M. Dieng, ‘nous sommes en train d’appliquer une décision qui a été prise à la base. C’est pourquoi, il n’est pas possible de revenir en arrière’.  
Autre élément d’explication : ‘Une élection locale n’est pas une élection nationale.’ A ce propos, le socialiste en chef estime que les moyens de contrôle des élections ne sont pas les mêmes. Parce qu’il est plus facile selon lui de contrôler les élections locales qu’une élection nationale. La preuve, poursuit le socialiste, ‘nous avons indiqué que chaque électeur doit travailler à sécuriser son propre vote’. Il s’agit là, selon lui des décisions qui permettront au niveau de chaque lieu et dans chaque bureau de vote de ‘limiter les risques de fraude’.Pour convaincre de ses propos, M. Dieng prend comme exemple la publication des listes des électeurs par bureau de vote. ‘Nous allons demander à ce que les listes soient publiées 15 jours avant le vote. Et cela permettra aux militants de savoir si les personnes inscrites sur les listes résident dans la localité’.C’est pourquoi ‘nous voulons que les camarades qui sont à la base et qui nous ont demandé d’aller aux élections locales sachent qu’ils ont une responsabilité particulière pour contrôler le vote au niveau de leur localité’, insiste Tanor Dieng.  
Revenant sur la différence entre l’élection présidentielle de 2007 et les locales du 22 mars prochain, le socialiste en chef rappelle qu’ ‘aux locales, il y aura des listes éclatées au niveau de chaque localité. C’est le cas de la Coalition Sopi où il y a deux ou trois listes dans une même localité’.  
Suffisant selon lui, pour convaincre que ce sont des majorités relatives qui vont gagner dans certaines localités. ‘C'est-à-dire qu’on peut avoir 25 ou 35 % et gagner parce que les voix ont été éclatées. Et cela est une différence notable qui fait qu’il faut aller aux élections’, défend Tanor Dieng.  
Yakhya MASSALY  
Football  
Destruction du stade Assane DIOUF : L'Etat divise Rebeuss  
 
 
Le feu couve à Rebeuss. Dans les jours à venir, si l'Etat n’intervient pas, des affrontements vont opposer les habitants du même quartier. Naguère bien regroupées dans le Collectif pour la sauvegarde et la réhabilitation du stade Assane Diouf, les populations de Rebeuss ne parlent plus le même langage. La majorité reste déterminée à poursuivre le combat. Tandis que le reste de la troupe défend le projet de centre des affaires prévu sur le site.  
‘Au début, on était opposé à ce projet. On pensait que le projet était une propriété d’hommes d'affaires qui veulent nous priver de nos activités sportives, informe Abdoulaye Seck, qui prétend défendre les intérêts des populations de Rebeuss. Mais, quand on s'est rapproché des autorités, on a bien compris que ce centre d'affaires va profiter aux habitants de Rebeuss et des autres quartiers environnants. Ce sont des milliers d'emplois que ce centre va drainer pour les populations de nos quartiers.’ A en croire notre interlocuteur, beaucoup de jeunes de Rebeuss ont compris ‘que ce sont des politiques qui sont derrière les jeunes pour empêcher à l'Etat de réaliser ce centre. Mais, qu'ils sachent qu'on est bien déterminé à en découdre avec tous ceux qui tenteront de s'opposer à la continuation de ces travaux’.  
En conférence de presse hier, le Collectif, visiblement majoritaire, ne l’entend pas de cette oreille. Son porte-parole, Moustapha Niang indique que le quartier de Rebeuss reste toujours opposé au projet. Car, argumente-t-il, ‘à la place des hommes d'affaires chinois dont les noms avancés par les autorités compétentes, ce sont bien des Sénégalais bon teint, tapis dans l'ombre, qui veulent faire de ce terrain un centre commercial’. Une information que Moustapha Niang et ses camarades disent détenir de bonnes sources : ‘Ce sont les autorités de l'ambassade de la Chine au Sénégal qui nous ont fait comprendre qu'aucun chinois n'est mêlé, ni de près ni de loin à la réalisation de ce centre d'affaires. Ce sont bien des hommes d'affaires sénégalais, en complicité avec l'Etat, qui veulent priver les jeunes de Rebeuss de la pratique du sport. On ne l'acceptera jamais.’  
Un sit-in suivi d’une marche est prévue samedi prochain au niveau de l’avenue El Hadji Malcik Sy. D’autres actions de ce type, ‘avec ou sans autorisation de l’autorité administrative’, sont prévues pour défendre le site d’Assane Diouf. Dans leur combat, ils peuvent compter sur diverses personnalités politiques, religieuses et de la société civile. A la conférence de presse du Collectif de Rebeuss, Fallilou Kane (ambassadeur), l’imam Mbaye Niang (député), Khalifa Ababacar Sall et Barthélemy Dias (Parti socialiste), Cheikh Bamba Dièye (député) et Malick Ndiaye (sociologue) étaient présents.  
Mamanding Nicolas SONKO  
NETTALI : 
Wade et les Franc -Maçons. La démagogie des intellectuels sénégalais  
mardi 17 février 2009 
Source Nouvel Horizon : Il y a de quoi de désespérer de certains intellectuels sénégalais. Quand la presse a révélé le passé maçonnique de Wade, la première ligne de défense aurait dû venir de ces intellectuels dont la légitimité se fonde sur la liberté de pensée et d’expression. 
Malheureusement certains d’entre eux ont embouché la trompette de démagogie et ont été plus tolérants que les barbus. Ces intellectuels médiatiques n’ont jamais probablement lu ou entendu Le « J’accuse » de Zola. Le Sénégal est une République laïque c’est-à-dire que l’Etat n’a pas de religion, n’a pas de religion et ne favorise aucune religion. Que le président Wade ait un passé maçonnique, c’est son droit car la République reconnaît les allégeances privées. Que la franc-maçonnerie soit incompatible avec l’islam ou sa confrérie, c’est un problème privé entre Wade et Dieu. En aucun son appartenance passée à la franc-maçonnerie ne saurait être un problème de la République qui est un champ absolu d’incompétence en matière religieuse. Wade n’a pas été élu par ces convictions religieuses ou son allégeance confrérique. Rendons à César ce qui appartient à Dieu. Demander à Wade de s’excuser auprès de l’OCI comme le fait le professeur Malick Ndiaye est excessif. Et comme le dit Talleyard, « tout ce qui excessif, devient insignifiant ». Le débat sur le passé maçonnique de Wade est tellement insignifiant que le khalife général des Mourides n’en a même pas fait le cas. Ce qui est une excellente leçon pour les tartuffes et autres inquisiteurs aussi intolérants que l’ordre des dominicains qui se plaisait à massacrer des villages entiers en criant « tuer les tous », Dieu reconnaîtra les siens ». Laissons Dieu reconnaître les siens, ce n’est pas la mission de la République. 
 
 
LA FRANC-MAÇONNERIE :UNE SECTE SATANIQUE (ANTECHRISTIQUE). UN SIGNE DE LA FIN DES TEMPS ! 
mercredi 18 février 2009 
Xalima.com 
C’est une association secrète qui se caractérise surtout par certaines Pratiques : initiation, rites, emblèmes, cérémonie, et autres actions occultes. 
Le philanthropisme dont se targuent la franc-maçonnerie n’est qu’une couverture. En vérité, la motivation essentielle de ses adeptes, c’est la réussite sociale. Oui, l’immense majorité des adhérents n’y croient pas ; ils ne sont mus que par l’argent facile et les honneurs. 
D’une manière générale, l’idéologie maçonnique prétend faire sortir les adeptes des ténèbres vers la lumière, au prix d’une initiation spirituelle ; ce qui, forcément, remet en question la vocation même des religions monothéistes (Islam, Christianisme et Judaïsme). Ainsi, ces dernières, à leur tour, la considèrent donc, à juste raison, comme d’essence satanique. 
Que l’adhésion à la franc-maçonnerie soit par conviction ou par opportunisme, elle est condamnée sans équivoque par l’Islam. Dans le premier cas il s’agit d’une association (sorte de polythéisme) et dans l’autre d’une hypocrisie. Et dans tous les deux cas, la franc-maçonnerie relève d’une incrédulité certaine. Le Coran est explicite : 
(116) Certes, Allah ne pardonne pas qu’on Lui donne des associés. A part cela, Il pardonne à qui Il veut. Quiconque donne des associés à Allah s’égare, très loin dans l’égarement. 
(117) Ce ne sont que des femelles qu’ils invoquent, en dehors de Lui. Et ce n’est qu’un diable rebelle qu’ils invoquent. 
(118) … Et quiconque prend le Diable pour allié au lieu d’Allah, sera, certes, voué à une perte évidente. 
(120) Il (le Démon) leur fait des promesses et leur donne de faux espoirs. Et le Diable ne leur fait que des promesses trompeuses. (121) Voilà ceux dont le refuge est l’Enfer. Et ils ne trouveront aucun moyen d’y échapper ! 
(4. Les Femmes : 116-121) 
(1) Quand les hypocrites viennent à toi, ils disent : “Nous attestons que tu es certes le Messager d’Allah” ; Allah sait que tu es vraiment Son messager ; et Allah atteste que les hypocrites sont assurément des menteurs. … Quelles mauvaises choses que ce qu’ils faisaient ! … 
(3) C’est parce qu’en vérité ils ont cru, puis rejeté la foi. Leurs cœurs donc, ont été scellés, de sorte qu’ils ne comprennent rien. 
(4) … L’ennemi, c’est eux. Prends y garde. Qu’Allah les extermine ! Voilà ceux qui sont détournés (du droit chemin). 
(63. Les Hypocrites : 1-4) 
La franc-maçonnerie entre dans le vocable de Tâghût (fausse divinité) et ne peut donc qu’égarer ses adeptes, contrairement à ce qu’elle prétend : 
(257) Allah est le défenseur de ceux qui ont la foi : Il les fait sortir des ténèbres à la lumière. Quant à ceux qui ne croient pas, ils ont pour défenseurs les Tâghût, qui les font sortir de la lumière aux ténèbres. Voilà les gens du Feu, où ils demeurent éternellement. 
(2. La Vache : 256-257) 
(14) N’as-tu pas vu ceux qui ont pris pour alliées des gens contre qui Allah S’est courroucé ? Ils ne sont ni des vôtres, ni des leurs ; et ils jurent mensongèrement, alors qu’ils savent. … Ce sont les gens du Feu où ils demeureront éternellement. 
(19) Le Diable les a dominés et leur a fait oublier le rappel d’Allah. Ceux-là sont le parti du Diable (hizbou chaythâni) et c’est le parti du Diable qui sont assurément les perdants. 
(58. La Discussion : 14-19) 
Ainsi, la réussite sociale des francs-maçons et des autres adeptes de sectes sataniques est le plus souvent éphémère ; oui, les réussites rapides annoncent presque toujours une déchéance. 
(18) Quiconque désire [la vie] immédiate Nous nous hâtons de donner ce que Nous voulons ; à qui Nous voulons. Puis, Nous lui assignons l’Enfer où il brûlera méprisé et repoussé. … 
(22) N’assigne point à Allah d’autre divinité ; sinon tu te trouveras méprisé et abandonné. 
(23) et ton Seigneur a décrété : “n’adorez que Lui ; et (marquez) de la bonté envers les père et mère … 
(17. Le Voyage Nocturne : 18-23) 
(41) Ceux qui ont pris des alliés (awliyâ’), en dehors d’Allah, ressemblent à l’araignée qui s’est donnée maison. Or la maison la plus fragile est celle de l’araignée. Si seulement ils savaient ! (42) Allah connaît toute chose qu’ils invoquent en dehors de Lui. Et c’est Lui le Tout Puissant, le Sage. 
(29. L’Araignée : 41-42) 
La franc-maçonnerie peut être considérée comme une sorcellerie ou fétichisme ‘’moderne’’ ; ainsi le pouvoir de nuisance des francs-maçons peut aussi être d’ordre mystique - le fait du Démon : 
(36) Nous assignons un Démon comme compagnon inséparable, à quiconque se détourne du souvenir du Miséricordieux. 
(43. L’Ornement : 36) 
(25) Nous leur avons assigné des compagnons (démons) qui ont revêtu d’apparences trompeuses ce qui était devant eux et ce qui se trouvait derrière eux. 
La Parole prononcée au sujet des communautés de Djinns et d’hommes disparues avant eux s’est réalisée à leur détriment : voilà les perdants ! 
(41. Les Versets clairement exposés : 25) 
C’est cette donne qui explique très vraisemblablement la fascination exercée par certains francs-maçons dans beaucoup de domaines (Art, Politique, Littérature, Science, etc.). Ils sont, en vérité, d’authentiques serviteurs du démon (‘’deumm’’) !!! 
Les francs-maçons ne sont plus seulement ceux qu’on croit !!! Oui, il y a d’autres variantes (ou équivalents) de franc-maçonnerie : ce sont toutes les pratiques malsaines, transgressions, turpitudes et actions blâmables motivés que par la réussite sociale (crimes rituels, homosexualité, ‘’bayfallisme’’, certains wirds et toute forme d’adoration de djinns, etc.). 
Tout cela pour confirmer la véracité des propos du vénéré Serigne Babacar SY : C’est l’avidité pour l’argent et les honneurs (‘’dirham ak daradja’’) qui est le plus souvent à l’origine de la perte de l’homme, fusse-t-il un religieux ; celui qui échappe à cette tentation a toutes les chances de se prémunir de Satan et d’être sauvé. (*) 
(13) « Aucun serviteur ne peut servir deux maîtres ; il haïra l’un et aimera l’autre ; il sera fidèle à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent ». 
(Luc 16 : 13) 
Mais après tout, dans un pays laïc, toute personne est libre d’être franc-maçon, tout comme le peuple a aussi le droit et surtout le devoir de ne pas l’investir, car une fois élu, le franc-maçon sera plus au service de sa loge que son peuple. Oui, on ne peut pas être franc-maçon et être un vrai démocrate !!! 
Il faut aussi reconnaître qu’il est difficile de faire confiance à un ancien franc-maçon. Oui, un passé maçonnique effraie toujours, car on ne peut jamais sortir ‘’indemne’’ d’une liaison avec la mafia. 
Et à l’évidence, le passé maçonnique d’un Chef d’Etat d’un pays musulman à plus de 95%, de surcroît Président de l’Organisation de la Conférence islamique, attriste et rend forcément perplexe. Dans certaines ‘’grandes démocraties’’, même un antécédent d’infidélité conjugale peut perdre un dirigeant. Et la franc-maçonnerie est pire que l’adultère !!! 
La franc-maçonnerie est une secte ‘’antéchristique’’ – un signe de la fin des temps (akhirou zamân) : 
(61) Il [Jésus] est, en vérité, l’annonce de l’Heure [Litt. : la Science de l’Heure (fin des temps)] 
N’en doutez pas et suivez- Moi ! Voilà un chemin droit ! 
(62) Que le Démon (l’Antéchrist) ne vous écarte pas. Il est votre ennemi déclaré. 
(43. L’Ornement : 61-62 ; - Az – Zukhruf) 
• Abû Hurayra rapporte ces paroles de l’Envoyé de Dieu – sur lui la grâce et la paix - : « Vous dirai – je au sujet de l’Antéchrist ce qu’aucun prophète n’a dit à son peuple ? Il est borgne et il dispose d’une représentation du Paradis et de l’Enfer. Ce qu’il prétend être le Paradis est en réalité l’Enfer ». 
(Bukhari, Muslim). 
• Abû Hurayra rapporte ces propos de l’Envoyé de Dieu - sur lui la grâce et la paix – " Nul n’est plus en droit de se réclamer de Jésus, fils de Marie que moi-même, car entre lui et moi il n’y a aucun prophète. Si vous le voyez (à son retour, à la fin des temps) sachez le reconnaître : … il tuera le porc [Lévitique 11 : 7 – 8 ; Luc 16 : 16 ; Matt : 5 : 17], brisera la croix [démantèlement de l’Eglise], répandra l’argent et Dieu fera périr en son temps toutes les religions à l’exclusion de l’Islam. Il tuera le Messie de l’égarement, le borgne menteur [l’Antéchrist], et la paix se répandra sur terre …. 
Puis il [Jésus] mourra et les musulmans feront pour lui la prière mortuaire et l’enterreront." 
Anas b. Mâlik rapporte ces propos de l’Envoyé de Dieu - sur lui la grâce et la paix - : « … L’Heure (fin du monde) se lèvera sur les pires des hommes, et il n’est d’autre Mahdi que Jésus fils de Marie ». (Al - Hâkim) 
Abû Sa ‘îd rapporte ces propos du Prophète - sur lui la grâce et la paix - : « Le Mahdi est un de mes descendants ; il a le front large, le nez aquilin ; il emplira la terre d’équité et de justice, tout comme elle avait été le théâtre de l’iniquité et de la tyrannie. Il régnera sept années. ». (Abû Dâwûd) 
L’Evangile est très explicite sur le retour de Jésus : 
… (28) Ce sera comme du temps de Lot : les gens mangeaient et buvaient, achetaient et vendaient, plantaient et bâtissaient ; (29) mais le jour où Lot quitta Sodome, du feu et du soufre se mirent à pleuvoir du ciel et les firent tous périr (30) Il se passera la même chose le jour où le « Fils de l’Homme » doit apparaître [Malédiction des homosexuels. Un clin d’oeil au SIDA - la peste des temps modernes]. 
(Luc 17 : 29-30.) 
(5) Quelques personnes parlaient du Temple et disaient qu’il était magnifique avec ses belles pierres et les objets offerts à Dieu. Mais Jésus déclara : 
(6) – Les jours viendront où il ne restera pas une seule pierre posée sur un autre de ce que vous voyez là ; tout sera renversé [Démantèlement de l’Eglise !!!]. 
(8) … Faites attention, ne vous laissez pas tromper. Car beaucoup d’hommes viendront sous mon nom et diront : « Je suis le Messie ! » et le temps est arrivé ! Mais ne les suivez pas ! [En témoigne la profusion des sectes !!!] 
(9) Quand vous entendrez parler de guerres et de révolutions, ne vous effrayez pas ; il faut que cela arrive d’abord, mais ce ne sera pas tout de suite la fin du monde. 
(10) Puis Jésus ajouta : un peuple combattra contre un autre peuple, et un royaume attaquera un autre royaume, (11) il y’aura de terribles tremblements de terre et, dans différentes régions, des famines et des épidémies ; il y’aura aussi des phénomènes effrayants et de grands signes venant du ciel … . 
(27) Alors on verra le « Fils de l’Homme » arriver sur un nuage avec beaucoup de puissance et de gloire. 
(28) Quand ces événements commenceront à se produire, redressez-vous et relevez la tête, car votre délivrance est proche. 
(Luc 21 : 9-1O ... 27-28) 
A l’évidence, ces propos de Jésus Christ, constituent un rappel et un appel des chrétiens à la clairvoyance et donc à la conversion, mais aussi un message d’espoir et d’espérance pour l’humanité, en cette période de crise généralisée. 
Mais à quel ‘’Fils de l’Homme’’ ou Mahdi se fier ? « That is the question !!! » 
N’est-ce pas là encore une opportunité pour engager un véritable dialogue islamo chrétien – un dialogue « authentique » et donc sans détours, comme le préconise le Vatican ? 
Docteur Mouhamadou Bamba NDIAYE Ancien Interne des Hôpitaux de Dakar 
Pédiatre à Thiès 
Recteur de l’Université Virtuelle « la Sagesse » de la Fondation Serigne Babacar SY Ihsaan-Bienfaisance (Thiès). 
(*) Dits et écrits de Son Eminence Serigne El Hadj Madior CISSE. 
Source : xalima.com 
 

 

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Modifié en dernier lieu le 18.02.2009
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