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Preuves de cécité et de surdité !

 
 
 
Laye « augmentation »  
Wade, le baril du pétrole est aujourd’hui à 35 dollars. Et pourtant, il ya quelques mois, il se négociait à 150 dollars ; et tous les prix avaient flambé. Le riz s’achetait à 500 f Cfa le kilo, l’essence à 800 F le litre, l’huile à 1000F, le kilowatt de l’électricité, quintuplé…Et pour toute explication, vos ouailles avaient convoqué la cherté du pétrole au niveau mondial. Aujourd’hui que le prix du pétrole a drastiquement baissé, Laye « augmentation », vous avez rayé ce verbe de votre mémoire. A quand une vie décente pour ce peuple courageux ? C’est demain que vous allez comprendre, comme disent les rappeurs… 
( Mor Todjangué )  
 
 
Sénélec : L’homme qui est à la hauteur des dérives et auteur des abus de la Sénélec.  
(Identification, portrait, empreintes) 
Il suffit d’une lecture introspective du limogeage du Directeur Général de la Sénélec pour justement inscrire en lettres rouges le nom de l’actuel ministre Samuel Sarr, comme l’auteur impuni de toute la colère des Imans de Guédiéwaye.  
Lat Soucabé Fall, qu’un journal de la place a décrit comme le meilleur Directeur de la Sénélec et « bouc-émi-Sarr »,  a payé de sa complicité le gout amère des juteux fruits d’un mauvais compagnonnage tissé sur le faux des engagements pris par Samuel Sarr. Les jeunes de la banlieue, dans une lettre ouverte adressée au Président de la République, qualifient, preuve justificative en annexe, Samuel Sarr, comme le plus piètre manager siégeant au conseil des ministres. Aux dires des observateurs, analystes avertis, des conclusions des experts en audit et du constat du peuple en manque d’énergie : ce ministre toujours en fonction a saccagé la Sénélec, sans vergogne ni dignité ou éthique managériale un bien public à son propre profit et celui de ses subordonnés, complices au premier rang. 
Ces jeunes du Sénégal, sous le Sigle de Front National de Riposte contre les Dérives et Abus de la Sénégal (FNRCDAS), documents de preuve à l’appui, ont distribué partout par ailleurs au Sénégal et essaimé via internet et SMS , les errements, fautes, manquements, extravagances, incorrections, fredaines, leurres, non-sens, sophismes, fourvoiements, aveuglements, aberrations, hérésies, paralogismes, anachronismes, détournements, mirages, balancements, tâtonnements dans la gestion de Samuel Sarr, en tant que Directeur Général de la Sénélec. 
Lat Soucabé Fall, connu par sa réserve, son sérieux à la tâche, sa courtoisie et son franc parler, est réputé dans ses atouts d’ingénieur en électricité par formation académique, très brillant dans son domaine de compétence à la suite d’un long parcours universitaire en France; il connait la Sénélec comme sa poche, pour y avoir passé toute sa carrière plus de vingt ans durant. Il a gravi les échelons des postes de direction dont seule sa compétence et les valeurs d’Hommes sublimes et non sublimés qu’il incarne avec modestie justifiaient au-delà de toutes autres considérations incongrues autre que le mérite professionnel, a été immolé par son compagnon aux heures de la Sénélec. 
Samuel Sarr est décrit comme un sombre et ténébreux personnage, venu on ne sait d’où, autre sous l’angle des courtiers informels sans référence de bas étage en toutes affaires nébuleuses. Son parcours politique sans base électorale, ni attache sociale auprès du Président Wade, marque ce profil caractérisant de l’homme en question. Les recherches effectuées par les jeunes du FNRCDAS en vue de mieux l’appréhender sur la dimension de ses dérives et abus et agissements prouvent que Samuel Sarr est non titulaire d’aucun parchemin de référence en matière d’ingénierie électrique, pas plus d’un parchemin en Sciences managériales de la plus non prestigieuse université de la planète. Pour cacher cette vérité troublante au vu des fonctions exercées qui a fini de se savoir, Samuel Sarr en poste de Directeur de la Sénélec s’est endossé sur le savoir faire principalement de Lat Soucabé, bénéficiant de son attachement et utilisant son appui le plus absolu pour les questions de tout ordre, techniques liés au management de la Sénélec sans oublier le concours des autres cadres au besoin. Il tenait aussi à pavoiser malgré son handicap de médiocre dans l’exercice de la fonction de Directeur. C’est ce qui explique son élan de populiste au détriment des attentes des abonnés. 
En effet, Samuel Sarr a atterri par parachute au poste de Directeur Général de la Sénélec, non pas par concours de circonstance, non plus à la suite d’une qualification mais par une complicité teintée de réprébendes et d’accords douteux avec M. Madické Niang son ami, alors ministre de l’énergie et confident du Président Wade. Il a fallu le courage du Premier ministre d’alors Macky Sall, au constat des dérives et abus de la Sénélec de mettre fin aux dégâts collatéraux causés par le populisme de Samuel Sarr, reflet de son incompétence, pour le poussant à la sortie. La presse a rendu compte de la sortie de Samuel Sarr dont des propos acerbes contre Macky Sall qu’il a qualifié de tous les mauvais noms d’oiseau, sans respect de la hiérarchie de Premier ministre et de la République. En tout cas, il défraie la chronique en tant que ministre de l’énergie. C’est sans nul doute, cette immunité dont le peuple du Sénégal sera édifié dans un futur rapproché, dont l’auteur comptable des dérives et abus de la Sénélec, à présent ministre de l’énergie, s’est adossé pour faire porter le fardeau des cris du peuple meurtri par la surfacturation et les délestages et coupures intempestives pour immoler un brillant cadre de la Sénélec Lat Soucabé Fall. Ce dernier a commis la grosse faute d’être le plus proche de Samuel Sarr dans sa gestion opaque à la Sénélec, qui à date pointe du doigt les résultants de la mal gouvernance. Les jeunes de la banlieue sont déterminés pour que lumière soit apportée à la gestion de Samuel Sarr. Les projets annoncés comme mesure d’accompagnement de leurs frustrations édifient leur détermination pour que les poches des milliards de francs évaporés sous Samuel Sarr soient clairement identifiées, au mieux remboursées. C’est une voie citoyenne d’éclairer le peuple délesté dans sa frange la plus vulnérable. En effet, Samuel Sarr, connaissant ses limites et tares managériales sans commune mesure, mais disposé à saccager à son propre intérêt l’argent de la Sénélec, a joué sur la complicité honteuse des cadres. Il leur faisait bénéficier d’avantages hors norme et sans respect d’aucune procédure interne de gestion. Tout était bien énoncé, sous son injonction « Taisez vous, je mange d’abord, je fais manger mes parrains, je vous donne à manger plus que votre mérite professionnel, et pas de bruits à l’intérieur de la Sénélec ».  
Tel était le « doigté ou sceau managérial » de Samuel Sarr, forme honteuse de corruption. Cet homme est à la hauteur des dérives et auteur des abus de la Sénélec. 
Les résultats sont là, les faits le prouvent : 77 milliards de déficit de trésorerie, 121 milliards d’engagements, des équipements à utilité douteuse commandés pour des dizaines de milliards de francs, des véhicules en veux-tu aux cadres, des marchés douteux, et au gaspillage éhonté en plus du management populiste au prés des secrétaires. Des faits aux antipodes de la bonne gouvernance. Tel est le profil du ministre de l’énergie qui continue de bénéficier non pas de la confiance des autorités mais de l’impunité.  Aux dires d’un journaliste de la place ayant publié ces statistiques de fraude de gestion «  si un audit de la Sénélec était effectué des choses gravissimes seraient découvertes dans la gestion de Samuel Sarr. » Il ne faut point croire à des effets bénéfiques de ce changement de pion jouant le rôle de Directeur par intérim de la Sénélec, c’est toujours sous la dictée de contrôle du douteux ministre, qui au nom fictif d’un conseil d’administration dépourvu de valeur que se passa la succession, un serviteur de Samuel Sarr est nommé directeur par intérim de la Sénélec pour berner le peuple. Au juste le conseil d’administration de la Sénélec est composé des bénis« oui-oui » qui ont démontré leur preuve d’inefficacité au même titre que les députés chargés d’amenuiser la colère des Imams. Pour qui est intéressé aux noms des hommes agrippés aux avantages du poste de conseil d’administration y figurent tous les « grands » cadres de la Sénélec : le Directeur Général, le Directeur Général Adjoint , le Directeur du Transport, le Directeur de l'Equipement, le Directeur des Etudes Générales, le Directeur des Ressources Humaines, le Directeur de l'Administration, du Patrimoine et des Affaires Juridiques, le Directeur Commercial et de la Clientèle, le Directeur de l'Audit et du  Contrôle de Gestion, le Directeur des Finances et de  la Comptabilité, le Directeur de la Distribution, le Directeur de la Communication, le Directeur de la Production, le Directeur du Contrôle Général. Cette liste de personnes de la Sénélec, ont toujours avalisé et soutenu sans broncher la mal gouvernance de Samuel Sarr. Il s’y ajoute dans cette liste de parvenus et dans le même sillage, le conseiller technique du Ministre de l’énergie, la Directrice de cabinet du même ministre, puis quelques fonctionnaires du ministre de l’économie. Toute cette catégorie de personnes affamées est aux basques de Samuel Sarr, pas une seule fois ils se sont élevés contre les dérives et abus de la Sénélec dans le souci d’être de dignes membres. Il suffit tout bonnement de visiter la composition dudit conseil et comité de direction à partir du site de la Sénélec en manque d’énergie pour se convaincre que ces personnes doivent des comptes au peuple au même titre que Samuel Sarr: L’homme qui est à la hauteur des dérives et auteur des abus de la Sénélec. 
 
Médoune Gueye 
Professeur de Management, Dakar-FANN 
Email : medou24@yahoo.fr 
Une Partie qui finit mal  
Amadou Gueye NGOM Lundi 22 Déc 2008  
-Nouvelle- 
Si les vices prennent racine dans le cœur, ils deviennent maîtres de l'individu lorsqu’ils bourgeonnent dans l'esprit; la raison accepte l'agression et parfois s'en fait le complice en se donnant bonne conscience par toutes sortes d’arguties et autant de ruses avec l’en soi. C'est donc sagesse d'admettre avec les sages traditions de l'Islam, que les jeux de hasard sont invention de 'Seytaane, le démon qui, comme chacun sait, s'évertue du soir au matin à détourner et pervertir les honnêtes gens. Il n'est guère possible, en effet, d'entamer la moindre partie de cartes, de dames ou « yoote », sa varianre locale, sans que Seytaane y mette la main. On assiste alors à des empoignades furieuses, des échanges de mots amers, de coups de poings rageurs, si ce n’est de bâton. Heureux que les dagues ne sortent pas des fourreaux. Même lorsqu'il ne se passe rien de fâcheux, on n'est plus « soi. « Sago »-conscience ou sago-sens de la mesure est au point accaparé par le démon du jeu qu’on en oublie devoirs et obligations. Le Muezzin peut appeler, rappeler, le joueur ne saurait l'entendre. Et le soir, accablé de remords, après avoir expédié toutes les prières dont il n'a pu s'acquitter en leur temps, il se promet de ne plus négliger le bon Dieu. Hélas, la lumière du jour, chevauchant les dernières ombres de la nuit, piétine les belles résolutions de la veille. Sadiouka a connu ces tourments, s'est tenu ces promesses si souvent qu'il a fini par prendre son parti d'être vaincu; il est devenu le joueur le plus acharné du quartier. Un réel plaisir que d'assister à ses étourdissantes parties de damier qu'il mène presque toujours à son avantage. On ne trouve plus d'adversaire à sa taille. Le seul qui lui résiste parfois, c'est Dramé quoique jamais bien longtemps. 
Dramé, la revanche sous les dents et sans cesse remâchée, l'a encore sollicité aujourd'hui:  
- Je te promets ta première défaite, aujourd’hui, annonce-t-il à Sadiouka, tout de go, en assénant son premier pion de jeu sur le damier. Tak ! 
- « Ku yéy yaxi Bukki. yéy yaxi yéykat… » Tik ! ( le plaisir de croquer la carcasse de Bouki, l'hyène, n'empêche pas de lui reconnaître sa réputation de mâchoire redoutable ), rétorque Sadiouka en faisant vibrer la planche.  
- Que dis-tu de celle-ci ? riposte Dramé en fauchant deux pions…Tak ! Tak ! 
- «Suusalub kaani, lako tay mëxu ko… » (brasser, étuver le piment est chose facile; dégusteras-tu ?) Tip !  
- « Tibbub borom xejna ci gemeñam » (la main n’est jamais trop grosse pour la bouche de l’affamé. 
- « Bët du yenu waaye xam na lu bopp attan » (l’œil ne porte point de charge mais sait ce que la tète peut supporter.)Tak !  
-Teepp teepp moy indi xuus (le goutte à goutte d'une pluie peut faire patauger) Tip ! 
-« Xuus bu sore moy indi ngiro (à patauger trop avant, on risque de perdre pied)Tap ! Tap !  
La partie se poursuit ponctuée de propos cocasses, et savoureux. Les pions devenant de plus en plus rares, l'attention se fait plus tendue, la parole plus rare. Chacun réfléchit au moyen d'asséner le coup final. Des sillons de sueur creusent les fronts; la respiration semble ponctuer le martèlement rageur des pions sur le damier. 
-. A toi de jouer « Cuuné » (minable), lance Sadiouka, en guise de provocation… 
Dramé, le doigt sur un pion, cherche vainement une percée. De guerre lasse il joue au hasard. Sadiouka a la main plus heureuse.  
- Je te l'ai dit et redit « Cuune : « gone mo may dëkk, mag-a may daan » ( l’innocence me défie, c'est l'expérience qui me terrasse.) -Vous l’apprendrez toujours à vos dépens toi et tes pareils. 
- « Xeeb nga xal ca dagga (tu as méprisé la petite braise aux abords des greniers). Voilà ce qu'il t'en coûte, lance triomphalement Dramé. Tik ! Couronne cette dame à présent… Sadiouka, abasourdi, ne s’attendait pas a un tel coup et se sentit aussi penaud qu'un lion mordu par un chacal. Il faut détrôner cette dame sans tarder; il supputa ses chances…- « Voyons : à droite y a bien un passage... Mais gare au nœud. ! Et si j'attaquais de front? "Je pourrais faire d'un pion trois coups, peut-être quatre; mais, je laisse deux morts sur le terrain... 
Tout à ses pensées, Sadiouka ne vit ni n'entendit son fils suant et soufflant qui criait… 
- Père... Père, la case de Grand-mère brûle... Sûrement une braise qui restait au foyer... Père ! M’entends-tu ? 
- Tiens, comme par hasard, tu as négligé la petite braise... Fit remarquer Dramé. 
Sadiouka qui commençait à voir clair dans le jeu soupira d’aise en reprenant: 
- La petite braise... A-han la pe-ti-te brai-se ? Psst ! Je crache dessus… Et Sadiouka de « manger» la dame avec deux de ses soupirants. 
Père! implorait le fils, la case de Grand-mère brûle...Viens vite ! 
-Eh bien, Dramé, où est ta petite braise '? Elle brûle des cases maintenant ? 
Sadiouka franchissant un triple rempart de rions installait rageusement une Dame en ricanant. 
- Père, le feu en a fini avec la case de Grand-mère. Les autres cases prennent feu. 
L'homme était définitivement entre les mains du démon. Le jeu lui apparaissait aussi clair que le nez au milieu du visage. Il exultait à l'issue de la partie. Les yeux rivés sur les doigts de Dramé, épiant la toute petite maladresse que celui-ci ne tarderait pas à commettre pour sa perte. L'œil en feu, le corps frissonnant d'une secrète volupté, il attendait... Deux bras vigoureux le soulevèrent brusquement. C'était son voisin qui, après avoir longtemps et vainement essayé de venir à bout de l'incendie. Craignait pour son propre toit. 
- Débout, misérable, ta maison brûle ! 
- Han ! Cette farce… 
Sadiouka arriva bientôt sur les lieux du sinistre. Les enfants se serraient contre leurs mamans en pleurant. Seuls un mortier et quelques calebasses avaient pu être sauvés. Dans sa main, Sadiouka tenait encore le pion de la victoire…il considéra longtemps ce petit rond de bois si insignifiant et fondit en larmes, tandis que le feu achevait tranquillement son œuvre. 
Amadou Gueye Ngom 
Critique social 
amgueyengo@aol.com 
 
SudQuotidien : Lundi 22 Déc 2008 
COMMENTAIRE DU JOUR : Pour la République laïque  
Que l’on soit croyant, agnostique ou athée ; quelles que soient nos opinions politiques ; nos convictions religieuses, nos fois intimes, nous sommes tous concernés ! Dans notre République et notre société multiculturelle, la diversité est notre richesse. Elle ne saurait être source de conflit. La laïcité, assurant l’égalité en droit des citoyens dans le respect des lois de la République, permet à la fois l’expression du pluralisme des convictions et la recherche de valeurs communes pour construire une communauté de destin. Ce creuset de notre commun vouloir de vivre en commun. 
A l’heure où nos concitoyens éprouvent des difficultés et des inquiétudes croissantes du fait de l’incurie et du « matey (je m’en fous » inconsidéré des tenants du pouvoir ; où ils semblent observer, dépités, la démission des « défenseurs » naturels de leurs causes que sont ou doivent être les partis politiques occupés aujourd’hui à s’asseoir pour discuter du comment et du pourquoi ils se regroupent et s’allient, les associations de consuméristes ici dans le cas qui nous préoccupe en premier, les syndicalistes etc., la promotion de la laïcité comme une exigence partagée avec la ferme volonté de bâtir ensemble une société où la justice sociale assurera, quotidiennement, pour toutes et pour tous, est questionnée. D’autant plus que tous ces « encadreurs légaux » du mécontentement populaire ainsi que de ses intérêts matériels et moraux ont déserté la Cause au risque de mettre la République en danger. Ils ont ouvert par leur attitude « a-républicaine » des brèches béantes où se sont engouffrés,-la nature ayant horreur du vide,- les nouveaux « talibans ». Ces messies enturbannés, qui auront tôt, fait de légiférer sur notre manière de nous adresser à notre Seigneur et maître et sur nos libertés en nous contraignant de ne voir le monde que sous le prisme « tamisé » de leur perception. 
Or donc, dans un monde global et de plus en plus complexe, où se multiplient les voies d’accès à l’information et aux connaissances, et où explose la médiatisation des événements et de la pluralité des représentations du monde, seule la laïcité affranchit tout en favorisant le libre accès au savoir et à la culture et le discernement de chacun pour un libre choix de vie. Cela par une démarche rationnelle et critique faisant toute la place au doute, à la remise en cause des certitudes antérieures, à l’imagination et à la créativité. 
On le voit donc, on n’a tôt et à tort, de notre point de vue, applaudi à « l’incitation à la désobéissance » civile même si c’était pour la bonne cause qu’ont paru prôner les Imams de Guédiaway. On ne dissertera point ici, de la place et de leur rôle dans notre société. Ce qui est en cause n’est pas leurs prêches ou leur engagement auprès des populations démunies et agressées par des factures « doublement » salées, voire « irrationnellement » exagérées de la Senelec. Ce qui est en jeu c’est plutôt la remise en cause des fondements de la République laïque que leurs « actions-engagements » induisent forcément. Il y a trop d’exemple de par le monde pour ne pas tirer sur la sonnette d’alarme. Il est vrai que c’est au cœur de l’Etat et à son sommet où l’on a recruté depuis 2000 le plus, ceux et celles qui mettent quotidiennement en danger la République et son fondement laïc. 
Les imams de Guédiaway avaient beau jeu d’interrompre leurs discussions au ministère de l’Energie pour aller s’adresser à leur Créateur. Nul ne saurait leur en tenir grief quand c’est le président de la République lui-même qui se met « dans les sappés (rangs pour la prière) » derrière son marabout au Palais de la République devant l’œil goguenard des caméras. 
Par ailleurs et maintenant qu’il est connu que l’aisance « financière » dont jouissait notre pays de 2000 à 2005, grâce à une conjoncture favorable, à aussi des annulations de dettes de l’initiative Ppte (pays pauvres très endettés) est passée de mode, il est impérieux de revenir à l’échelle de notre économie réelle. Il faudrait bien que l’Etat central, ses démembrements, les institutions ainsi que les collectivités locales sachent que les dépenses devraient s’amoindrir et se rationaliser. 
Le passage avant-hier du dossier sénégalais à Washington n’a pas été sans douleur. Loin s’en faut. Les blâmes à l’encontre de notre gouvernance budgétaire et économique s’amoncellent. Ils ne semblent pour autant amollir notre boulimie de dépenses… ment budgétaire, dépenses en dehors de toutes lignes budgétaires existantes plutôt. Les partenaires au développement se lassent de verser dans ce qui apparaît comme un gouffre sans fond, des fonds dont les populations ne voient jamais la couleur. 
La culture des dépenses, parfois non obligatoires doit cependant changer et tenir compte de la rareté de l’argent des donateurs qui calculent aujourd’hui au centime près, leurs aides. Aujourd’hui que les deux Abdoulaye (Diop et Sow) du ministère de l’Economie et des finances ont (re)trouvé soutien auprès des bailleurs et qu’ils vont « conforter » la promesse présidentielle de payer sa dette intérieure, l’Etat devra néanmoins, gérer au mieux la politique de transfert financier aux agences, sociétés et autres démembrements qui se multiplient et aux collectivités locales. Ne faut-il simplement pas revenir à l’Etat de droit. Ce système dans lequel la puissance publique est soumise au droit. Un Etat dans lequel les normes juridiques sont hiérarchisées de telle sorte que sa puissance s’en trouve limitée. Dans un tel modèle qui fonde pourtant la République, chaque règle tire sa validité de sa conformité aux règles supérieures. 
Auteur: Madior FALL  
SudQuotidien: Lundi 22 Déc 2008 
Après huit années d’Alternance… quelle cynique déception !  
Mon peuple mène une existence d’errance dans son propre pays depuis qu’une certaine alternance a décidé de l’appauvrir à outrance pour mieux le manipuler. Nous l’avions dit il y’a trois ans, les grands dictateurs le savent bien, pour mieux avoir leurs concitoyens sous leur contrôle, ils les appauvrissent sans pitié. Toutefois, il arrive qu’ils récoltent de façon inattendue le revers de la médaille. 
 
 
Moussa Traoré et Bokassa l’ont su à leurs dépends. Ici, Wade continue, avec ses affidés, de manipuler nos deniers publics comme bon lui semble et de nourrir les moins avertis de promesses rocambolesques sans lendemain du genre REVA, GOANA, Tramways, TGV, Central Nucléaire, etc. Sa chute lui paraît plus lointaine que les étoiles du ciel. Il est le seul joueur à taper sur le ballon. Tout le reste joue sur la touche comme de piètres figurants. Le peuple, ahuri et dépité, observait le spectacle en le commentant dans les salons, autour de la tasse de thé, au marché, dans les bureaux et bus… mais depuis quelques temps, il semble prêt à siffler la fin du match. 
Au moment de l’état de grâce, tout au début de l’Alternance, nos lions, nous faisant rêver, de retour d’une campagne joyeuse au Japon, avaient regroupé à l’aéroport Léopold Sédar Senghor une frange importante du peuple sénégalais. Une autorité qui analysait la liesse populaire de l’époque disait un propos qui nous est resté encore à l’esprit : « Prions le Seigneur pour qu’une telle foule ne sorte dans les rues de Dakar que pour manifester de la joie, autrement, ce sera la catastrophe. » Nous espérons qu’elle entretient actuellement ses partisans sur la gravité d’une telle probabilité. 
Nous avons vécu la révolte inattendue des marchands ambulants un après midi très chaud à Dakar. Les airs guerriers du ministre de l’intérieur de l’époque n’y pouvaient rien. L’Etat avait fini par reculer. Ces jeunes qui refusent de jouer aux gardes du corps de circonstance pour un petit déjeuner décent, qui refusent de servir de bras armés à des parvenus arrivés à des stations au sommet de l’Etat par inadvertance, et qui veulent prendre, loin des pirogues de la mort, leur part du Soleil, ont fini par avoir gain de cause. Ils ne sont pas des voleurs de deniers publics. Ils ne sont pas des agresseurs. Ils ne sont pas guidés par une volonté de troubler l’ordre public. Ils ne vivent pas des déchets du mensonge et de l’absence de vergogne. Ils sont des patriotes qui veulent simplement travailler, vivre de leur sueur, aider leur famille un tant soit peu. Nous avons vécu la révolte des femmes de la Cité Keur Damel parce que l’eau y faisait défaut. Les populations de la banlieue se sont dressées un jour pour exiger de l’électricité. D’autres associations consuméristes ont marché pour réclamer la réduction des prix des denrées de première nécessité. Les marches de syndicalistes, d’élèves, d’étudiants, de paysans, de journalistes et les grèves de la faim se sont multipliées. Pire… sous ce régime, les suicides par le feu pour exprimer un ras-le-bol extrême, ont visité notre pays. Aujourd’hui, c’est au tour des agriculteurs du bassin arachidier de refuser de vendre leur récolte car le prix fixé par l’Etat est en deçà du raisonnable, des Imams acceptent de porter le combat des populations contre l’inacceptable avec la double facturation de la SENECLEC. Ils s’organisent pour ne plus déléguer leur refus à autrui. 
C’est à saluer : « On est jamais mieux servi que par soi… ». Cependant, l’appétit vient en mangeant ; si ce mouvement de « désobéissance civile » arrive à des résultats satisfaisants pour le peuple, ce que nous souhaitons du fond du cœur, demain, soyons prêts à prendre en compte l’opinion de ses leaders dans d’autres domaines de la vie de la nation ; que personne ne vienne nous abreuver d’idée stéréotypée sur le rôle du religieux. Ce sont des citoyens comme tous les autres citoyens, qui subissent les affres de la déche populaire généralisée qui secoue notre pays. 
A ces Imams, nous leurs donnons ce conseil : qu’ils évitent demain de tomber dans le piège des porteurs de valises qui rôdent la nuit comme des chiens errants et celui de la peur car ils sont, à l’instar de la presse libre, l’un des derniers remparts sur lesquels compte ce peuple pour pousser l’Etat à être moins arrogant vis-à-vis de sa gestion du pays. Qu’ils refusent d’être mis-en mal avec les populations, s’ils se laissent démystifier, s’ils déçoivent les populations, ce sera la porte ouverte à toute sorte d’excès. Là où la majeure partie des hommes politiques et des intellectuels a échoué, ces Imams peuvent réussir car ils ont leurs médiums aussi puissants que les tribunes de presse ; aussi puissants que la voix des chefferies religieuses devenue aphone : leur serment du vendredi pour parler de l’actualité conformément aux enseignements du prophète. Ils ont leur foi qui n’est pas, nous l’espérons, une foi mercantile comme celle de la majorité des hommes politiques car leur seul maître doit rester Dieu. 
Nous demandons aux leaders de parti de faire la lecture adéquate de ce mouvement populaire pour la survie des plus faibles. Qu’ils suivent l’exemple de Talla SYLLA en allant vers ces Imams et les soutiennent. Les autres membres de la société civile idem. L’heure est grave. Nous croyions qu’avec le dépassement budgétaire non autorisé de plus de cent milliards de ces derniers temps, l’Etat allait faire son introspection mais que nenni… la bamboula continue malgré la banqueroute qui emporte petit à petit sans pitié les sociétés privées, privées de leur du, une dette intérieure de plusieurs dizaines de milliards. 
Nous croyions qu’après l’affaire Kambel, Kara, l’As et 24h Chrono, l’Etat allait donner des signes forts de lutte contre l’impunité mais que nenni, Farba et tant d’autres circulent librement alors que des hommes de mains croupissent en prison. Nous croyions qu’avec la honte née des innombrables lois antirépublicaines votées par l’hémicycle à l’image de la loi Ezzan amnistiant des criminels de sang, l’Etat allait se ressaisir ; il nous a donné le coup de grâce avec la tragédie de la loi Sada NDIAYE débarquant de façon monarchique le président de l’Assemblée Nationale Macky SALL. 
Et que dire de ces deux poids deux mesures constatés dans les audits des services publics si l’ont sait que les milliards du pays investis dans les travaux de l’Anoci demeurent jusqu’ici une grande nébuleuse ? Et quid de la suite à accorder aux multiples scandales financiers à coups de milliards soulevés par la presse et par des patriotes comme Abdou Latif Coulibaly et Jacques Habib SY ? Hélas ! 
Quand un capitaine est maladroit, son navire le ressent. Aujourd’hui, seul le patriotisme et l’esprit républicain du peuple peuvent empêcher le naufrage du navire Sénégal avant qu’il ne soit trop tard ! Encore une fois, « On ne participe pas à la chasse à l’éléphant en se contentant de regarder passer son cadavre devant sa case. » 
Tafsir Ndické DIEYE 
E-mail :ndickedieye@yahoo.fr 
WALFADJRI: 
Attaques tout azimut contre Me WADE : Mettre fin au mutisme ‘assourdissant’ de l’entourage présidentiel  
 
 
Depuis un certain temps, les internautes découvrent avec délectation les chroniques de Souleymane Jules Diop, journaliste et analyste politique. Le même son de cloche est entendu de la part de Talla Sylla (ancien compagnon de lutte de l’opposant Abdoulaye Wade pendant les années de braise 1988-1993) proférant des propos incendiaires à l’encontre du Secrétaire général national du Pds devenu président de la République depuis la date historique du 19 mars 2000. Qu’on nous comprenne bien. Nos propos ne sauraient dénier à l’un ou à l’autre, la liberté d’analyse et de ton d’autant plus que les deux auteurs inscrivent leurs déclarations et leurs écrits dans une posture d’opposant au régime libéral. La libre expression n’est-elle d’ailleurs pas reconnue par notre Constitution ?  
En effet, monsieur Souleymane Jules Diop est en passe de fidéliser une bonne frange de l’opinion en diffusant régulièrement sa chronique consacrée exclusivement aux actes quotidiens posés, par le président Wade, sa famille et par extension le camp présidentiel. Mais curieusement, face à ces deux détracteurs invétérés, c’est motus et bouche cousue de la part de ceux et celles qui devraient logiquement constituer un bouclier pour M° Wade, Compte tenu de leur position privilégiée, de leur cursus politique et surtout de leur capacité jadis reconnue comme de redoutables polémistes ou débatteurs. Jadis dans l’opposition, ils s’étaient donc distingués dans la défense résolue de Me Abdoulaye Wade en pourfendant sans relâche Abdou Diouf. Ces forts en thème auraient-ils subitement perdu leur talent de défenseurs hors pair ? Pour l’histoire, rappelons les joutes épiques ayant opposé en 1993, Ousmane Ngom (Pds), Djibo Kâ (Ps), Abdou Fall (Plp) et Iba Der Thiam (Cdp). Tous se retrouvent présentement dans le camp présidentiel et occupent des fonctions hautement significatives au sein du gouvernement (ministres d’Etat) ou dans le bureau du Parlement.  
Dans l’espace présidentiel et gouvernemental  
Là, on relève la présence d’hommes issus du Pds originel, placés à des stations hautement stratégiques et de proximité présidentielle. Il faut citer notamment Me Ousmane Ngom qui fut porte-parole du Secrétaire général national du Pds alors dans l’opposition, Babacar Gaye, actuel directeur de cabinet politique, Souleymane Ndéné Ndiaye ancien porte-parole du Pds et ancien directeur de cabinet, Me Amadou Sall aujourd’hui porte-parole du président de la République sans oublier le ministre d’Etat Habib Sy, Mbaye Diack, secrétaire général adjoint de la présidence de la République, Landing Savané, ministre d’Etat. De plus, des leaders de partis politiques siégeant dans le gouvernement, notamment Djibo Kâ (ministre d’Etat), les ministres Abdourahim Agne, Bacar Dia, Abdou Aziz Sow en charge de l’Information et porte-parole du gouvernement dont le talent de débatteurs est connu de tous. On se demanderait s’ils n’auraient pas subitement perdu le verbe et la verve ?  
Dans l’espace parlementaire  
A l’Assemblée nationale siégent Modou Diagne Fada ancien porte-parole du Pds, Abdou Fall également ancien porte-parole du Pds, Iba Der Thiam premier vice-président de l’Assemblée nationale, Doudou Wade président du groupe libéral, Mouhamadou Bamba Ndiaye, ainsi que les ralliés de la 25è heure tels que Me Abdoulaye Babou l’ex porte-voix de Moustapha Niasse devenu néo libéral et qui fut bombardé ministre de la République avant d’échouer à l’hémicycle de même que Assane Diagne, lui aussi fort en thème, ex responsable Ps à Bambey qui n’aura fait qu’un petit tour au gouvernement.  
Les hommes de média  
Cette catégorie est suffisamment et qualitativement bien représentée avec les hommes de métier socialistes qui se sont ralliés à savoir : Bara Diouf ancien Pdg du quotidien Le Soleil, Sokhna Dieng, ex-Dg de la Télévision nationale, Ahmed Bachir Kounta, un ancien de Radio Sénégal, tous trois siégeant présentement au Sénat, Alioune Dramé, ancien directeur général du quotidien Le Soleil (Ps-Afp et enfin Pds) assume présentement les fonctions de directeurs des services du Protocole de l’Assemblée nationale. Ce quartor fut le bouclier du régime socialiste face à l’opposant Wade. Il ne ratait aucune occasion pour tourner en dérision le Secrétaire général national du Pds. L’on a en mémoire les piques adressées à Me Wade par Bara Diouf à travers ses redoutables éditoriaux. Chacun dans son domaine de compétence ne se privait de rien pour brocarder Me Wade. Malheureusement on ne retrouve plus la détermination, la fougue et la hargne qui les caractérisaient maintenant que Me Wade leur ancienne cible préférée devenu président de la République les a placés dans des situations privilégiées que leurs précédents mentors ne leur avaient jamais offertes. Mme Sokhna Dieng passe à côté de la plaque en s’attaquant à l’ambassadeur de France Me Ruffin alors qu’elle aurait fait mieux de porter la réplique à son cadet de journaliste Souleymane Jules Diop. Madior Sylla ancien présentateur de la Télévision nationale et Cheikh Diallo qui fut stagiaire au Soleil exercent tous deux à l’Anoci  
La cellule de communication présidentielle  
Cette structure est dirigée par M. Hassan Bâ, un vrai inconnu dans la profession de la communication et de la presse. Il s’est entouré de jeunots inexpérimentés et à sa solde laissant en rade d’autres professionnels émérites que tous les anciens compagnons de Maître Wade connaissent et reconnaissent tant ils auront accompagné le leader du Pds, dans sa longue et dure marche vers le sommet.  
En ce qui concerne les propos incendiaires de Talla Sylla, Ousmane Ngom et Djibo Kâ devraient pouvoir répliquer car Me Ngom était, au moment des faits, un très proche collaborateur de Me Wade, son porte-parole et Djibo Kâ avait remplacé au ministère de l’Intérieur, M. Madieng Khary Dieng au lendemain de l’assassinat de Me Babacar Sèye. Tous ces hommes ainsi énumérés ont l’obligation d’apporter la réplique adéquate à Souleymane Jules Diop, à Talla Sylla et à tout autre pourfendeur de Me Wade. Il ne saurait ici question d’appeler à ‘briser la plume’ à qui que ce soit ou à attenter à l’intégrité morale ou physique à tel ou tel détracteur. Il convient simplement de sonner le réveil pour ceux ou celles qui, dans le camp présidentiel, dorment profondément tout en jouissant de privilèges par la grâce de Me Abdoulaye Wade. C’est dire que ce mutisme ‘assourdissant’ qui n’a que trop duré doit cesser sinon rien ne justifierait leur maintien une minute de plus dans le camp du président Wade.  
*Fait à Dakar le 17-12-2008  
El H. Mbacké NDIAYE Ancien membre de la Coordination des cadres du Pds.  
 
 

 

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Modifié en dernier lieu le 22.12.2008
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