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BOULIMIE FONCIÈRE SOUS L’ALTERNANCE L’ex-Caomi de Liberté 6 à la trappe 
 
Article Par PAPA SOULEYMANE KANDJI,  
Paru le Vendredi 15 Fév 2008 
 
La spéculation foncière à Dakar serait-elle passée par là ? On ne sait pas trop. Toujours est-il que d’aucuns dénoncent «une stratégie pour chasser les collaborateurs du centre polyvalent de Liberté 6 (ex-Caomi), transférer probablement la structure ailleurs et partager le terrain entre de gros bonnets du régime. Dont certains, après avoir été servis sur un terrain jouxtant ledit centre, ont aussi des visées sur ce site». Très citées dans cette affaire, les autorités du ministère de la Justice n’ont pas voulu se prononcer, parce que «tenues à une certaine réserve». Nos colonnes leur sont toujours ouvertes.  
Construit pour récupérer les jeunes en rupture de ban, le centre polyvalent de Liberté 6, ex-Caomi, aiguiserait bien des appétits. La raison est d’une simplicité indiscutable : le terrain sur lequel il est construit vaut aujourd’hui de l’or. Suffisant pour que les pouvoirs publics jettent leur dévolu sur ce lopin de terre. Et, depuis lors, «bonjour les sommations et les menaces à peine voilées aux pauvres pères de famille qui y travaillent, pour certains depuis plus de vingt (20) ans, en apprenant à de jeunes délinquants un métier, histoire de les éloigner du mauvais chemin qu’ils avaient pris». C’est ainsi qu’une lettre en date du 15 mai 2007, signée par la directrice de l’Education surveillée et de la Protection sociale, Mme Bousso Diaw Fall, leur est adressée. Le motif évoqué est que «l’État envisage, dans le cadre du Bci (budget consolidé d’investissement) de 2007, de reconstruire totalement le centre». Ce qui nécessite, lit-on dans cette correspondance dont a obtenu copie, «une démolition complète de la structure».  
Parcelle vendue entre 14 et 26 millions de Fcfa  
S’agissant des travaux, «leur démarrage est prévu au mois de juillet 2007». C’est ainsi qu’il leur a été donné un délai qui expirait le 1er juillet 2007. En tout cas, nos sources se plaisent à signaler «un détail qui les intrigue» : le fait de n’avoir jamais vu la maquette du futur centre. «Dès lors, nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il y a anguille sous roche et qu’il fallait engager le combat», persistent nos interlocuteurs. Et nos sources de marteler : «On ne se laissera pas conduire aussi facilement à l’abattoir par des gens qui, en réalité, ne veulent rien d’autre que nous chasser pour morceler le terrain en parcelles». Un précédent, «le terrain de football du centre et le jardin sont devenus des résidences dont les propriétaires sont très puissants», conforte leur suspicion. Mieux, les parcelles s’y échangeraient entre quatorze (14) et vingt-six (26) millions de Fcfa. Après un moment de répit, c’est le ministère de la Justice qui leur envoie, le 28 janvier 2008, une correspondance - signée par le directeur de cabinet Birane Niang et dont nous avons aussi pu avoir copie - pour leur dire de quitter les lieux.  
Au départ était un rapport de la Cour des Comptes  
Du responsable du centre, M. Malé Djité, aux services de la Directrice de l’éducation surveillée et de la protection sociale, Mme Bousso Diaw Fall, en passant par le conseiller en communication du Garde des Sceaux, notre confrère Marcel Mendy, il nous a été impossible de trouver un interlocuteur à même de nous donner «la bonne information» dans cette affaire. Pourtant, certains recoupements nous ont permis de savoir que «c’est un rapport de la Cour des Comptes qui a attiré l’attention de l’État quant à la manière dont les prestataires, soupçonnés d’être derrière cette entreprise de délation, se sucraient sur le dos des pouvoirs publics». Mieux, ledit rapport soulignait que «les prestataires gagnaient des millions de francs Cfa sans en verser un franc dans les caisses du centre qui leur fournit gratuitement l’eau, l’électricité et le local». Alors que, toujours selon le rapport, «c’est à peine s’ils s’occupaient de la formation des jeunes qui devait être leur principale mission». Sur les «rumeurs de déguerpissement» aussi, nous avons appris qu’il n’en serait rien. Tout au plus, «il s’agit de raser tout et de reconstruire le centre, car un montant de 250 millions de Fcfa est dégagé à cet effet depuis 2007». Si retard il y a, c’est à cause de «cette résistance qui ne repose sur rien car les prestataires savent que le moment est venu de renégocier les termes du contrat qui les liait au centre». Une éventualité «qu’ils craignent et dont ils ne veulent surtout pas». S’agissant des parcelles «déjà vendues», il nous est revenu qu’elles font «partie intégrante d’un terrain appartenant à la coopérative des éducateurs spécialisés et n’a rien à avoir avec le centre». Surtout que, en résumé, «les terres appartiennent à l’État, qui peut en faire ce qu’il veut». Toutefois, une réunion a été convoquée, lundi matin, au ministère de la Justice pour «accélérer la procédure de déguerpissement» des prestataires. C’est ainsi que des sommations individuelles ont été remises, avant-hier, «à la requête de l’État du Sénégal, représenté par l’Agent Judiciaire de l’État», par le canal de l’Huissier de Justice Malick Seye Fall, à l’ensemble des chefs de sections se trouvant à l’ex-Caomi. Il leur est enjoint «de libérer les lieux dans un délai n’excédant pas 24 heures». Faute de quoi, «il (l’État) entend procéder à leur expulsion manu militari». C’est donc dire à quel point le feu couve du côté de Liberté 6.  
DIAGNOSTIC - Situation du monde rural : Jacques Faye dénonce l’imprévision 
Les problèmes qui affectent actuellement le monde rural étaient connus depuis octobre dernier au moins, affirme l’ancien directeur de l’institut sénégalais de recherche agricole, M. Jacques Faye. C’est parce que les pouvoirs publics n’ont pas pris les mesures qu’il fallait qu’on en est à parler de soudure précoce. Son diagnostic est aussi féroce en ce qui concerne le manque de vision politique agricole au Sénégal.  
Le grand problème de l’Agriculture, aux dires du sociologue rural Jacques Faye, se résume au fait que «les paysans sont très mal rémunérés de leurs activités et compte tenu de leurs revenus, ils ne peuvent pas réinvestir dans le système de production. Fondamentalement, la question est là. On n’a pas des politiques, des stratégies suffisamment efficaces pour permettre aux paysans de pallier cette carence et avoir une amélioration, compte tenu de la productivité». Il explique qu’un acteur agricole produit en moyenne 300 à 500 kg de récolte par an. «Cela ne suffit même pas à nourrir sa famille, à plus forte raison la population sénégalaise. On ne peut pas rester dans cette situation, il faut qu’on puisse multiplier par cinq, par dix, la productivité à l’hectare, si on veut atteindre la sécurité alimentaire.» Le Sénégal en est «à 60% d’aliments importés pour ses besoins. On va bientôt atteindre un milliard de dollars par an dans l’importation de produits alimentaires. Ce n’est pas durable. Cela hypothèque fondamentalement le développement de ce pays. On ne peut pas consacrer autant de ressources, autant de devises uniquement pour importer des aliments. Si on fait ça, cela veut dire qu’il n’y a pas d’argent pour invertir dans le développement de notre Agriculture», estime l’ancien directeur de l’Institut sénégalais de recherche agricole (Isra).  
De ce point de vue, son analyse sur le développement de l’Agriculture au Sénégal, coule de source, pourrait-on dire : «Il est catastrophique. Vous avez vu les performances de la filière arachide cette année, puisque les trois sociétés de transformation de l’arachide n’ont pas collecté 100 milles tonnes. Les performances sont mauvaises. Et l’on a des performances comparables pour ce qui est du mil, du maïs, du niébé.» Il explique son pessimisme sur la situation des paysans : «La soudure a commencé en milieu rural et est extrêmement sévère. Beaucoup de familles auront des difficultés à assurer un repas par jour et en milieu rural les gens ont commencé à aller massivement en ville, parce qu’il n’y a plus à manger. On est dans une situation catastrophique.» Il ne veut pourtant pas parler «de famine, parce que la famine c’est autre chose».  
Pour M. Faye, il ne faut pas se demander ce qu’il y a lieu de faire, parce qu’on «savait depuis le mois d’octobre que la récolte sera mauvaise, parce qu’en octobre on a quand même des prévisions fiables. Donc depuis octobre, on sait qu’on va avoir des productions extrêmement faibles et qu’on va avoir une soudure et que les paysans vont avoir des revenus bas. On aurait dû se préparer depuis le mois d’octobre».  
M. Faye pense que le gouvernement aurait pu prendre des mesures rapides pour permettre aux populations de se tirer d’affaire elles-mêmes. Il s’agissait par exemple, dès octobre, de mettre en place un programme de réparation de la centaine de forages en panne et permettre aux populations de faire du maraîchage, pour avoir un minimum de légumes. Deux milliards de francs Cfa ont été prévu dans le budget 2008 pour la réparation de ces forages. L’argent n’a pas encore été débloqué. APPEL AUX EMIGRES OU REVA ?  
Les Sénégalais de l’extérieur ont été appelés a investir dans la modernisation de l’Agriculture, M. Faye juge que «c’est ridicule. On va installer deux ou trois périmètres par communauté rurale, ça va faire 700 000 ha. Quand on prend les chiffres, c’est ridicule par rapport à l’immensité du problème, c’est une goutte d’eau. C’est très bien de faire venir les émigrés dans l’agriculture, mais cela ne résout pas le problème auquel on doit faire face et qui est très grave. Il y a trois millions d’ha dans ce pays et ce sont ces trois millions d’ha qui n’ont pas une bonne productivité, qu’il faut améliorer».  
Le plan Reva ? «Cela ne résoudra rien. Il est mort-né. Les gens ne sont pas attentifs. Et même le directeur général de l’Agence nationale du plan Reva qui a été interviewé il y a deux ou trois semaines, par le journal Le Soleil, sans le dire explicitement, il a enterré le plan Reva. Il a dit qu’on a de l’argent pour faire seize périmètres, on va les faire et après on va appuyer ceux qui veulent faire des aménagements. Donc, le plan Reva, c’est fini alors que les gens avaient prévu 200 périmètres aménagés sur 18 mois. On avait prévu d’importer 10 000 vaches dans les 18 mois. Promis d’importer des milliers de tracteurs, des pompes pour l’irrigation, investir 60 millions de dollars sur 18 mois. Ces 18 mois sont passés et qu’est-ce qu’on a fait ? Rien.» Il juge : «C’étaient des promesses électorales, c’est tout. Il ne faut pas se faire d’illusions. On va enterrer ce plan Reva. On a perdu beaucoup de temps et d’énergie à discuter autour de ça. Cela n’ira nulle part.»  
Safiètou KANE  
OBJECTIFS - Politique de développement de l’Agriculture : Le Sénégal oublie ses ambitions 
Le Sénégal fait partie des pays qui n’ont plus aucune chance d’atteindre les objectifs de réduction de la pauvreté de moitié en 2015, si l’on croit M. Ngaïdo Bâ, membre de l’Institut de recherche sur les politiques alimentaires (Abréviation anglaise, Ifri). Il faisait une présentation, lors de la rencontre sur le processus de formulation du Programme national d’investissement agricole (Pnia) dans le cadre de la mise en œuvre de la politique agricole commune de la Cedeao. En effet, avec les performances actuelles, «c’est en 2030 qu’on va y arriver», quinze après. «Et ce n’est même pas sûr.» Pour y arriver, «il faut que le Sénégal atteigne les 10% du budget à mettre dans l’Agriculture. Et il n’est même pas sûr qu’avec les 10% on atteigne les objectifs de réduction de la pauvreté». C’est une étude de l’Ifri, sur la modernisation dans les pays d’Afrique de l’ouest et du centre, qui montre «que certains pays auront besoin de dépasser 10% d’allocation du budget national pour espérer atteindre l’objectif du millénaire et le Sénégal fait partie de ces pays».  
C’est au Sommet des chefs d’Etats de l’Ua en 1999 qu’il avait été décidé que chaque pays du continent devait consacrer au moins 10% de son Pib au développement de l’Agriculture. Près de dix ans après, l’objectif semble toujours lointain pour nombre de pays. Et le Sénégal n’est pas des mieux lotis.  
Le Programme détaillé pour le développement de l’agriculture africaine (Pddaa), qui constitue un volet agricole du nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (Nepad), a été adopté pour servir de cadre de référence au profit au développement agricole des pays africains.  
C’est un cadre qui édicte, au plan sectoriel, des principes et des orientations stratégiques qui doivent guider les efforts menés au sein des communautés économiques régionales et des Etats membres, en vue d’accélérer la croissance, la réduction de la pauvreté, et en particulier, réduire la faim sur le continent.  
«L’objectif du Pddaa est d’aider les pays africains à parvenir à un niveau élevé de croissance économique par le biais d’un développement fondé sur l’Agriculture, qui élimine la faim, réduit la pauvreté et l’insécurité alimentaire et permet d’accroître les exportations», indique un document de la Cedeao, qui a été distribué à la presse. En Afrique de l’ouest, le Pddaa est mis en œuvre à travers la politique agricole commune de la Cedeao qui a identifié les domaines prioritaires communs pour l’ensemble des Etats membres.  
Dans ce cadre la conférence des chefs d’Etats et de gouvernement des Etats membre de la Cedeao tenue en janvier 2006 à Niamey, au Niger, avait instruit l’ex-secrétariat exécutif de la Cedeao, devenu commission, de formuler des programmes d’investissement pour la mise en œuvre de l’Ecowap et du Pddaa aux niveaux régional et national.  
A cet effet, la commission de la Cedeao et le Secrétariat du Nepad ont mis en place un plan d’action pour la période 2005-2010, en vue de doter la région d’un cadre unique pour la programmation et la mise en œuvre des actions de développement du secteur agricole.  
Dans cette perspective, il a été proposé de formuler et de mettre en œuvre des programmes d’investissement concrets, au niveau national et régional. C’est à cet effet que qu’une réunion est ouverte à Dakar pour procéder au lancement officiel du processus de formulation national d’investissement agricole (Pnia) La réunion devrait permettre la mise en place d’un comité de pilotage et un comité technique, d’examiner le projet de plan d’actions pour conduire le processus, de définir le rôle et les responsabilités des équipes sectorielles, de ressembler et impliquer, dès le départ, l’ensemble des parties prenantes.  
Safiètou KANE  
DES INVESTITURES QUI EN CACHENT D’AUTRES  
Le double jeu du PDS 
Par Madior FALL | SUD QUOTIDIEN | vendredi 15 février 2008  
 
Les commissions de supervisions des investitures au Parti démocratique sénégalais (Pds), désignées par le Secrétaire général national de la formation, Me Abdoulaye Wade, sont sur le terrain, même si, elles y essuient en majorité : récrimination, voire rejet de la part de la base. Elles travaillent à dresser listes des candidats de leur parti et certainement celles de leurs « alliés cooptés » aux élections locales de mai prochain. Listes qui devront avoir cependant l’aval du frère Secrétaire général national comme pour toute chose au Pds, pour être validées. L’enjeu semble cependant double car ces investitures libérales paraissent en cacher d’autres, notamment le renouvellement de la classe dirigeante du parti. Le Pds veut-il profiter des locales pour sa propre mue ? Au profit de qui ? 
ELECTIONS MUNICIPALES ET LOCALES 
Parti Démocratique Sénégalais - Pds 
Nul n’est encore investi. Aucune liste de candidature n’est encore dressée et ne le sera avant le 28 février prochain date limite. La violence est pourtant partout au Pds. Les batailles parfois rangées font rage. Les commissions de supervisions des investitures au Parti démocratique sénégalais (Pds) connaissent ainsi un peu partout dans le pays désapprobation « tonitruante ou violente » à la base ou à tout le moins grincements de dents audibles. Les élections locales sont pour le mois de mai prochain, si d’ici là, rien ne vient remettre en cause le calendrier fixé par le ministère de l’Intérieur maître d’œuvre. Les commissions du président Wade rencontrent néanmoins difficultés à accomplir sereinement leur travail parce que « les investitures pour les candidats conseillers locaux comme les trains en cachent en vérité d’autres : celles du renouvellement de la classe dirigeante du parti », confie Moustapha Diakhaté, membre « libre » de la formation. L’ancien animateur de « Waaco ak alternance » (un mouvement à la périphérie du Pds et qui se démarque le plus souvent de certaines de ses pratiques) déclare sa candidature au conseil municipal de Dakar. Candidature qu’il souhaiterait voir porter par son parti en « une position éligible » sur les listes, précise-t-il. À défaut, il la fera transporter par une structure « porteuse légale qui ne manque pas » pour le « triomphe de la génération du Sopi véritable. J’entends fédérer les hommes et les femmes de la génération du Sopi et des citoyens aptes à servir Dakar et non se servir de Dakar », déclame-t-il avec passion. Parce que, « je ne peux pas rester les bras croisés en regardant violer quotidiennement l’âme du Sopi », ajoute-t-il. 
Le renouvellement en même temps du parti que les investitures pour les élections locales paraissent avoir également pour objectif sera au profit de qui ? Si Babacar Gaye, le ministre, directeur de cabinet « politique » du président de la République, nouveau porte-parole du Pds précisait le vendredi 25 janvier dernier, « que les présidents de commissions désignés n’étaient pas des têtes de listes. Il n’y a ni coordonnateur, ni mandataire, il y a juste des présidents de supervision des investitures », il n’a pas signifié qu’ils ne pouvaient pas être candidats, têtes de liste. Se priveront-ils dans ce cas de s’auto désigner ? Rien de moins sur, d’autant plus, indique Moustapha Diakhaté, « la crainte la plus partagée par les militants est que ces investitures ne se fassent pas sur des bases démocratiques, transparentes et régulières. Il revient aux Sections d’investir à la base. 
Le hic est que les sections n’ont plus aucune légitimité depuis belle lurette, de sorte que l’on risque comme à l’accoutumée d’avoir des investitures qui porteront l’empreinte de la sphère sentimentale du Secrétaire général et/ou de ses proches. N’a-t-on pas geler la vente des cartes et, conséquemment le renouvellement des structures à la base ? Dans ces conditions sur quels critères choisiront-ils les candidats ? Il y a de fortes chances de voir les tenants actuels du pouvoir au sein du parti, promouvoir que leurs affidés pour se pérenniser ». On peut à la suite du militant libéral s’interroger. Le Pds qui avait fini de « divorcer » avec les renouvellements de base et les « congrès »,-depuis la tentative de 1998 étouffée dans l’œuf pour cause d’élection présidentielle de 2000, avec le concours à l’époque, de l’allié Abdoulaye Bathily de la Ligue démocratique/Mouvement pour le parti du travail(Ld/Mpt), jouant les messi dominici,-ne fonctionne pas. Sinon par « décret » présidentiel quant à la direction et l’animation des structures du parti de la base au sommet. Depuis plus 10 ans ainsi, le Pds n’a pas tenu congrès ordinaire au point que l’on s’inquiète de l’inamovibilité de sa seule direction, Me Wade. Des militants qui ne manquent pas d’humour font remarquer qu’au « Pds le mandat du Secrétaire général national n’a pas de fin ». Si c’est le cas, la référence démocratique du parti pose assurément problème. 
Qu’à cela ne tienne. On prête au Secrétaire général national le désir de renouveler en même temps les structures de sa formation par le biais des locales. Ainsi le maire deviendrait le Secrétaire général de la fédération du parti et ainsi de suite jusqu’à la base. Un tel schéma signifierait que celui qui contrôle les collectivités locales contrôle le parti. 
Qui pour contrôler Dakar ? 
Qui pour remplacer Pape Diop, le libéral sénateur à la tête de la mairie de Dakar ? Pape Diop lui-même ? L’autre Diop, Mamadou de son prénom le devancier, anciennement du Parti socialiste (Ps) sera-t-il candidat à la succession ? Un candidat socialiste ? Du Front Siggil Sénégal ? de Rewmi ? Nul ne sait pour l’heure. 
D’ores et déjà néanmoins, plusieurs candidatures sont attendues au niveau du Pds et de ses « dépendances » pour briguer la municipalité de Dakar. Pape Diop le maire sortant qui a « un bilan fort élogieux notamment au niveau des infrastructures », lui concède Moustapha Diakhaté candidat déclaré également. Et pour qui, « il importe cependant d’insuffler un vent nouveau, d’appliquer une véritable gouvernance du Sopi en impliquant conséquemment les populations. Elaborer une démocratie participative ». Déclaration et propos de campagne électorale assurément. Mais qui n’en décline pas moins les ambitions du « rebelle » Moustapha Diakhaté dont la candidature ne se veut pas, assure-t-il, « d’obstacle encore moins de socles à une autre candidature pour Dakar ». 
Laquelle ? « Je ne sais. Je veux seulement préciser que n’ayant ni parrain encore moins de parent à même de propulser vers le sommet, je soumets ma candidature à l’investiture aux militants et aux citoyens de Dakar », répond-il un tantinet cocasse. L’ancien de « Waaco ak alternance » persifle-t-il ? A l’encontre de qui ? On prête par ailleurs, au président de l’Agence pour l’organisation de la conférence islamique et conseiller spécial du président de la République, Karime Wade de vouloir se lancer en politique et l’ambition de briguer, pour se faire le suffrage des citoyens dakarois en s’installant à l’issue des élections à deux volets de mai prochain aux commandes de la mairie. Une ambition de plus que l’on attribue au « fils » ? Le problème est que jusqu’ici personne ne l’a entendu décliner lui-même, ses ambitions politiques. Question : veut-il faire de la politique ou veut-on forcément lui faire faire de la politique ? Toujours est-il que la « génération du concret » déclare par la voix de certains de ses animateurs qu’elle ne saurait être distancée dans la course à l’investiture au sein du Pds. Au juste qui n’est plus de la « génération du concret au Pds ? » 
 
Se sentant trahi par le chef de l'Etat : Samir Abourizk crache le feu sur Wade  
Le mémorandum élaboré par Démocratie citoyenne est un condensé des maux du Sénégal. Ce tableau sombre dressé par Samir Abourizk et ses camarades est mis à l’actif du régime de Wade incapable par ses choix politiques, selon Dc, de répondre aux attentes du peuple sénégalais. 
 
Démocratie citoyenne (Dc), le parti politique dirigé par Samir Abourizk garde un souvenir amer de son compagnonnage avec le président Wade. Dans une correspondance adressée à ce dernier, le 22 octobre 2007, le leader de Dc signifiait au président de la République, non sans amertume, que l’alliance que son parti avait nouée avec le Pds et qui l’avait amené à le soutenir activement durant les différentes échéances électorales n’aura en définitive valu aux membres de Démocratie citoyenne que ‘déception et frustration’. Les membres de Dc justifient leur colère par le fait ‘d’avoir été écartés des listes législatives et sénatoriales et d’être la seule formation politique alliée à n’avoir pas été honorée’ Et c’est fort de ce constat que le parti dont le siège est à Rufisque a tenu à consacrer les premières pages de son mémorandum ‘strictement confidentiel’ et relatif à son partenariat politique avec Me Wade à la gestion post-alternance. En effet, c’est un bilan peu glorieux que Abourizk et ses camarades ont dressé, dans la première partie de leur volumineux document, des réalisations du président Wade. De l’avis de Démocratie citoyenne, le président de la République n’a pas su exploiter les opportunités à lui offertes, notamment l’héritage d’un Etat ‘aux finances publiques saines’ et l’obtention d’une majorité confortable à l‘Assemblée nationale après une brillante élection à la magistrature suprême pour permettre l’émergence de son pays.  
Au contraire, constatent les membres du parti des démocrates et citoyens, l’actuel locataire du palais de l’avenue Léopold Sédar Senghor n’a apporté à son peuple que désillusion et désespoir. Puisque, soulignent les auteurs du mémorandum, dès l’entame de leur mandat, ‘l’amnésie s’est littéralement emparée du camp des vainqueurs pour faire planer des menaces graves sur le caractère incompressible de toute démocratie (…), balayant du même coup, toute tentative de la bâillonner’.  
Analysant les différents choix politiques du président Wade depuis son élection à la tête du pays, Dc considère que ceux-ci sont complètement inadaptés et ne pouvaient constituer une réponse à la demande sociale qui était, pourtant, ‘la base fondamentale de la légitimité du président Abdoulaye Wade’. Et le constat de Démocratie citoyenne, sept ans après l’accession de ce dernier au pouvoir, est que ‘le Sénégal va mal’. Les ‘démocrates’ en veulent pour preuve la situation alarmante du Sénégal des profondeurs où, disent-ils, le marasme économique a fini de s’installer. C’est pourquoi, soulignent les dirigeants de Dc, ‘jamais dans l’histoire politique du Sénégal, divorce n’a été aussi profond et aussi criard entre nos populations et leurs gouvernants’.  
Mais le mal causé par le régime issu de l’alternance ne s’est pas seulement limité au monde rural : il étale ses tentacules dans d’autres domaines. C’est ainsi que se désolent les signataires du mémorandum, le patrimoine de l’Etat et les ressources de la Nation connaissent un triste sort sous le régime de Wade parce que ‘bradés à des hommes d’affaires nationaux et étrangers, à des dignitaires religieux et coutumiers, à des hommes politiques prébendiers’. Ces pratiques peu orthodoxes et dangereuses pour le Sénégal, ajoutées à des conflits fonciers récurrents, continuent, selon Dc, de désagréger le tissu social déjà fortement menacé par le péril religieux. ‘L’ingérence religieuse sur la scène politique et dans l’enseignement public depuis octobre 2002, laisse apparaître des remarques de plus en plus désobligeantes, en violation de toutes les dispositions de notre Loi fondamentale et des textes réglementaires en vigueur. Cette ingérence menace dangereusement le concept de laïcité et entend imposer l’obligation d’afficher l’allégeance du citoyen à une confrérie religieuse, créant ainsi des liens de sujétion et un brouillage total des repères’, s’offusquent Samir Abourizk et ses camarades.  
Ces derniers passent au crible d’autres secteurs de la vie de la Nation ayant connu des crises sans précédent avec la survenue de l’alternance. Dans le chapitre des secteurs à scandales sous le régime de Wade, Démocratie citoyenne met au premier plan celui de la Justice. Et Dc de soutenir que ‘notre justice est infirme et la caporalisation de son système et de certains hauts magistrats a fini par asseoir un déséquilibre social et une remise en question du rôle prépondérant de l’Etat’.  
Aguibou KANE  
Réflexion sur la modernisation de l’économie sénégalaise 
 
 
Le concept de globalisation a rendu obsolètes les théories économiques de l’après Seconde Guerre mondiale. Les règles et méthodes de gestion de l’économie d’un pays, sont devenues similaires à celles de la gestion des grandes entreprises multinationales, avec les mêmes contraintes et préoccupations de résultats. Les trois facteurs paralysants qui handicapent le développement économique du Sénégal ainsi que des pays de la sous-région sont les suivants :  
1 - Notre appartenance à une zone monétaire rigide, avec un Franc Cfa artificiellement arrimé à l’euro. Ce qui constitue un handicap majeur pour nos exportations, et contribue pour une très grande partie au déséquilibre de notre balance commerciale.  
2 - Nos rapports avec des institutions telles que le Fmi ou la Banque mondiale, qui le plus souvent s’avèrent être plus paralysants, qu’ils ne constituent des aides réelles pour stimuler nos économies.  
3 - L’Europe que beaucoup d’Africains s’entêtent à considérer comme un partenaire et qui, dans les faits, ne l’a jamais réellement été. Elle vient de prouver une fois de plus avec les Ape, que sa seule vraie préoccupation, c’est d’élargir encore plus son emprise sur le marché africain, et non de créer les conditions d’un réel partenariat économique avec les pays africains. Essayons d’analyser un peu plus en détail l’impact négatif sur notre économie des trois problèmes cités en amont.  
Appartenance à la zone franc Cfa  
Un des effets pervers de l’arrimage du franc Cfa à l’euro, c’est qu’un Cfa artificiellement gonflé, accroît le déficit de la balance commerciale en favorisant l’importation des produits libellée en monnaies faibles, précisément les produits en provenance des pays d’Asie. En même temps, cela pénalise l’exportation de nos produits locaux, avec des coûts de production libellés dans une monnaie indexée sur l’euro. Il ne faut pas perdre de vue que, dans ces conditions, nos soi-disant partenaires européens vont préférer s’approvisionner en matières premières et autres intrants de leurs productions industrielles dans des pays à faible coût de production, favorisés par des monnaies aux cours maintenus artificiellement bas, ceci tout naturellement pour des raisons de compétitivité favorable à leurs exportations.  
Ce phénomène va donc à contre-courant des stratégies de croissance que nos pays tentent de mettre en place, pour éradiquer la pauvreté, et stimuler la création de millions d’emplois dont l’Afrique à tant besoin. Serge Michaïlof, un des experts de la Banque mondiale confirme : ’Le franc Cfa est géré à Francfort, en fonction de critères n’ayant aucun rapport avec les préoccupations des économies africaines’.  
Le Sénégal ainsi que les autres pays de la sous-région se doivent donc de trouver une autre alternative, qui pourrait être de sortir purement et simplement de la zone Franc, et créer une zone monétaire affranchie des contraintes qui nous sont imposées par la Banque centrale européenne. Cela va sûrement nécessiter un certain nombre d’ajustements structurels, ainsi que des réformes en profondeur pour mettre en place de nouvelles politiques économiques concertées, capables de générer une croissance suffisante pour assurer le développement du Sénégal et de la sous-région. Les Européens l’ont réussi avec la création de la Cee et d’une monnaie unique qui est l’euro. Il n’y a pas de raisons que les Africains n’y parviennent pas, si nous en avons la volonté politique.  
Nos rapports avec le Fmi et la Banque mondiale  
Le problème dans nos rapports avec le Fmi et la Banque mondiale ne réside pas dans le rôle que jouent ces organisations, mais plutôt dans la manière avec laquelle elles s’immiscent dans la gestion de nos Etats. Avec une vision le plus souvent standardisée et qui ne tient pas compte des réalités intrinsèques de nos pays. Le problème est que les experts de ces organisations sont le plus souvent des Occidentaux, agissant en fonction de ‘standard guidelines’, et qui n’ont qu’une très faible connaissance des problèmes auxquels nos pays sont confrontés.  
Certaines recommandations du Fmi et de la Banque mondiale ont conduit à des émeutes dans certains pays, voire même créé une instabilité permanente qui a été, en fin de compte, plus désastreuse qu’elle n’a apporté de solutions. Si on prend le cas des pays asiatiques par exemple, on se rend compte qu’ils font beaucoup moins recours à l’assistance de ces organismes, et ce entre autres pour les raisons que j’ai évoquées précédemment.  
Une coopération tronquée avec l’Europe (les Ape)  
Prenons l’exemple des Ape (que je traduirai humoristiquement par Astuces préparant à l’échec). L’erreur de beaucoup de gouvernants africains, c’est de continuer à compter sur une coopération illusoire avec l’Europe, ainsi que sur une aide extérieure le plus souvent assortie de conditions désastreuses pour nos pays, plutôt que de rechercher des solutions alternatives, similaires à celles que les pays du Sud Est Asiatique ont su trouver. Les soi-disant Accords de partenariat économique ne tiennent compte, en aucune manière, des réalités économiques ‘actuelles’ de nos pays respectifs. Certains ténors de l’opposition politique sénégalaise que je ne nommerai pas, reprochent au président Wade de ne considérer que l’aspect budgétaire, plutôt que de considérer les effets immédiats sur le porte-monnaie des ménages, d’une baisse artificielle du coût de la vie qui découlera de l’abaissement de nos tarifs douaniers sur certains produits importés d’Europe. Ce que ces ‘politiciens’ ont oublié d’intégrer dans leur analyse, c’est que la réduction des tarifs douaniers sur un certain nombre de produits importés d’Europe, va dans l’immédiat non seulement avoir un impact considérable sur le budget national, mais surtout cela va considérablement pénaliser notre industrie, qui sera dans l’incapacité totale de concurrencer ces produits qui viendront d’Europe, mais qui en fait seront fabriqués dans les pays d’Europe de l’Est ou d’Asie.  
Ce qu’il ne faut pas aussi oublier, c’est qu’avec la globalisation, les entreprises européennes ont déjà délocalisé une très grande partie de leurs productions vers des pays à très faibles coûts de production, où la fiscalité sur les revenus d’investissements privés est très souvent nulle ou alors minimale. Demander aux pays africains de permettre l’introduction libre de certains produits manufacturés, ou de produits qui ne nécessiteraient pas l’apport de valeur ajoutée locale, c’est tout simplement demander à ces pays déjà pauvres de subventionner des entreprises européennes, au détriment de leurs industries locales, c’est surtout accroître le chômage et la pauvreté dans ces pays.  
Si les Européens nous disent qu’ils vont éliminer les tarifs douaniers qui s’appliquent sur certaines des matières premières importées d’Afrique, c’est que ces matières premières sont en grande partie des intrants pour leur production industrielle qui, pour une grande partie, va être réexportée vers nos pays. La bonne question étant la suivante : Devons-nous continuer à subventionner l’industrie européenne par le jeu de la détérioration des termes de l’échange ?  
Il serait totalement irresponsable de ne pas s’inquiéter, entre autres, de l’impact immédiat d’une réduction des revenus budgétaires due à une baisse de nos tarifs douaniers, sans autres formes de substitution de ces revenus par d’autres ressources. La conséquence étant la création d’un déficit dont les répercussions vont affecter certains postes budgétaires incompressibles tels que la Santé publique, l’Education nationale, le traitement des fonctionnaire, etc. Nous devrons certainement réduire les tarifs douaniers sur certains produits que nous importons, mais il faudra le faire dans l’optique d’aider notre industrie locale, dans le même esprit que les Européens le font pour supporter leur propre économie.  
L’Europe a besoin de traiter l’Afrique en partenaire responsable. Un accord de partenariat, comme son nom l’indique, doit tenir compte des réalités ainsi que des besoins à court et moyen terme des pays africains. L’Afrique a besoin de croissance économique, pour endiguer le chômage endémique qui frustre nos populations et pour éliminer la pauvreté. Pour cela, l’Afrique a besoin d’une économie forte capable de créer des richesses, et non d’aggraver la détérioration des termes de l’échange comme cela a été le cas pendant plusieurs décennies, et continuera d’être le cas avec les Ape dans la version actuelle. La prise de conscience de ces phénomènes doit nous responsabiliser encore plus, et nous obliger à faire preuve de plus de créativité quant à nos choix stratégiques ainsi qu’à nos alliances, en matière de politiques économiques.  
Le Sénégal dispose des ressources, tant sur le plan naturel qu’humain, pour être capable de conduire les réformes nécessaires à son développement économique. Mais il faudra pour cela que tous les Sénégalais ensemble, au-delà des clivages partisans, aient la volonté politique d’y parvenir. La modernisation de l’économie sénégalaise passe inéluctablement par les quatre axes suivants :  
- Le développement de nos infrastructures de base et le désenclavement de nos villes et villages les plus reculés.  
Il ne peut y avoir de développement économique significatif et durable, si les infrastructures de base sont inexistantes ou précaires dans notre pays. Le président Abdoulaye Wade l’a si bien compris en lançant l’initiative de moderniser nos infrastructures routières, ferroviaires, aéroportuaires et technologiques (Télécommunications, Informatique). Le Sénégal fait partie des pays les plus en pointe en Afrique, sur le plan des infrastructures informatiques et des télécommunications. Cependant, il nous reste encore beaucoup à faire, pour rattraper notre retard par apport aux pays d’Europe, d’Asie ou d’Amérique du Sud.  
Comme j’en ai fait référence plus haut, la globalisation est notre ‘principal concurrent’. De nos jours, les compagnies multinationales peuvent acheter ou faire produire n’importe où dans le monde. La seule condition déterminante étant les coûts de production, et la rapidité d’exécution. Les actions du président Wade dans le sens de développer le plus rapidement possible nos infrastructures sont très louables, et elles doivent être maintenues en priorité, si nous voulons attirer les grandes entreprises multinationales ainsi que des investisseurs privés dans notre pays.  
- La modernisation de notre agriculture  
Durant les années qui ont précédé l’alternance, des centaines de milliers d’hectares de terres arables ont été laissées à l’abandon, faute d’une politique agricole cohérente. La remise en valeur de ces terres avec l’introduction de techniques agricoles modernes, combinée avec une politique de diversification des cultures, incitera nos paysans aujourd’hui réfugiés dans les villes à vouloir retourner travailler la terre. Un peuple qui a faim est un peuple incapable de penser. L’autosuffisance alimentaire est la condition indispensable à notre indépendance économique et à notre développement. Beaucoup des denrées de première nécessité qui sont actuellement importées d’Europe et d’Asie sont cultivables dans notre pays. La qualité des terres ainsi que les conditions climatiques sont favorables, pour nous permettre de produire de façon compétitive, tous les agrumes et autres fruits et légumes que nous importons aujourd’hui à des prix prohibitifs.  
- La modernisation et le développement de notre industrie Nous devons initier une politique ambitieuse de substitution des importations. Ceci permettra de produire localement un certain nombre de biens de consommation que nous importons, et qui pénalisent lourdement notre économie. Ceci non seulement déséquilibre notre balance commerciale, mais surtout cela constitue un transfert vers d’autres pays, d’un grand nombre d’emplois qui auraient dû être créés localement. Du fait de notre situation géographique extraordinaire, le Sénégal dispose d’atouts inégalables pour concurrencer les pays du Sud Est Asiatique, d’Europe de l’Est, ou d’Amérique.  
Le président Wade, à la veille de l’alternance, nous faisait part de son rêve, de voir le Sénégal un jour produire la voiture africaine, ce qui en terme de bon sens constitue une meilleure idée, que de vouloir baisser nos tarifs douaniers pour encourager l’importation de voitures venues d’ailleurs, en créant des emplois ailleurs. Une telle initiative ainsi que d’autres plus ambitieuses peuvent voir le jour, si des Sénégalais entreprenants s’en donnent les moyens.  
Une myriade d’organismes financiers privés ‘Venture Capitalists’ de par le monde, sont prêts à investir dans de tels projets, si on leur présente un bon ‘business plan’ prouvant la rentabilité. Ces mêmes ‘Venture Capitalists’ disposent de centaines de milliards de dollars, et ils sont toujours à l’affût de projets rentables dans lesquels ils peuvent investir, sans avoir à nous imposer des contraintes aussi draconiennes que celles de la Banque mondiale ou du Fmi.  
Le Sénégal a besoin d’idées généreuses et ambitieuses ! Les acteurs économiques de notre pays, qu’ils soient du secteur public ou privé, doivent élaborer leurs stratégies, en s’associant avec des partenaires respectueux de leurs intérêts mutuels. L’Etat, bien entendu, doit jouer son rôle de régulateur et d’arbitre, mais en aucun cas, il ne doit être considéré comme un ‘Etat Providence’, et il serait fallacieux de penser que l’Etat seul peut et doit tout régler.  
- Le développement des services à valeur ajoutée  
Le marché des services ‘outsourcing’, c'est-à-dire des entreprises publiques ou privés qui souhaiteraient faire exécuter tout ou partie du traitement de leurs données informatique par des sociétés de services externes, est estimé pour les seuls Etats-Unis à plus de 250 milliards de dollars, pour la période allant de 2007 à 2012, et ces chiffres vont certainement progresser dans les années qui suivent. Une grande part de ce marché qui, du reste, ne nécessite pas des investissements colossaux, va actuellement dans les pays du Sud Est Asiatique et vers l’Europe de l’Est. Les patrons de sociétés américaines qui sont des gens réalistes et qui, avant tout, se soucient de la rentabilité de leurs entreprises, n’hésiteraient pas un seul instant à nous offrir des marchés si nous arrivons à leur démontrer que nous disposons des infrastructures nécessaires, et que nous avons les ressources humaines qualifiées pour effectuer le travail à un prix légèrement plus avantageux. Là aussi, les acteurs du secteur privé sénégalais doivent faire preuve d’initiative en créant des alliances avec des entreprises spécialisées dans ce type de services aux Usa et en Europe. ‘Ce seul secteur peut permettre la création de centaines de milliers d’emplois, comme c’est le cas actuellement dans les pays prestataires de services’.  
Les possibilités sont nombreuses et ouvertes, l’initiative individuelle des Sénégalais fera le reste. Mais le gouvernement du Sénégal doit donner un coup de pouce supplémentaire en prenant des initiatives courageuses sur le plan fiscal, dans la même ligne que celles déjà commencées. Il faudra encore abaisser de manière significative et permanente l’impôt sur les revenus d’investissements de façon à encourager l’arrivée de flux de capitaux privés étrangers dans notre pays.  
Pour terminer, je dirai que les pays d’Afrique de la sous-région doivent harmoniser leurs politiques économiques et financières à l’image de l’Europe qui, elle, a compris il y a plus de 50 ans que le seul moyen d’échapper aux effets pervers de l’hégémonie américaine, était de faire bloc ensemble.  
L’Afrique doit utiliser ce ‘Benchmark’ pour se sortir de l’impasse. Car il est tout à fait absurde et totalement inconcevable qu’un continent qui détient à lui seul plus du tiers des richesses de la planète, puisse encore être le continent le moins avancé du monde.  
Mohamed Fadel GUEYE Atlanta - Usa Tel : (678) 849-6612 Fadel.gueye@whartonns.com  
Port autonome de Dakar : Six syndicats de dockers jettent l’ancre à la Génération du concret 
 
 
La toile de la ‘Génération du concret’ (G.c.) s’étend du côté du Port autonome de Dakar. Quelque six syndicats de dockers ont décidé de faire allégeance à la G.c., le pacte a été scellé, mardi dernier, au cours d’une réunion présidée par le directeur de la Décentralisation Pape Mor Ndiaye, par ailleurs secrétaire exécutif du Mouvement d’appui à l’action de Karim.  
Au cours de la rencontre les secrétaires généraux des syndicats présents tels Talla Samb de l’Union démocratique des dockers et pointeurs du Sénégal (Uddps), Abdou Mbaye du Syndicat autonome des ouvriers et dockers du Sénégal (Saods) et, entre autres, Yoro Diop, patron de l’Alliance démocratique des dockers et pointeurs des ports du Sénégal (Addpps) ont magnifié l’arrivée de Dubaï Port dans leur lieu de travail. Et c’est suffisant, à les en croire, pour jeter l’ancre dans la génération du concret. Cette ‘marée bleue’ a atterri à la G.c., grâce à l’entregent de Bassirou Sagna, chargé de mission à la Cap 21. ‘Les travailleurs du port ont spontanément adhéré à la G.c. en raison de la révolution réussie par Dubaï port’, explique-t-il trahissant sa satisfaction de voir ‘une puissance syndicale’ se rallier à la cause du président de l’Anoci.  
M. Sagna est d’autant plus satisfait que le Bloc des amis de Macky pour la réélection de Wade (Bmw) roule désormais pour la G.c. et à ce ‘beau’ monde s’ajoute l’association Mer bleue. ‘Cette structure, créée en 2001, a de tout temps été au Pds. Mais notre engagement n’a jamais été récompensé.  
Aujourd’hui, nous avons décidé de nous déployer aux côtés de Karim Wade pour l’espoir qu’il suscite en raison des chantiers entrepris à Dakar’, explique Khalifa Niang, président de Mer bleue. Mais ceux qui croient que ‘cette force de frappe’ se prépare à s’engager aux élections doivent réfréner leur ardeur. Du moins pour l’heure ! Car, de l’avis de Pape Mor Ndiaye, l’agitation prêtée à Karim Wade à Fatick le week-end dernier n’est pas avérée. ‘Nous sommes une réserve politique pour le Pds. Nous restons à l’écoute de notre guide, Karim’, alerte le directeur de la Décentralisation.  
Interpellé sur les ambitions de la G.c. aux prochaines locales, M. Ndiaye répond être au service d’un Sénégal qui marche et développé, ‘si cela vaut qu’on s’engage aux prochaines locales nous le ferons, mais pour l’heure nous sommes à l’écoute de notre guide’, a-t-il ajouté. ‘Ceux qui confectionnent des listes pour les futures élections ne sont pas des nôtres. Nous n’avons mandaté personne pour cela’, précise-t-il. Soit. Mais, une chose est sûre, la G.c. a pris une sérieuse option au port de Dakar pris dans une tempête depuis l’arrivée de Dubaï port.  
Hamidou SAGNA  
Tenue des assises nationales : L’opposition mettra la dernière touche le 16 février 
 
 
Les ‘Assises nationales’, initiées par l’opposition regroupée autour du ‘Front Siggil Sénégal’, auront lieu pendant la première semaine du mois de mars. Pour démontrer de leur détermination à les tenir, les dirigeants de l’opposition ont décidé de se rencontrer le week-end prochain. ‘Les leaders du ‘Front’ se sont donné rendez-vous dans un restaurant de la place. Cette rencontre sera l’occasion pour eux de mettre la touche finale à ces Assises Nationales’, a déclaré le chargé de la communication du Ps. Selon Abdoulaye Wilane, ‘l’opposition saisira cette occasion pour mettre définitivement la dernière touche sur les structures qui devront piloter ces assises’. C’est à l’issue de cette réunion que ‘le comité national de pilotage qui doit mener à bien cette réflexion sur les problèmes auxquels les Sénégalais sont confrontés’ sera mis sur pied, a souligné Wilane.  
Mais, il n y a pas que ce comité de pilotage. Les termes de référence seront également finalisés ce jour, a-t-il ajouté. En plus, on connaîtra le nom de la personne qui va les présider. Mais, selon toute vraisemblance, c’est Amadou Moctar Mbow, dont le nom a été cité à plusieurs reprises, qui sera chargé de piloter ces Assises. En effet, d’après Wilane, l’ancien directeur de l’Unesco va confirmer sa nomination ce jour. Car, ‘jusqu’à présent rien n’a changé qui peut le pousser à refuser la main tendue de la partie la plus représentative du Sénégal’, a expliqué Wilane. En plus des leaders de l’opposition, les différentes organisations qui ont décidé d’y prendre part seront aussi présentes. D’ailleurs, sur les 52 organisations contactées, 38 ont déjà confirmé leur participation et d’ici le 16, Wilane pense que le reste donnera son accord avant le jour de la réunion.  
Charles Gaïky DIENE  
 
 

 

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Modifié en dernier lieu le 15.02.2008
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