TGP:illusions et chimères
(TGP) de Me Wade ne sont « qu’illusions et chimères
L'OFFICE:
Volcan
Le Pds renouvelle toutes ses structures, sauf celle de la Jeunesse, avant les locales de 2009. Une opération de toilettage à haut risque. Non seulement, comme il est de coutume chez eux, ils vont se battre comme de vulgaires chiffonniers. Mais, ils risquent encore de prendre en otage ce pays, pour leurs propres intérêts, du fait de la confusion qu’il y a entre cette formation politique et l’Etat. Il faudra encore constater les dégâts… Pour le grand malheur de Gorgorlou, quotidiennement tenaillé par une faim atroce, et sans fin
( Mor Todjangué )
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Objet : Inexpérience financière (12 milliards FCFA) des jeunes promoteurs de projet en opposition à la gabegie financière (77milliards FCFA déficit de trésorerie) de Samuel Sarr à la SENELEC.
Monsieur le Président de la République,
Lors de votre récente visite à Pikine, où des milliers de jeunes en quête d’insertion socio économique sont venus vous accueillir avec l’espoir de renouer les attaches sous le vocable Forum Banlieue Avenirs. Vous n’avez pas manqué de relever dés introduction, l’injection de 12 milliards depuis l’alternance (2OOO-2OO8) pour les jeunes. Ensuite de reconnaitre d’emblée, que c’est par inexpérience financière, que ces milliards n’ont pas porté les effets escomptés au profit du public ciblé. Ce n’est pas non plus une perte. Les jeunes auraient dû bénéficier d’une formation pertinente propre à la discipline financière pour relever le défi opportun de l’utilisation des ressources mises à leur disposition par le truchement de l’état.
Tel est en résumé votre pensée exprimée et retransmise par les média dont les TICS, en ce jour en plein banlieue tout en effervescence et en attente de solutions à leurs maux d’oisiveté.
Sans pour autant chercher à nous disculper, nous les jeunes, l’avenir du pays, reconnaissons que c’est hélas par un manquement de rectitude financière et déplorons en ces moments de crise financière internationale tout cette mégarde d’obédience financière. Toutefois les bénéficiaires que nous sommes sont identifiés. Tout un arsenal juridique pour recouvrir telles sommes est déclenché, les huissiers sont à nos trousses. C’est dire que les sommes allouées ne sont guère comptabilisées en pertes et profits.
Nous sommes entrain de payer durement les erreurs de notre inexpérience financière sous la contrainte de nos créanciers. Ces derniers ne négligent aucun recours de droit, qui par saisie de matériel, qui par moratoire sont aux trousses des jeunes. Il est reproché à cette population vulnérable une partie non remboursée des fonds mis à leur disposition , sous des critères dont ces mêmes créanciers ont élaboré et imposé à tout jeune en quête de financement.
Bref, nous les jeunes bénéficiaires de ces allocations financières ne sont pas épargnés, parce qu’ayant pas rentabilisé les fonds mis à disposition à des fins d’investissement productif.
Cependant, le Front National de Riposte Contre les Dérives et Abus de la SENELEC (FNRC/DAS)
composé à majorité de jeunes vivant en banlieue dakaroise, s’appuyant sur des preuves inédites et
tangibles, relevées par la presse citoyenne, vient de porter à la connaissance du peuple sénégalais, les milliards dilapidés par Samuel Sarr, alors qu’il était Directeur Général de la SENELEC (Septembre 2003 – Octobre 2006), en un temps trois fois moins long que la période des jeunes. Paradoxalement, pas une seule fois, Samuel Sarr n’a été vilipendé en plein public, non plus pas un cadre de la Sénélec avec qui, il a détruit les finances de la Sénélec à leur propre avantage matériel n’a eu à relever tel forfaiture. Pire, il a été promu au rang de ministre de l’Energie par vous-même. Tous les observateurs avertis reconnaissent que c’est sous la forte recommandation et dictée préparée de Samuel Sarr que la nouvelle direction a pris fonction. Ce sont ces plus proches collaborateurs, témoins oculaires et auditifs de la gabegie financière de la Sénélec qui ont pris la relève au non du népotisme, de l’impunité. Convenons en, c’est une forme honteuse de promouvoir les fautes de gestion, décriée par la presse sans qu’aucune voix autorisée de la Sénélec n’apporte des éléments de réponse encore moins l’Etat qui dans sa lancée a promu le plus piètre et médiocre manager de l’alternance, Samuel Sarr au poste de Ministre de l’Energie le 26 avril 2OO7 après sa sortie le 16 Octobre 2OO6. .
Dans le vif de la comparaison et de la corrélation, nous les jeunes vilipendés en plein public à Pikine, parce que n’ayant pas pu fructifier les ressources allouées, retenons à la différence de Samuel Sarr nous n’avons pas été épargnés par la justice pour mauvaise gestion non plus nous n’avons point déclarés être Managers pétris de formation ou de titres universitaires américaines mais tout simplement des jeunes en bandouillère l’envie d’entreprendre et aux capacités entrepreneuriales fort motivées.
Voila, Monsieur le Président de la République, ce qui justifie notre frustration dans votre discours quand même bien vous avez minimisé l’impact négatif de tel état de manquement disciplinaire en matière d’utilisation efficiente de financement chez les jeunes, espoir de demain. Vous avez raison de minimiser l’erreur managériale des jeunes dans l’utilisation des ressources financières mises à disposition. Par contre, au sein de votre gouvernement, un piètre manager ayant étalé ses tares dans la gestion de la plus grande société d’état participe au conseil des Ministres. Comme disait Idrissa Seck, parlant de Djibo Ka, il n’est pas un modèle de droiture pour la jeunesse. Samuel Sarr non plus n’est pas un modèle de discipline financière.
Les 12 milliards que l’on reproche aux jeunes novices, prêts à se prendre en charge sont une goutte d’eau dans la mer comparativement aux 77 milliards de déficit de trésorerie,121 milliards d’engagements, des équipements à utilité douteuse commandés pour des dizaines de milliards de francs, des véhicules en veux-tu aux cadres, des marchés douteux, et au gaspillage éhonté en plus du management populiste au prés des secrétaires. Aux dires d’un journaliste de la place si un audit de la Sénélec était effectué des choses gravissimes seraient découvertes dans la gestion de Samuel Sarr. Errements, fautes, manquements, extravagances, incorrections, fredaines, leurres, non-sens, sophismes, fourvoiements, aveuglements, aberrations, hérésies, paralogismes, anachronismes, détournements, mirages, balancements, tâtonnements dans sa gestion. Pourquoi donc ne point faire l’audit de Samuel Sarr, afin que les abonnés de la Sénélec sachent que tout simplement ils sont victimes de gabegie financière et non des facteurs exogènes quant à la précarité et la cherté dans la fourniture de l’électricité. C’est pourquoi, nous les jeunes des banlieues avons jugé juste et opportun de vous adresser ce courrier de réponse. Tout en reconnaissant notre erreur de jeunesse dans la conduite de projet attirons et portons à votre connaissance qu’un adulte et médiocre manager a sombré le Sénégal. Une situation aux antipodes de la bonne gouvernance, pire que les milliards des jeunes que vous avez soulignés devant une assistance médusée.
Veuillez recevoir Monsieur le Président de la République, mes salutations distinguées.
De: Khady Diop
Objet: Forum Banlieue Avenirs: Lettre de réponse ouverte au Président de la République, Maître Abdoulaye Wade
À: derivesenelec@yahoo.fr
Date: Jeudi 20 Novembre 2008, 3h19
African Global News : Vendredi 21 Nov 2008
Les fondements de la République à l’épreuve du pouvoir de Me Wade
On ne sait plus si le Sénégal est une République ou une monarchie. Ce doute s’impose dans la mesure où nous sommes en face d’un système politique dont tous les pouvoirs sont entre les mains d’un super homme : le président de la République. La séparation des pouvoirs tant clamée jure d’avec les actes que ne cesse de poser le chef de l’Etat dont la mainmise sur les Institutions du pays ne font plus l’objet d’un doute. Signe d’une régression démocratique.
La Constitution a subi, il y a une semaine, un nouveau viol douloureux suite à la volonté du chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, de se défaire d’un président de l’Assemblée nationale, Macky Sall, qui n’aurait commis que "l’honorable péché" de cautionner l’audition d’un citoyen, fut-il le fils du Président de la République, après qu’il a géré des centaines de milliards de F Cfa dont une partie provient des fonds publics. C’est en voulant faire jouer à l’Assemblée nationale son rôle de contrôle des dépenses publiques que Macky Sall a accepté la convocation de Karim Wade devant les députés. Mais, cette volonté des parlementaires a été perçue par les faucons de la formation libérale comme un coup de poignard dans le dos du Président Wade.
Et c’est le président de l’Assemblée nationale qui en paie les frais. Avec lui, tout l’appareil législatif qui devait pourtant, au nom des populations qu’il représente, faire valoir son indépendance. Et le comble, c’est quand le Chef de l’Etat choisit son successeur sous le prétexte qu’il est la seule constante du parti majoritaire à l’hémicycle. Les jeux sont faits et le nouveau président de l’Assemblée profite de la première audience avec le Chef de l’Etat pour le remercier et jurer de ne rien faire sans sa bénédiction. Sacrilège !
Que faut-il attendre de cette chambre législative déjà soumise à un homme alors qu’elle est censée assurer sa mission de contrôle de l’action du gouvernement ? Cette mainmise de Wade sur le pouvoir législatif est d’autant plus grave que les députés et les sénateurs se plaisent à rabâcher à chaque occasion lui devoir leur élection après qu’il les a choisis. Il serait dès lors plus approprié qu’on leur coller l’étiquette d’ "élus de Wade" et non plus celle d’"élus du peuple".
Les excès de pouvoir de Me Abdoulaye Wade entravent aussi la marche de la justice. L’indépendance du pouvoir judiciaire a été mise à rude épreuve à maintes reprises par l’immixtion du chef de l’Etat dans des affaires pendantes devant les juridictions. Si le Président ne se mue pas en procureur pour instruire à charge ou à décharge. L’on se rappelle de l’arrestation de feu Abdou Latif Guèye dans le dossier des antirétroviraux. Il a suffi que Me Wade fasse une déclaration publique pour dire que "Latif m’a déçu" pour qu’une inculpation l’envoie en prison. Il en est de même dans l’affaire des Chantiers de Thiès dont le dossier a été évoqué lors d’un "meeting politique" au Cices par le Président. Le clin d’œil assez expressif pour que la machine judiciaire s’emballe contre l’ancien Premier ministre et ancien maire de Thiès. De la même manière, c’est loin du système judiciaire que Idy a été libéré après que des négociations nocturnes ont été menées entre lui et le Palais, du fond de sa cellule de Rebeuss.
Il y a moins d’un an, les trois journalistes que sont Moussa Guèye et Pape Moussa Doukar et "l’Exclusif" et Papa Amadou Gaye, le directeur de publication de "Courrier" ont été incarcérés pour des délits de presse. C’est de Paris que Me Wade a demandé leur élargissement au moment où l’instruction suivait son cours. Ce pouvoir que Me Wade exerce sur le pouvoir judiciaire est compréhensible en ce sens qu’il lui est possible d’agir sur la promotion des magistrats. Car, il préside le Conseil supérieur de la magistrature et nomme les magistrats à la tête des juridictions.
C’est le même diktat que le Chef de l’Etat exerce sur les pouvoirs locaux. Le choix des maires, présidents des conseillers régionaux et ruraux sont de son seul ressort alors que la règle démocratique voudrait que ces derniers soient élus, c’est-à-dire choisis par les populations. Combien de collectivités locales a-t-il dissout pour avoir eu des différends avec leur maire, Président de conseil régional ou rural ? On ne peut le dénombrer. Quid des maires révoqués pour n’avoir pas satisfait sa volonté, fut-elle illégale ? La dernière victime de la superpuissance de Me Wade est Mbaye Ndiaye qui a été révoqué de sa fonction de maire des Parcelles assainies. Son tort ? Avoir soutenu Macky Sall dans le différend qui l’oppose à Wade.
Auteur: Ndiaga NDIAYE
Sommes-nous dans un pays libertaire ? L'indifférence est-elle devenue ordinaire ? banale ? Conventionnelle ? Serait-ce le renouveau du "Tiédo" ? Celui du Cayor des guerriers immoraux et immémoriaux ?
Qu'est devenu le Sénégalais? Le religieux résistant, patriote et engagé ? Le vertueux débonnaire et solidaire ? L'insousciant charmant et rieur que décrivait l'abbé David Boilat dans ses "Esquisses Sénégalaises" ?
Le temps a-t-il eu raison de son caractère ?
Pourquoi diable se laisse-t-il opprimer, humilier, museler ?
Pourquoi se laisse-t-il confisquer sa fierté ? son impétuosité ?
Le temps de l'héritage de droit divin est révolu. Nous avons acquis notre démocratie de haute lutte. Des compatriotes sont morts ou embastillés pour que leurs enfants puissent vivre dans une nation où ils auront à choisir eux-mêmes celui d'entre-eux qui aura la haute charge de les gouverner. Respectons leurs luttes et leurs sacrifices.
Lobservateur : Vendredi 21 Nov 2008
EDITO Potence
Article Par OBAMA ,
Paru le Jeudi 20 Nov 2008
Quand l’Alternance ne sera plus ! Ce n’est pas de la fiction, mais bien dans les cordes du temps. Mais alors, on risque bien d’en crever d’ennui. Pas un mois sans qu’une tête ne tombe. Et avec tout le fracas des chênes qui flanchent sous un violent coup de vent. Si ce n’est pas Doudou Salla qui se fait traîner dans la boue, après pourtant de longues années au service de la diplomatie sénégalaise, c’est Kader Boye - victime bien fraîche - qui passe à la trappe. Et ça se passe sans les formes. On dénigre en cassant. Ce qui en rajoute à la peine des «guillotinés». Ça rappelle une bien vieille époque où les condamnés à mort traversaient toute la ville, en essuyant injures et crachats avant de passer à la potence. Plus fair-play que les «bourreaux» de l’Alternoce, tu crèves !
420 MILLIONS D'INDEMNITES DE SESSION : Les députés se sucrent à la caisse
C’était une bamboula hier au niveau des guichets de l’Assemblée nationale. Nos « honorables » députés, après avoir voté le budget, passaient à la caisse. Pour encaisser leurs 420 millions de francs d’indemnités de session. A raison de 300 mille Cfa par député pour un nombre total de 140 bouts de bois de Dieu. La questure de l’Assemblée nationale, qui gère les sous de l’institution a prévu cette ligne, nous dit-on de sources proches de l’Assemblée nationale, pour alléger les « souffrances » des députés. Précisément ceux qui viennent de l’intérieur du pays et qui n’ont pas où loger à Dakar. Quel prétexte alors !
Assemblée (bis)
Au niveau de l’Assemblée nationale, on avance en effet que les travaux non encore terminés engagés au niveau des deux hôtels des députés. Des travaux qui font que certains députés des régions, une fois à Ndakaaru, se transforment en Sdf. Seulement nak, là où le bât blesse, c’est qu’on a aligné la même somme pour le monde. Députés de Ndakaaru comme de l’intérieur du pays. Aucun calcul n’a été fait pour savoir qui, plus que l’autre, a besoin de ces billes. Harmonisé daal ! Conséquence, on a comme l’impression qu’il s’agit là d’un véritable « pathio ». Et ça tombe très mal puisque avec la galère nationale qui s’est installée au Sénégal, il y a de quoi piquer sa petite crise d’hystérie.
SudQuotidien : Vendredi 21 Nov 2008
La Ca 2007 dépose un mémorandum sur le bureau de Wade
Les leaders de l’opposition réunis au sein de la Coalition alternative 2007 (2007) envisagent de rédiger un mémorandum dès la semaine prochaine pour « informer l’opinion, le gouvernement, la société civile, la Cena, des imperfections constatées dans le fichier électoral ». La Ca 2007 qui a tenu un point de presse hier, a dénoncé les transferts d’électeurs dans le cadre de la révision des listes électorales.
La Conférence des leaders de la Coalition alternative 2007 (Ca 2007) ont révélé hier, lors d’un point de presse tenu dans les locaux de l’Alliance des forces de progrès (Afp) de Moustapha Niasse, « qu’un mémorandum sera rendu public dans la semaine prochaine pour informer l’opinion, le gouvernement, la société civile, la Cena, des imperfections constatées dans le fichier électoral ». Elle est revenu sur les transferts d’électeurs dans les localités de Keur Madiabel et de Nioro et assimile de tels actes à du « gangstérisme qui ne saurait être accepté »,selon les mots de Massène Niang, porte-parole de la Ca 2007.
Par ailleurs, la visite, mardi dernier, du président de la République, Me Abdoulaye Wade, dans la banlieue dakaroise, a retenu l’attention des leaders de la Ca 2007. Pour ces responsables de l’opposition dite significative, le Chef de l’Etat n’avait une seule idée derrière la tête : tromper les jeunes de la banlieue. Et selon eux, le moment choisi est loin d’être fortuit.
Le Président Wade dont la cote de popularité, de l’avis des leaders de l’opposition, a sensiblement baissé, avait comme préoccupation, en se rendant en banlieue, de se refaire une image. Il s’agit, selon Massène Niang, pour Me Wade de « récupérer la banlieue pour redorer son blason après les huées, les défections au sein de son parti, la manifestation des jeunes contre les délestages, le ras-le-bol général qui sévit dans la banlieue ». Ils soutiennent que l’intention inavouée du président de la République est de « contrecarrer les consultations citoyennes qui ont réussi à Dakar », mais aussi et surtout de préparer la voie à son fils Karim Wade qui aurait, selon les rumeurs, l’ambition de présider aux destinées du pays.
Les leaders de l’opposition réunis au sein de la Ca 2007 se demande pourquoi Me Abdoulaye Wade a attendu tout ce temps pour subitement se préoccuper de la situation des jeunes de la banlieue qui peinent toujours à trouver un emploi décent. C’est pourquoi ils soupçonnent Me Wade de « calculs politiciens » avec les prochaines élections locales qui pointent – si elles ne sont pas reportées en novembre 2009 – à l’horizon. Une sorte de clin d’œil, selon eux, à l’électorat de la banlieue.
La Conférence des leaders de la Ca 2007 en tire la conclusion que les Très grands projets (TGP) de Me Wade ne sont « qu’illusions et chimères qui ne sauraient prospérer », comme l’affirme Massène Niang. Et depuis huit ans, relèvent les camarades de Moustapha Niasse et de Amath Dansokho, le Président Wade n’a esquissé aucune solution aux problèmes des jeunes. Ce qui constitue la preuve, de l’avis de la Ca 2007, d’une mauvaise politique de jeunesse déroulée par les différents gouvernements du régime de Me Abdoulaye Wade.
Auteur: Bacary Domingo MANE